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1000 exercices et jeux de loisirs et plein air pour enfants et adultes / Fluri H.
Titre : 1000 exercices et jeux de loisirs et plein air pour enfants et adultes Type de document : texte imprimé Auteurs : Fluri H., Auteur Editeur : Paris: Vigot Année de publication : 1988 Importance : 240p. Format : 15 cm x 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7114-1017-X Langues : Français (fre) Mots-clés : loisir narure plein air enfant adulte enseignement jeux exercice Index. décimale : 791- Sport et Loisirs Résumé : Si vous visitez cette page, c'est que les beaux jours sont arrivés ou arriveront prochainement, il est temps de sortir et profiter des jardins, plages, espaces verts et autres espaces de plein air avec des jeux d'extérieur. Si vous chercher un jeu d'extérieur, ici nous vous proposons une sélection des meilleurs jeux d'extérieur. Ainsi vous trouverez des jeux de quilles, des jeux de croquets, des jeux d'adresse... bref une multitude de jeux d'extérieur et de plein air pour profiter pleinement des beaux jours.
Lorsqu'on parle de loisirs de plein air, on pense souvent aux traditionnels balançoire, toboggan, trampoline... Mais le divertissement en extérieur n'est pas seulement pour les enfants ! Et tant mieux car lorsqu'on a passé les 30 ans et que l'on organise des barbecues entre amis, ou des Garden parties avec des membres de sa famille, on souhaite aussi se divertir et passer de bons moments autour d'un jeu de jardin.
Des jeux de jardin pour toute la famille !
Nos jeux d'extérieur en bois sont prévus pour jouer avec un large public. Ainsi adultes et ados passeront du bon temps autour de nos jeux de plein air. En parcourant ce rayons vous découvrirez des jeux de quilles, des jeux Breton comme le jeu du palet, le célèbre jeu suédois Kubb et Molkky, dans un autre rayon nous vendons également des jeux de croquet pour adultes et enfants. Nos jeux de jardin de maison, pourront également être emportés partout, vous pourrez profiter du soleil des parcs et espaces verts communaux ou de la plage en jouant !1000 exercices et jeux de loisirs et plein air pour enfants et adultes [texte imprimé] / Fluri H., Auteur . - [S.l.] : Paris: Vigot, 1988 . - 240p. ; 15 cm x 21 cm.
ISBN : 978-2-7114-1017-X
Langues : Français (fre)
Mots-clés : loisir narure plein air enfant adulte enseignement jeux exercice Index. décimale : 791- Sport et Loisirs Résumé : Si vous visitez cette page, c'est que les beaux jours sont arrivés ou arriveront prochainement, il est temps de sortir et profiter des jardins, plages, espaces verts et autres espaces de plein air avec des jeux d'extérieur. Si vous chercher un jeu d'extérieur, ici nous vous proposons une sélection des meilleurs jeux d'extérieur. Ainsi vous trouverez des jeux de quilles, des jeux de croquets, des jeux d'adresse... bref une multitude de jeux d'extérieur et de plein air pour profiter pleinement des beaux jours.
Lorsqu'on parle de loisirs de plein air, on pense souvent aux traditionnels balançoire, toboggan, trampoline... Mais le divertissement en extérieur n'est pas seulement pour les enfants ! Et tant mieux car lorsqu'on a passé les 30 ans et que l'on organise des barbecues entre amis, ou des Garden parties avec des membres de sa famille, on souhaite aussi se divertir et passer de bons moments autour d'un jeu de jardin.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-6817 791-7.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSE-6818 791-7.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible annales du cyclisme d'Algérie / r.saadallah
Titre : annales du cyclisme d'Algérie Type de document : texte imprimé Auteurs : r.saadallah, Auteur ; d.benfars, Auteur Editeur : Alger: O.P.U, Année de publication : 1990 Importance : 401 p Format : 21 cmx14 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : le cyclisme A1gerie le Vélo Sport Algérois l’Olympique d’Hussein Dey le Sport Cycliste Enfantin de Belcourt FICHE 1-Camions 2-haut-parleurs 3-chronométrage Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Voici, à travers ce reportage des Actualités Françaises, un aperçu de ce qu’était le Tour d’Algérie Cycliste, en 1949, et de ce que représentait le cyclisme nord-africain à l’époque. Trois remarques à partir de ces images.
Tout d’abord, le cyclisme au seuil des années 1950 en Algérie est un sport suivi et populaire : la foule, européens et algériens au bord des routes et dans le stade.
Ensuite, le TAC, comme toute boucle nationale, est une conquête ou reconquête rituelle du territoire algérien et nord-africain. Le tour veut enseigner le pays. Mais, en même temps, avec la participation d’équipes métropolitaines et de coureurs étrangers il revêt une dimension internationale. C’est en quelque sorte un espace de rencontres multiples, en Algérie et entre l’Afrique du Nord et l’Europe.
Enfin, le cyclisme est un récit et sa représentation à travers les médias (non seulement actualités cinématographiques, mais également la radio, et la presse coloniale, métropolitaine et européenne) y est pour quelque chose.
Cette communication fait partie de mon projet de recherches intitulé ‘Cycling Identities’ sur la problématique de la sportivisation de l’espace algérien au XXème siècle. Ce projet se situe au carrefour de l’histoire de la construction de l’identité nationale, de l’histoire culturelle des sports et de l’histoire des médias. Il s’agit d’un travail d’archives et d’un projet d’histoire orale, en Algérie et en Europe. Je tiens à souligner que l’apport et le soutien d’anciens sportifs, présents ce soir, me sont très précieux.
Deux questions s’imposent : [FICHE : Zélasco et Kebaïli]
– Dans quelle mesure le cyclisme ouvre-t-il un espace de sociabilité intercommunautaire et dans quelle mesure favorise-t-il en même temps l’affirmation d’identités distinctes : musulmanes, pieds-noirs, nord-africaines?
– Qu’en est-il du discours médiatico-sportif dans la construction de ces identités ? Quelles images des sportifs sont transmises (de souche algérienne, européenne) à travers la presse ?
Sur un plan général, a été amplement étudiée la manière dont le sport permet aux Algériens l’accès à de nouveaux espaces qui leur étaient jusqu’alors peu accessibles : la sphère sportive est un espace public. Dans le système colonial, il permet également un côtoiement avec le milieu européen. Le sport peut être perçu à la fois comme un acte transgressif [grensoverschrijdend] et comme un espace de revendications. Mais je pense que l’histoire du cyclisme d’Algérie est non seulement l’histoire de la construction de l’identité nationale – algérienne, perspective dominante dans l’historiographie, mais avant tout et pour la période qui nous intéresse ce soir, l’histoire de la construction de multiples identités qui se croisent, s’entremêlent, et parfois, se heurtent. [FICHE: L’équipe NA] Ainsi, comment cette sportivisation de l’espace colonial s’articule-t-elle avec ces enjeux identitaires ? Qu’en est-il de la signification du sport dans la construction des identités (« construction of identities »).[1] Qu’en est-il de la place du cyclisme dans la construction sociale des identités ? [FICHE: ZAAF, TAC]
L’étude la plus importante nous est fournie par les journalistes Rabah Saâdallah et Djamel Benfars: Annales du cyclisme d’Algérie (Alger 1990). Une chronique riche et dense, source incontournable. Ce projet, entamé dans les années 1980, était basé sur un travail de presse et de dizaines d’entretiens avec des anciens coureurs cyclistes algériens. Parallèllement au livre, sortait aussi un documentaire télévisé intitulé : Les gloires du passé. L’historique du cyclisme algérien 1903-1980. Il s’agit d’une série documentaire en 13 épisodes.
Ces Annales constituent une analyse du sport dans son contexte national, tout comme l’étude réalisée par le journaliste sportif Chehat Fayçal (Le Livre d’or du sport algérien 1962-1992 (1993) ou les écrits de Youcef Fatès (Sport et tiersmonde (1994); De l’Indochine à l’Algérie: la jeunesse en mouvements des deux côtés du miroir colonial, 1940-1962 (2003)). Fayçal aussi bien que Fatès consacrent quelques lignes au cyclisme.
Cette perspective intra muros, nous la retrouvons également chez bon nombre d’auteurs, journalistes et historiens, qui ont fait l’analyse du cyclisme français. Le contexte national domine. Cette approche classique et connue, qui lie le sport à la construction d’identité nationale, est à compléter dans une perspective transnationale. Effectivement, je pense que “the transnational turn”, c’est-à-dire l’analyse de l’objet culturel dans son contexte international, approche en vogue depuis quelques années, pourrait être une approche riche en matière d’histoire du sport dans un contexte colonial. L’historien irlandais Philip Dine, travaillant dans le domaine de French Cultural Studies, figure parmi les collègues qui s’intéressent aux constructions sociales et culturelles à travers le sport qui favorisent une approche interdisciplinaire et placent leur objet d’étude aussi bien dans le contexte de la France métropolitaine qu’outremer. De même pour l’ouvrage L’Empire des sports. Une histoire de la mondialisation culturelle (paru en 2010) de Pierre Singaravélou et Julien Sorez, qui s’interrogent notamment sur les “circulations des pratiques sportives en situations impériales”.
Dans ces approches théoriques et ces études empiriques, le cyclisme dans son contexte colonial, est marginalisé. Mis à part un article sur le Tour d’Algérie Cycliste de Philip Dine dans L’Empire des Sports, les universitaires du sport portent leur attention sur d’autres disciplines que celle du vélo (souvent le football, ou la boxe). Ainsi, dans un numéro spécial de la Revue algérienne d’anthropologie et de sciences sociales Insaniyat de 2006 intitulé « Le Sport : Phénomène et pratiques », le cyclisme est absent. Absence d’autant plus remarquable que sur ce sport dans un contexte colonial français, il existe l’analyse d’Évelyne Combeau-Mari, Sport et Décolonisation. La Réunion de 1946 à la fin des années 60 (1998). L’on retrouve quelques passages consacrés au cyclisme dans les travaux de Bernadette Deville-Danthu sur le sport colonial en Afrique occidentale, Le sport en noir et blanc (1997), et ceux de Sébastien Verney sur le tour d’Indochine, L’Indochine sous Vichy (2012).
Sur l’histoire du vélo en général, il existe une vaste historiographie, tant sur le cyclisme comme pratique sociale que sportive. Le Tour de France, par exemple, à été amplement étudié sous ses aspects commerciaux et ses structures mythiques à travers ses représentations dans la presse. Il en va de même pour le Giro d’Italia ou le cyclisme flamand, également considérés comme puissants symboles identitaires. Dans tous ces cas, ce sport s’est révélé un puissant vecteur d’identification régionale et/ou nationale. De là, il est tout à fait légitime d’étudier le cyclisme, souvent considéré le sport “le plus français qui soit”, dans son contexte colonial, en l’occurrence l’Algérie française.
Une dernière remarque dans cette introduction concerne l’essence même du cyclisme. Comment caractériser ce sport par rapport aux autres pratiques sportives ? Souvent, on souligne sa singularité. Celle-ci tient au fait que, d’abord, il s’agit d’un sport mécanique : il exige l’usage d’un matériel coûteux qui entraîne ensuite sa maintenance. Ensuite, c’est un sport qui ne se conforme pas au modèle de diffusion républicain classique : scolaire et orchestré par l’État. Le cyclisme est une activité a-scolaire, contrairement au football, à la natation ou à la gymnastique ; il ne figure pas au rang des disciplines sportives éducatives de par sa proximité avec le monde de l’argent (les grandes marques cyclistes) et de par sa dimension de spectacle (notamment à travers sa relation avec la presse). Enfin, sport atypique parce que, plus que le football, le cyclisme « vit dans la narration ». J’y reviens encore.
Dans ce qui suit, je fais le tour de mes recherches en vous proposant trois volets. Le premier porte sur un événement sportif précis: le Tour d’Algérie Cycliste en tant que ‘marker of identity’. Un deuxième volet s’interroge sur le lien complexe qu’entretient le cyclisme musulman avec le sentiment national, notamment à travers l’association sportive VSM. Enfin, un troisième volet porte sur l’ambivalence des identités sportives à travers l’étude d’une personnalité cycliste, Ahmed Kebaïli.
Le TAC
Tout comme en France métropolitaine, le cyclisme en Afrique du Nord prend ses origines dans le dernier quart du XIXème siècle. Sans pour autant évoquer l’histoire du cyclisme en Algérie, faute de temps, voici quelques remarques qui résument son avènement. Le cyclisme devient rapidement un sport populaire. Des courses et critériums sont organisées sur piste d’abord – le premier vélodrome est créé à Alger en 1897, sur la route ensuite. Dans les grands centres urbains des clubs sont créés : Club Olympique Algérois ; Vélo Club Oranais. Les coureurs qui se font connaître en Algérie et en métropole sont des colons. Pendant les premières décennies du XXème siècle, le cyclisme, dans le processus d’appropriation sportive du territoire algérien, est le signe privilégié d’une identité française.
Après la Première Guerre Mondiale, graduellement, des coureurs musulmans se font remarquer. Parmi les premières vedettes, signalons dans les années 1920, Abdelkader Kebylène, qui court et termine le premier Tour d’Algérie Cycliste en 1929 [FICHE : Tour d’Algérie 1929], et dans les années 1930 Abdelkader Abbès, le premier Algérien à courir et terminer le Tour de France en 1936. La même année, sont créés les premières associations musulmanes cyclistes parmi lesquelless le Vélo Sport Musulman (VSM), à Alger, à l’initiative d’un européen et avec l’aide des fondateurs du Mouloudia Club Algérois (‘le doyen’, date de 1921 – dans la vie associative le football précède le vélo).
Au lendemain de la Deuxième Guerre Mondiale, le cyclisme nord-africain est intégré à la Fédération Française de Cyclisme (FFC). Décision administrative qui témoigne de cette « deuxième occupation coloniale », une volonté de la part de ‘Paris’ d’investir en Algérie. D’après l’hebdomadaire de la FFC, La France Cycliste, au seuil des années 1950, l’Algérie compte quelque 2000-2500 licences et le nombre de clubs se situe autour de 75. À titre comparatif, en métropole, il y a environ 2000 associations et 60.000 licences. Impossible d’évaluer, faute de sources, parmi les licences nord-africains, le partage entre musulmans et européens, mais il est hors de doute que les algériens étaient très minoritaires – je pense quelques centaines tout au plus.
Les années 1945-1954 peuvent être considérées comme l’âge d’or du cyclisme d’Algérie. Pendant cette période, selon Chehat Fayçal, le vélo « disputait sans complexe la vedette au football ». [FICHE : Oran] Les épreuves les plus connues (les critériums de L’Echo d’Oran, de l’Echo d’Alger ainsi que la reprise du Tour d’Algérie en 1949) voient la participation des marques métropolitaines (Terrot, Automoto, Alcyon, Mercier) et de coureurs européens (belges, hollandais, suisses et italiens) parmi lesquels les plus grandes vedettes, tels Coppi et Bobet. Ces épreuves intègrent l’Algérie plus qu’auparavant dans le cyclisme international, c’est-à-dire, à l’époque, européen. La rencontre va dans les deux sens : pendant quelques années, le sport arrive même à un certain degré de professionnalisation, ce dont témoigne la participation des meilleurs algériens et pieds noirs aux épreuves européennes (Dauphiné Libéré, Le Tour de Suisse) et la participation à la grand-messe du cyclisme, le Tour de France, d’une équipe nord-africaine mixte comprenant les meilleurs nord-africains. Comment cette équipe a-t-elle été perçu e par la presse coloniale et métropolitaine ? L’anecdote Zaaf[2] dans le Tour de 1950 est à elle seule très connue et fait partie de la mythologie du Tour et constitue en soi un objet d’étude. Le phénomène est apparemment très suivi en Algérie, en témoigne la création d’un Club de Supporters de l’Équipe Nord-Africaine présidé par Vincent Ferrer (famille d’Hubert Ferrer, personnalité connue dans les milieux d’anciens cyclistes d’Algérie), dont le siège social est la brasserie Le Coq Hardi. [FICHE: Équipe Afrique du Nord 1950]
Plus que jamais, au seuil des années 1950, le cyclisme nord-africain intègre le cyclisme européen et, inversement, le cyclisme continental découvre le Maghreb. Il y a toute une analyse à faire sur ces rencontres, ces échanges, pour ne pas dire ces ‘migrations sportives saisonnières’ et leurs représentations, leurs mémoires et leurs significations sportives, culturelles et identitaires. [FICHE : Zaaf en Belgique] À titre d’exemple, les rencontres et l’amitié entre le coureur cycliste flamand, Hilaire Couvreur, et Abdelkader Zaaf. Zaaf est allé à Bruges, et inversement, Couvreur, le double vainqueur du Tour d’Algérie Cycliste, appelé dans le peloton ‘Hilaire l’Africain’, s’est installé pendant quelques mois avec sa femme et son enfant chez Zaaf à Chebli. Le fils de Couvreur, qui m’a apporté son témoignage, se rappelait, alors même qu’il était tout jeune, son séjour en Algérie. Cela m’intéresserait de savoir comment Zaaf a été perçu par la presse Flamande – la Flandre étant un haut lieu de cyclisme à l’époque (et l’est toujours aujourd’hui). [FICHE : Flamands à Alger]
Plus généralement, aller en Afrique du Nord, pour des cyclistes métropolitains et plus encore pour des Européens, souvent issus de couches modestes, répétons-le, à une époque où l’Europe ne se remettait que lentement de la Deuxième Guerre Mondiale, c’est lourd de sens et c’est bien plus qu’une simple aventure : pour ces jeunes c’est la découverte d’un monde inconnu, nouveau, exotique. Il est par exemple fascinant d’analyser les discours fabriqués sur l’Algérie (sur l’Orient pour se référer à Edward Said) par des coureurs néerlandais : l’Algérie fascine (références de type Mille et Une Nuits) et inspire la crainte. Ils se reconnaissent dans la culture citadine et littorale, les grandes villes de côte, Alger, Oran, Bône, la France, mais dès qu’ils traversent l’arrière-pays ( étapes vers Bou-Saada, Biskra), ils perdent leurs références et leurs repères : le paysage (désertique) aussi bien que la population locale (arabophone) font peur. Ils veulent surtout ne pas être lâchés par le peloton !
Le Tour d’Algérie, preuve de francité
Le cyclisme peut être analysé comme un puissant « marker of identity » qui se rapporte, parmi d’autres, aux multiples interactions spatiales. Le TAC est une épreuve de ‘francité’: 1) Une ‘célébration’ de l’Algérie française. Les villes et villages des départements d’Oran, d’Alger et de Constantine sont liés à tour de rôle en tant que lieux de passage ou ville-étapes. Ils soulignent à la fois la cohésion, les ressemblances et différences entre régions et paysages ; 2) Une reconquête rituelle du territoire nord-africain.
Comme l’a souligné Phil Dine, le TAC est d’abord et avant tout « une course hautement symbolique. » L’arrière-fond, c’est l’optimisme renouvelé de l’Algérie française d’après-guerre. Toujours selon Dine, cette course se veut la démonstration de la stabilité et de la permanence française en Algérie, malgré les signes de plus en plus évidents de la contestation nationaliste.[3] Cette épreuve sur plusieurs semaines se veut la copie conforme du modèle métropolitain, le Tour de France. Il s’agit de « calquer, le plus possible »[4] l’organisation de l’illustre modèle. Pour en arriver là, le TAC, selon le journaliste sportif Tony Arbona de La Dépêche Quotidienne, sollicite le support de L’Équipe et de Jacques Goddet.
Pendant les 5 ans de son existence, 1949-1953, le tour en tant que ‘célébration’ de l’Algérie française[5] lie à tour de rôle les villes et villages des départements d’Oran, d’Alger et de Constantine en tant que lieux de passage ou ville-étapes. L’épreuve sportive souligne ainsi à la fois la cohésion (ressemblances) mais aussi les différences entre régions et paysages. Le Tour d’Algérie c’est une valorisation du sol algérien, mais non pas des géographies idéales, puisque le grand sud n’est jamais inclus dans l’épreuve. [FICHE : 1949] Pas une boucle à la française mais plutôt un rectangle, de l’Est à l’Ouest et retour. Les itinéraires successifs du TAC sont des variantes de ‘beating the bounds’, une version moderne d’une randonnée rituelle par laquelle, dans le passé, une communauté villageoise affirmait l’intégrité de son territoire.[6] Comme reconquête rituelle du territoire nord-africain, cette épreuve véhicule ses propres rites et symboliques.
Parenthèse : les maquettes des affiches après-guerre sont réalisées par l’illustrateur et écrivain Gaston Ry (René Rostagny). Surtout l’affiche 1949, très réussie, une véritable œuvre d’art. Notons, et je pense que ce n’est pas anodin, que Rostagny publia en 1967 La Grande honte, une histoire de la guerre d’Algérie on ne peut plus revancharde.
Ces deux épreuves constituent une exception puisque par la suite, aucun tour d’Algérie n’arrive à s’organiser sur une durée trois semaines sur cette axe ; les boucles deviennent non seulement incomplètes, mais imparfaites. [FICHE : plans 1951 et 1952] Signalons que dans deux boucles seulement, celles de 1951 et 1952, l’intégrité du territoire est affirmée, et paradoxalement par des excursions à l’étranger, respectivement en Tunisie (avec des villes étapes Bizerte et Tunis) et au Maroc (ville étape d’Oujda).
Le parcours désigne un territoire dont il le met en scène et en accentue, au passage, la beauté. L’expérience du Tour d’Algérie se veut esthétique. L’Algérie traversée est une Algérie magnifiée : La Dépêche le 17 mars 1953 : « Si le Tour est un spectacle pour les pays qu’il traverse, ces pays le lui rendent bien. (…) Montagnes, campagnes, visages, voix humaines (…) l’Algérie toute entière. » [FICHE : imagettes paysages] Tout comme son modèle, le Tour de France, le Tour d’Algérie exprime une volonté d’illustrer le territoire, d’affirmer « un sentiment d’appartenance ». Il veut « enseigner le pays ».[7]
De 1949 à 1953, les reportages de la presse écrite démontrent cette francité essentielle du territoire. Un exemple tiré de l’Écho d’Alger [je cite] : « Dans le moindre hameau, le passage du Tour d’Algérie était comme le jour de fête nationale : on a placé les enfants des écoles agitant des petits drapeaux tricolores le long du trottoir ; on a pavoisé comme pour le 14 juillet ; on a sorti précautionneusement son costume des dimanches ; on a convoqué la fanfare pour jouer la ‘Marseillaise’ au passage des coureurs. »[8] [FICHE : imagettes foules] Et le journaliste Finaltéri, dans sa rubrique ‘Tout autour du Tour’, d’écrire [je cite]: « Nous avons retrouvé hier matin, l’ambiance des grands départs sur l’immense place du Gouvernement d’Alger. (…) la foule s’était massée derrière les barrières tricolores, les mêmes que celles utilisées lors des défiles des grandes fêtes nationales (…) Séparément, ou par groupes, les coureurs pénétrèrent dans l’enceinte, sportivement applaudis. Ce fut surtout le cas pour les algérois Zelasco, Chibane et Zaaf. » (La Dépêche, 1950).
Dans l’évocation des différents paysages, la Métropole, la mère-patrie, n’est jamais loin. Dans le tour de 1952, est évoquée la ville-étape de Ténès. Suivons le texte dans le Livre d’or [FICHE: Ténès] [je cite]: “Ténès, située à mi-chemin entre Alger et Mostaganem sur la route du littoral est certainement l’une des stations côtières les plus agréables à connaître et à fréquenter. Édifiée à l’endroit où le rivage s’amollit brusquement, après les escarpements vertigineux qui le caractérisent depuis Cherchell, elle offre à l’Est comme à l’Ouest une extrême variété de cirques couronnées de pins, comparables aux plus beaux coins de la Côte d’Azur, alternant avec des rives sablonneuses ou rocheuses, paradis des baigneurs et des amateurs d’oursins et de pêche.” [fin de citation].
Une manière différente, mais récurrente, de se référer au passé et aux systèmes de valeurs français, sont dans le Tour même, les rites du départ. Ainsi, l’exemple d’une cérémonie devant le monument aux morts à Sidi Bel-Abbès. Il y en avait aussi à Tunis et à Mostaganem. Plusieurs lectures possibles : la commémoration d’un passé glorieux, partagé, les tranchées de 14-18 ? Et, à travers le souvenir de la guerre, les références symboliques : virilité, honneur, persévérence ? [FICHE : monument aux morts]
Le TAC et la modernité
Cette francité du cyclisme s’exprime également à travers sa modernité. Déjà, en tant que sport européen introduit par les colons au 19e siècle, le cyclisme incarne le progrès et l’avenir, la modernité occidentale. Il s’agit, d’un point de vue historiographie, d’une analyse assez classique.
Plus que tout autre épreuve cycliste en Algérie au seuil des années 1950, c’est le Tour d’Algérie qui devient la pierre angulaire du mariage commercial de la presse et de l’industrie du vélo en Algérie, en l’occurrence La Dépêche Quotidienne d’Alger et la marque Terrot. [FICHE : le journal et Terrot] Celle-ci sponsorise l’équipe qui comprend le plus de vedettes nord-africaines, indigènes et européens. Plus que dans les critériums, c’est d’abord le Tour d’Algérie, et ensuite bien évidemment le Tour de France, qui servent d’espaces d’héroïsation. Pour La Dépêche / Champion et Terrot c’est, parmi d’autres coureurs, Ahmed Kebaïli qui sera lancé comme vedette. J’y reviens dans un instant.
À la fin des années 1940, plus que jamais, le cyclisme d’Algérie est visualisé et enseigné à travers l’écran. Nous constatons autour des épreuves sportives une médiatisation accrue : à part la radio et la presse coloniale déjà présentes, le nombre de titres de la presse métropolitaine qui couvrent les événements sportifs en Afrique du Nord augmente considérablement. Chose importante également, le Tour est couvert par les actualités cinématographiques. Manière moderne de montrer l’œuvre française : l’infrastructure et l’industrie, mais aussi des institutions telles que l’Armée et l’Eglise. C’est classique – cf. la photo de 1929 – mais beaucoup plus médiatisé. [FICHE: ponts, Kouba]
Dans le discours médiatico-sportif, aussi bien en 1929 que dans les années 1950, nous retrouvons de nombreuses juxtapositions ou plutôt oppositions des deux sphères, indigène et française ou occidentale. La photo issue du Miroir des Sports 1929 ressemble à la photo du tour dans les années 1950 [FICHE: dromadaire] et les imagettes tirées des Actualités Françaises montrent bien les Temps Modernes face au Moyen-âge : le coureur cycliste face à l’indigène monté sur un dromadaire ou une caravane d’ânes ; le vélo face à une charrette à âne ou à une charrue à bœuf [FICHE: âne, bœuf].
Le discours de la modernité apparaît aussi à travers la réclame, la participation de marques cyclistes et publicitaires. La promotion pour les marques commerciales va de pair avec la promotion du pays, ce dont témoignent les livres d’or, innovation d’après-guerre, aussi bien guides sportifs que guides touristiques.
Après l’exploitation du journal, suit l’exploitation de la route avec la “caravane blanche” comme “un nouveau mécanisme de propagande” (La Dépêche, 11 mars 1950). [FICHE: 1. Camions; 2. haut-parleurs; 3. chronométrage] Spectaculaire le Tour l’est en effet, avec son peloton et sa caravane publicitaire, véritable procession. Les voitures, les camions, les haut-parleurs, les slogans, le chronométrage, les annonces, tous indices d’avenir. Peloton et caravane véhiculent avec eux l’image du progrès, de la nouveauté, du modernisme. Avec les années, la caravane publicitaire s’amplifient et en 1953, elle compte 250 personnes.[9]
Dernier signe de progrès, les tentatives de développer le cyclisme féminin. [FICHE] En tant qu’espace public, la sphère sportive a occasionnellement permit aux femmes, surtout européennes, d’y accéder. Il n’y a que très peu de renseignements sur cette thématique. Le travail, à travers la presse coloniale, n’est pas encore fait. À Alger, c’était notamment Madame Christine de Stampa. Avec son mari très engagé dans le milieu cycliste, elle présidait le Vélo Club de Birmandreis, qui était à l’origine du développement de sections féminines dans les clubs algérois : notamment l’Union Cycliste Algéroise (présidé par M. de Stampa), le Vélo Sport Algérois, l’Olympique d’Hussein Dey et le Sport Cycliste Enfantin de Belcourt. Dès 1950, se déroulent des épreuves réservées aux dames dans le Département d’Alger. C’est beaucoup dire : les femmes qui pratiquent ce sport dans l’Algérois ne dépassent pas la dizaine. Dans le sillage du Tour d’Algérie Cycliste de 1950, il est organisé un Trophée féminin qui engage neuf participantes et qui relie Castiglione à Alger.[10]annales du cyclisme d'Algérie [texte imprimé] / r.saadallah, Auteur ; d.benfars, Auteur . - [S.l.] : Alger: O.P.U,, 1990 . - 401 p ; 21 cmx14 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : le cyclisme A1gerie le Vélo Sport Algérois l’Olympique d’Hussein Dey le Sport Cycliste Enfantin de Belcourt FICHE 1-Camions 2-haut-parleurs 3-chronométrage Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Voici, à travers ce reportage des Actualités Françaises, un aperçu de ce qu’était le Tour d’Algérie Cycliste, en 1949, et de ce que représentait le cyclisme nord-africain à l’époque. Trois remarques à partir de ces images.
Tout d’abord, le cyclisme au seuil des années 1950 en Algérie est un sport suivi et populaire : la foule, européens et algériens au bord des routes et dans le stade.
Ensuite, le TAC, comme toute boucle nationale, est une conquête ou reconquête rituelle du territoire algérien et nord-africain. Le tour veut enseigner le pays. Mais, en même temps, avec la participation d’équipes métropolitaines et de coureurs étrangers il revêt une dimension internationale. C’est en quelque sorte un espace de rencontres multiples, en Algérie et entre l’Afrique du Nord et l’Europe.
Enfin, le cyclisme est un récit et sa représentation à travers les médias (non seulement actualités cinématographiques, mais également la radio, et la presse coloniale, métropolitaine et européenne) y est pour quelque chose.
Cette communication fait partie de mon projet de recherches intitulé ‘Cycling Identities’ sur la problématique de la sportivisation de l’espace algérien au XXème siècle. Ce projet se situe au carrefour de l’histoire de la construction de l’identité nationale, de l’histoire culturelle des sports et de l’histoire des médias. Il s’agit d’un travail d’archives et d’un projet d’histoire orale, en Algérie et en Europe. Je tiens à souligner que l’apport et le soutien d’anciens sportifs, présents ce soir, me sont très précieux.
Deux questions s’imposent : [FICHE : Zélasco et Kebaïli]
– Dans quelle mesure le cyclisme ouvre-t-il un espace de sociabilité intercommunautaire et dans quelle mesure favorise-t-il en même temps l’affirmation d’identités distinctes : musulmanes, pieds-noirs, nord-africaines?
– Qu’en est-il du discours médiatico-sportif dans la construction de ces identités ? Quelles images des sportifs sont transmises (de souche algérienne, européenne) à travers la presse ?
Sur un plan général, a été amplement étudiée la manière dont le sport permet aux Algériens l’accès à de nouveaux espaces qui leur étaient jusqu’alors peu accessibles : la sphère sportive est un espace public. Dans le système colonial, il permet également un côtoiement avec le milieu européen. Le sport peut être perçu à la fois comme un acte transgressif [grensoverschrijdend] et comme un espace de revendications. Mais je pense que l’histoire du cyclisme d’Algérie est non seulement l’histoire de la construction de l’identité nationale – algérienne, perspective dominante dans l’historiographie, mais avant tout et pour la période qui nous intéresse ce soir, l’histoire de la construction de multiples identités qui se croisent, s’entremêlent, et parfois, se heurtent. [FICHE: L’équipe NA] Ainsi, comment cette sportivisation de l’espace colonial s’articule-t-elle avec ces enjeux identitaires ? Qu’en est-il de la signification du sport dans la construction des identités (« construction of identities »).[1] Qu’en est-il de la place du cyclisme dans la construction sociale des identités ? [FICHE: ZAAF, TAC]
L’étude la plus importante nous est fournie par les journalistes Rabah Saâdallah et Djamel Benfars: Annales du cyclisme d’Algérie (Alger 1990). Une chronique riche et dense, source incontournable. Ce projet, entamé dans les années 1980, était basé sur un travail de presse et de dizaines d’entretiens avec des anciens coureurs cyclistes algériens. Parallèllement au livre, sortait aussi un documentaire télévisé intitulé : Les gloires du passé. L’historique du cyclisme algérien 1903-1980. Il s’agit d’une série documentaire en 13 épisodes.
Ces Annales constituent une analyse du sport dans son contexte national, tout comme l’étude réalisée par le journaliste sportif Chehat Fayçal (Le Livre d’or du sport algérien 1962-1992 (1993) ou les écrits de Youcef Fatès (Sport et tiersmonde (1994); De l’Indochine à l’Algérie: la jeunesse en mouvements des deux côtés du miroir colonial, 1940-1962 (2003)). Fayçal aussi bien que Fatès consacrent quelques lignes au cyclisme.
Cette perspective intra muros, nous la retrouvons également chez bon nombre d’auteurs, journalistes et historiens, qui ont fait l’analyse du cyclisme français. Le contexte national domine. Cette approche classique et connue, qui lie le sport à la construction d’identité nationale, est à compléter dans une perspective transnationale. Effectivement, je pense que “the transnational turn”, c’est-à-dire l’analyse de l’objet culturel dans son contexte international, approche en vogue depuis quelques années, pourrait être une approche riche en matière d’histoire du sport dans un contexte colonial. L’historien irlandais Philip Dine, travaillant dans le domaine de French Cultural Studies, figure parmi les collègues qui s’intéressent aux constructions sociales et culturelles à travers le sport qui favorisent une approche interdisciplinaire et placent leur objet d’étude aussi bien dans le contexte de la France métropolitaine qu’outremer. De même pour l’ouvrage L’Empire des sports. Une histoire de la mondialisation culturelle (paru en 2010) de Pierre Singaravélou et Julien Sorez, qui s’interrogent notamment sur les “circulations des pratiques sportives en situations impériales”.
Dans ces approches théoriques et ces études empiriques, le cyclisme dans son contexte colonial, est marginalisé. Mis à part un article sur le Tour d’Algérie Cycliste de Philip Dine dans L’Empire des Sports, les universitaires du sport portent leur attention sur d’autres disciplines que celle du vélo (souvent le football, ou la boxe). Ainsi, dans un numéro spécial de la Revue algérienne d’anthropologie et de sciences sociales Insaniyat de 2006 intitulé « Le Sport : Phénomène et pratiques », le cyclisme est absent. Absence d’autant plus remarquable que sur ce sport dans un contexte colonial français, il existe l’analyse d’Évelyne Combeau-Mari, Sport et Décolonisation. La Réunion de 1946 à la fin des années 60 (1998). L’on retrouve quelques passages consacrés au cyclisme dans les travaux de Bernadette Deville-Danthu sur le sport colonial en Afrique occidentale, Le sport en noir et blanc (1997), et ceux de Sébastien Verney sur le tour d’Indochine, L’Indochine sous Vichy (2012).
Sur l’histoire du vélo en général, il existe une vaste historiographie, tant sur le cyclisme comme pratique sociale que sportive. Le Tour de France, par exemple, à été amplement étudié sous ses aspects commerciaux et ses structures mythiques à travers ses représentations dans la presse. Il en va de même pour le Giro d’Italia ou le cyclisme flamand, également considérés comme puissants symboles identitaires. Dans tous ces cas, ce sport s’est révélé un puissant vecteur d’identification régionale et/ou nationale. De là, il est tout à fait légitime d’étudier le cyclisme, souvent considéré le sport “le plus français qui soit”, dans son contexte colonial, en l’occurrence l’Algérie française.
Une dernière remarque dans cette introduction concerne l’essence même du cyclisme. Comment caractériser ce sport par rapport aux autres pratiques sportives ? Souvent, on souligne sa singularité. Celle-ci tient au fait que, d’abord, il s’agit d’un sport mécanique : il exige l’usage d’un matériel coûteux qui entraîne ensuite sa maintenance. Ensuite, c’est un sport qui ne se conforme pas au modèle de diffusion républicain classique : scolaire et orchestré par l’État. Le cyclisme est une activité a-scolaire, contrairement au football, à la natation ou à la gymnastique ; il ne figure pas au rang des disciplines sportives éducatives de par sa proximité avec le monde de l’argent (les grandes marques cyclistes) et de par sa dimension de spectacle (notamment à travers sa relation avec la presse). Enfin, sport atypique parce que, plus que le football, le cyclisme « vit dans la narration ». J’y reviens encore.
Dans ce qui suit, je fais le tour de mes recherches en vous proposant trois volets. Le premier porte sur un événement sportif précis: le Tour d’Algérie Cycliste en tant que ‘marker of identity’. Un deuxième volet s’interroge sur le lien complexe qu’entretient le cyclisme musulman avec le sentiment national, notamment à travers l’association sportive VSM. Enfin, un troisième volet porte sur l’ambivalence des identités sportives à travers l’étude d’une personnalité cycliste, Ahmed Kebaïli.
Le TAC
Tout comme en France métropolitaine, le cyclisme en Afrique du Nord prend ses origines dans le dernier quart du XIXème siècle. Sans pour autant évoquer l’histoire du cyclisme en Algérie, faute de temps, voici quelques remarques qui résument son avènement. Le cyclisme devient rapidement un sport populaire. Des courses et critériums sont organisées sur piste d’abord – le premier vélodrome est créé à Alger en 1897, sur la route ensuite. Dans les grands centres urbains des clubs sont créés : Club Olympique Algérois ; Vélo Club Oranais. Les coureurs qui se font connaître en Algérie et en métropole sont des colons. Pendant les premières décennies du XXème siècle, le cyclisme, dans le processus d’appropriation sportive du territoire algérien, est le signe privilégié d’une identité française.
Après la Première Guerre Mondiale, graduellement, des coureurs musulmans se font remarquer. Parmi les premières vedettes, signalons dans les années 1920, Abdelkader Kebylène, qui court et termine le premier Tour d’Algérie Cycliste en 1929 [FICHE : Tour d’Algérie 1929], et dans les années 1930 Abdelkader Abbès, le premier Algérien à courir et terminer le Tour de France en 1936. La même année, sont créés les premières associations musulmanes cyclistes parmi lesquelless le Vélo Sport Musulman (VSM), à Alger, à l’initiative d’un européen et avec l’aide des fondateurs du Mouloudia Club Algérois (‘le doyen’, date de 1921 – dans la vie associative le football précède le vélo).
Au lendemain de la Deuxième Guerre Mondiale, le cyclisme nord-africain est intégré à la Fédération Française de Cyclisme (FFC). Décision administrative qui témoigne de cette « deuxième occupation coloniale », une volonté de la part de ‘Paris’ d’investir en Algérie. D’après l’hebdomadaire de la FFC, La France Cycliste, au seuil des années 1950, l’Algérie compte quelque 2000-2500 licences et le nombre de clubs se situe autour de 75. À titre comparatif, en métropole, il y a environ 2000 associations et 60.000 licences. Impossible d’évaluer, faute de sources, parmi les licences nord-africains, le partage entre musulmans et européens, mais il est hors de doute que les algériens étaient très minoritaires – je pense quelques centaines tout au plus.
Les années 1945-1954 peuvent être considérées comme l’âge d’or du cyclisme d’Algérie. Pendant cette période, selon Chehat Fayçal, le vélo « disputait sans complexe la vedette au football ». [FICHE : Oran] Les épreuves les plus connues (les critériums de L’Echo d’Oran, de l’Echo d’Alger ainsi que la reprise du Tour d’Algérie en 1949) voient la participation des marques métropolitaines (Terrot, Automoto, Alcyon, Mercier) et de coureurs européens (belges, hollandais, suisses et italiens) parmi lesquels les plus grandes vedettes, tels Coppi et Bobet. Ces épreuves intègrent l’Algérie plus qu’auparavant dans le cyclisme international, c’est-à-dire, à l’époque, européen. La rencontre va dans les deux sens : pendant quelques années, le sport arrive même à un certain degré de professionnalisation, ce dont témoigne la participation des meilleurs algériens et pieds noirs aux épreuves européennes (Dauphiné Libéré, Le Tour de Suisse) et la participation à la grand-messe du cyclisme, le Tour de France, d’une équipe nord-africaine mixte comprenant les meilleurs nord-africains. Comment cette équipe a-t-elle été perçu e par la presse coloniale et métropolitaine ? L’anecdote Zaaf[2] dans le Tour de 1950 est à elle seule très connue et fait partie de la mythologie du Tour et constitue en soi un objet d’étude. Le phénomène est apparemment très suivi en Algérie, en témoigne la création d’un Club de Supporters de l’Équipe Nord-Africaine présidé par Vincent Ferrer (famille d’Hubert Ferrer, personnalité connue dans les milieux d’anciens cyclistes d’Algérie), dont le siège social est la brasserie Le Coq Hardi. [FICHE: Équipe Afrique du Nord 1950]
Plus que jamais, au seuil des années 1950, le cyclisme nord-africain intègre le cyclisme européen et, inversement, le cyclisme continental découvre le Maghreb. Il y a toute une analyse à faire sur ces rencontres, ces échanges, pour ne pas dire ces ‘migrations sportives saisonnières’ et leurs représentations, leurs mémoires et leurs significations sportives, culturelles et identitaires. [FICHE : Zaaf en Belgique] À titre d’exemple, les rencontres et l’amitié entre le coureur cycliste flamand, Hilaire Couvreur, et Abdelkader Zaaf. Zaaf est allé à Bruges, et inversement, Couvreur, le double vainqueur du Tour d’Algérie Cycliste, appelé dans le peloton ‘Hilaire l’Africain’, s’est installé pendant quelques mois avec sa femme et son enfant chez Zaaf à Chebli. Le fils de Couvreur, qui m’a apporté son témoignage, se rappelait, alors même qu’il était tout jeune, son séjour en Algérie. Cela m’intéresserait de savoir comment Zaaf a été perçu par la presse Flamande – la Flandre étant un haut lieu de cyclisme à l’époque (et l’est toujours aujourd’hui). [FICHE : Flamands à Alger]
Plus généralement, aller en Afrique du Nord, pour des cyclistes métropolitains et plus encore pour des Européens, souvent issus de couches modestes, répétons-le, à une époque où l’Europe ne se remettait que lentement de la Deuxième Guerre Mondiale, c’est lourd de sens et c’est bien plus qu’une simple aventure : pour ces jeunes c’est la découverte d’un monde inconnu, nouveau, exotique. Il est par exemple fascinant d’analyser les discours fabriqués sur l’Algérie (sur l’Orient pour se référer à Edward Said) par des coureurs néerlandais : l’Algérie fascine (références de type Mille et Une Nuits) et inspire la crainte. Ils se reconnaissent dans la culture citadine et littorale, les grandes villes de côte, Alger, Oran, Bône, la France, mais dès qu’ils traversent l’arrière-pays ( étapes vers Bou-Saada, Biskra), ils perdent leurs références et leurs repères : le paysage (désertique) aussi bien que la population locale (arabophone) font peur. Ils veulent surtout ne pas être lâchés par le peloton !
Le Tour d’Algérie, preuve de francité
Le cyclisme peut être analysé comme un puissant « marker of identity » qui se rapporte, parmi d’autres, aux multiples interactions spatiales. Le TAC est une épreuve de ‘francité’: 1) Une ‘célébration’ de l’Algérie française. Les villes et villages des départements d’Oran, d’Alger et de Constantine sont liés à tour de rôle en tant que lieux de passage ou ville-étapes. Ils soulignent à la fois la cohésion, les ressemblances et différences entre régions et paysages ; 2) Une reconquête rituelle du territoire nord-africain.
Comme l’a souligné Phil Dine, le TAC est d’abord et avant tout « une course hautement symbolique. » L’arrière-fond, c’est l’optimisme renouvelé de l’Algérie française d’après-guerre. Toujours selon Dine, cette course se veut la démonstration de la stabilité et de la permanence française en Algérie, malgré les signes de plus en plus évidents de la contestation nationaliste.[3] Cette épreuve sur plusieurs semaines se veut la copie conforme du modèle métropolitain, le Tour de France. Il s’agit de « calquer, le plus possible »[4] l’organisation de l’illustre modèle. Pour en arriver là, le TAC, selon le journaliste sportif Tony Arbona de La Dépêche Quotidienne, sollicite le support de L’Équipe et de Jacques Goddet.
Pendant les 5 ans de son existence, 1949-1953, le tour en tant que ‘célébration’ de l’Algérie française[5] lie à tour de rôle les villes et villages des départements d’Oran, d’Alger et de Constantine en tant que lieux de passage ou ville-étapes. L’épreuve sportive souligne ainsi à la fois la cohésion (ressemblances) mais aussi les différences entre régions et paysages. Le Tour d’Algérie c’est une valorisation du sol algérien, mais non pas des géographies idéales, puisque le grand sud n’est jamais inclus dans l’épreuve. [FICHE : 1949] Pas une boucle à la française mais plutôt un rectangle, de l’Est à l’Ouest et retour. Les itinéraires successifs du TAC sont des variantes de ‘beating the bounds’, une version moderne d’une randonnée rituelle par laquelle, dans le passé, une communauté villageoise affirmait l’intégrité de son territoire.[6] Comme reconquête rituelle du territoire nord-africain, cette épreuve véhicule ses propres rites et symboliques.
Parenthèse : les maquettes des affiches après-guerre sont réalisées par l’illustrateur et écrivain Gaston Ry (René Rostagny). Surtout l’affiche 1949, très réussie, une véritable œuvre d’art. Notons, et je pense que ce n’est pas anodin, que Rostagny publia en 1967 La Grande honte, une histoire de la guerre d’Algérie on ne peut plus revancharde.
Ces deux épreuves constituent une exception puisque par la suite, aucun tour d’Algérie n’arrive à s’organiser sur une durée trois semaines sur cette axe ; les boucles deviennent non seulement incomplètes, mais imparfaites. [FICHE : plans 1951 et 1952] Signalons que dans deux boucles seulement, celles de 1951 et 1952, l’intégrité du territoire est affirmée, et paradoxalement par des excursions à l’étranger, respectivement en Tunisie (avec des villes étapes Bizerte et Tunis) et au Maroc (ville étape d’Oujda).
Le parcours désigne un territoire dont il le met en scène et en accentue, au passage, la beauté. L’expérience du Tour d’Algérie se veut esthétique. L’Algérie traversée est une Algérie magnifiée : La Dépêche le 17 mars 1953 : « Si le Tour est un spectacle pour les pays qu’il traverse, ces pays le lui rendent bien. (…) Montagnes, campagnes, visages, voix humaines (…) l’Algérie toute entière. » [FICHE : imagettes paysages] Tout comme son modèle, le Tour de France, le Tour d’Algérie exprime une volonté d’illustrer le territoire, d’affirmer « un sentiment d’appartenance ». Il veut « enseigner le pays ».[7]
De 1949 à 1953, les reportages de la presse écrite démontrent cette francité essentielle du territoire. Un exemple tiré de l’Écho d’Alger [je cite] : « Dans le moindre hameau, le passage du Tour d’Algérie était comme le jour de fête nationale : on a placé les enfants des écoles agitant des petits drapeaux tricolores le long du trottoir ; on a pavoisé comme pour le 14 juillet ; on a sorti précautionneusement son costume des dimanches ; on a convoqué la fanfare pour jouer la ‘Marseillaise’ au passage des coureurs. »[8] [FICHE : imagettes foules] Et le journaliste Finaltéri, dans sa rubrique ‘Tout autour du Tour’, d’écrire [je cite]: « Nous avons retrouvé hier matin, l’ambiance des grands départs sur l’immense place du Gouvernement d’Alger. (…) la foule s’était massée derrière les barrières tricolores, les mêmes que celles utilisées lors des défiles des grandes fêtes nationales (…) Séparément, ou par groupes, les coureurs pénétrèrent dans l’enceinte, sportivement applaudis. Ce fut surtout le cas pour les algérois Zelasco, Chibane et Zaaf. » (La Dépêche, 1950).
Dans l’évocation des différents paysages, la Métropole, la mère-patrie, n’est jamais loin. Dans le tour de 1952, est évoquée la ville-étape de Ténès. Suivons le texte dans le Livre d’or [FICHE: Ténès] [je cite]: “Ténès, située à mi-chemin entre Alger et Mostaganem sur la route du littoral est certainement l’une des stations côtières les plus agréables à connaître et à fréquenter. Édifiée à l’endroit où le rivage s’amollit brusquement, après les escarpements vertigineux qui le caractérisent depuis Cherchell, elle offre à l’Est comme à l’Ouest une extrême variété de cirques couronnées de pins, comparables aux plus beaux coins de la Côte d’Azur, alternant avec des rives sablonneuses ou rocheuses, paradis des baigneurs et des amateurs d’oursins et de pêche.” [fin de citation].
Une manière différente, mais récurrente, de se référer au passé et aux systèmes de valeurs français, sont dans le Tour même, les rites du départ. Ainsi, l’exemple d’une cérémonie devant le monument aux morts à Sidi Bel-Abbès. Il y en avait aussi à Tunis et à Mostaganem. Plusieurs lectures possibles : la commémoration d’un passé glorieux, partagé, les tranchées de 14-18 ? Et, à travers le souvenir de la guerre, les références symboliques : virilité, honneur, persévérence ? [FICHE : monument aux morts]
Le TAC et la modernité
Cette francité du cyclisme s’exprime également à travers sa modernité. Déjà, en tant que sport européen introduit par les colons au 19e siècle, le cyclisme incarne le progrès et l’avenir, la modernité occidentale. Il s’agit, d’un point de vue historiographie, d’une analyse assez classique.
Plus que tout autre épreuve cycliste en Algérie au seuil des années 1950, c’est le Tour d’Algérie qui devient la pierre angulaire du mariage commercial de la presse et de l’industrie du vélo en Algérie, en l’occurrence La Dépêche Quotidienne d’Alger et la marque Terrot. [FICHE : le journal et Terrot] Celle-ci sponsorise l’équipe qui comprend le plus de vedettes nord-africaines, indigènes et européens. Plus que dans les critériums, c’est d’abord le Tour d’Algérie, et ensuite bien évidemment le Tour de France, qui servent d’espaces d’héroïsation. Pour La Dépêche / Champion et Terrot c’est, parmi d’autres coureurs, Ahmed Kebaïli qui sera lancé comme vedette. J’y reviens dans un instant.
À la fin des années 1940, plus que jamais, le cyclisme d’Algérie est visualisé et enseigné à travers l’écran. Nous constatons autour des épreuves sportives une médiatisation accrue : à part la radio et la presse coloniale déjà présentes, le nombre de titres de la presse métropolitaine qui couvrent les événements sportifs en Afrique du Nord augmente considérablement. Chose importante également, le Tour est couvert par les actualités cinématographiques. Manière moderne de montrer l’œuvre française : l’infrastructure et l’industrie, mais aussi des institutions telles que l’Armée et l’Eglise. C’est classique – cf. la photo de 1929 – mais beaucoup plus médiatisé. [FICHE: ponts, Kouba]
Dans le discours médiatico-sportif, aussi bien en 1929 que dans les années 1950, nous retrouvons de nombreuses juxtapositions ou plutôt oppositions des deux sphères, indigène et française ou occidentale. La photo issue du Miroir des Sports 1929 ressemble à la photo du tour dans les années 1950 [FICHE: dromadaire] et les imagettes tirées des Actualités Françaises montrent bien les Temps Modernes face au Moyen-âge : le coureur cycliste face à l’indigène monté sur un dromadaire ou une caravane d’ânes ; le vélo face à une charrette à âne ou à une charrue à bœuf [FICHE: âne, bœuf].
Le discours de la modernité apparaît aussi à travers la réclame, la participation de marques cyclistes et publicitaires. La promotion pour les marques commerciales va de pair avec la promotion du pays, ce dont témoignent les livres d’or, innovation d’après-guerre, aussi bien guides sportifs que guides touristiques.
Après l’exploitation du journal, suit l’exploitation de la route avec la “caravane blanche” comme “un nouveau mécanisme de propagande” (La Dépêche, 11 mars 1950). [FICHE: 1. Camions; 2. haut-parleurs; 3. chronométrage] Spectaculaire le Tour l’est en effet, avec son peloton et sa caravane publicitaire, véritable procession. Les voitures, les camions, les haut-parleurs, les slogans, le chronométrage, les annonces, tous indices d’avenir. Peloton et caravane véhiculent avec eux l’image du progrès, de la nouveauté, du modernisme. Avec les années, la caravane publicitaire s’amplifient et en 1953, elle compte 250 personnes.[9]
Dernier signe de progrès, les tentatives de développer le cyclisme féminin. [FICHE] En tant qu’espace public, la sphère sportive a occasionnellement permit aux femmes, surtout européennes, d’y accéder. Il n’y a que très peu de renseignements sur cette thématique. Le travail, à travers la presse coloniale, n’est pas encore fait. À Alger, c’était notamment Madame Christine de Stampa. Avec son mari très engagé dans le milieu cycliste, elle présidait le Vélo Club de Birmandreis, qui était à l’origine du développement de sections féminines dans les clubs algérois : notamment l’Union Cycliste Algéroise (présidé par M. de Stampa), le Vélo Sport Algérois, l’Olympique d’Hussein Dey et le Sport Cycliste Enfantin de Belcourt. Dès 1950, se déroulent des épreuves réservées aux dames dans le Département d’Alger. C’est beaucoup dire : les femmes qui pratiquent ce sport dans l’Algérois ne dépassent pas la dizaine. Dans le sillage du Tour d’Algérie Cycliste de 1950, il est organisé un Trophée féminin qui engage neuf participantes et qui relie Castiglione à Alger.[10]Réservation
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Titre : Bi lingual Action Songs And Games Chansons Bilingues Et Jeux Dansés 6 à 11 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Patricia Beaton, Auteur Année de publication : 1991 Format : 20 cm x 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-10227-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : Action Songs And games Chansons Bilingues Jeux Dansés 6 à 11 ans Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Bi lingual Action Songs And Games Chansons Bilingues Et Jeux Dansés 6 à 11 ans [texte imprimé] / Patricia Beaton, Auteur . - 1991 . - ; 20 cm x 29 cm.
ISSN : 978-2-200-10227-5
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Action Songs And games Chansons Bilingues Jeux Dansés 6 à 11 ans Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-6355 793.3-21.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt BMX race / Germain Zala
Titre : BMX race : s'initier et progresser Type de document : texte imprimé Auteurs : Germain Zala, Auteur Editeur : Paris : Éd. Amphora Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (176 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85180-714-4 Prix : 19,80 EUR Note générale : La couv. porte en plus : "présentation, gestes techniques de base, gestes techniques évolués, tactiques, trajectoires, dépassements"
GlossaireLangues : Français (fre) Mots-clés : Bicross (sport) bmx race entrainement Jeux Olympiques à Pékin en 2008 les parcours constitué d'obstacles divers (bosses de différentes virages relevés...) le support pédagogique consacré à ce sport les principes fondamentaux de ce sport identification avec chronophotographies observation description illustrée des différentes phases Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Le BMX Race est une discipline très spectaculaire et en plein essor qui deviendra olympique pour la première fois dès les prochains Jeux Olympiques à Pékin en 2008. Il s'agit, comme en motocross, d'affronter des adversaires sur un parcours constitué d'obstacles divers (bosses de différentes, virages relevés...). Germain Zala propose le premier support pédagogique consacré à ce sport ; à la fois théorique et résolument pratique, ce manuel s'adresse aussi bien aux pratiquants souhaitant s'initier ou se perfectionner qu'aux entraîneurs à la recherche d'un support pour consolider leur enseignement. Après avoir défini les principes fondamentaux de ce sport, il analyse et décrit l'ensemble des gestes techniques de base et évolués que le pilote devra maîtriser lors d'une course. Illustré par de nombreuses photos didactiques spécifiquement réalisées par un pilote élite, chaque geste est développé selon une même organisation : identification avec chronophotographies, observation, description illustrée des différentes phases, propositions de situations d'apprentissage et focus sur les principales erreurs rencontrées. Une dernière partie, en annexe, est consacrée à l'aspect tactique et, notamment, aux trajectoires et dépassements en virage. BMX race : s'initier et progresser [texte imprimé] / Germain Zala, Auteur . - Paris : Éd. Amphora, 2007 . - 1 vol. (176 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-85180-714-4 : 19,80 EUR
La couv. porte en plus : "présentation, gestes techniques de base, gestes techniques évolués, tactiques, trajectoires, dépassements"
Glossaire
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bicross (sport) bmx race entrainement Jeux Olympiques à Pékin en 2008 les parcours constitué d'obstacles divers (bosses de différentes virages relevés...) le support pédagogique consacré à ce sport les principes fondamentaux de ce sport identification avec chronophotographies observation description illustrée des différentes phases Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Le BMX Race est une discipline très spectaculaire et en plein essor qui deviendra olympique pour la première fois dès les prochains Jeux Olympiques à Pékin en 2008. Il s'agit, comme en motocross, d'affronter des adversaires sur un parcours constitué d'obstacles divers (bosses de différentes, virages relevés...). Germain Zala propose le premier support pédagogique consacré à ce sport ; à la fois théorique et résolument pratique, ce manuel s'adresse aussi bien aux pratiquants souhaitant s'initier ou se perfectionner qu'aux entraîneurs à la recherche d'un support pour consolider leur enseignement. Après avoir défini les principes fondamentaux de ce sport, il analyse et décrit l'ensemble des gestes techniques de base et évolués que le pilote devra maîtriser lors d'une course. Illustré par de nombreuses photos didactiques spécifiquement réalisées par un pilote élite, chaque geste est développé selon une même organisation : identification avec chronophotographies, observation, description illustrée des différentes phases, propositions de situations d'apprentissage et focus sur les principales erreurs rencontrées. Une dernière partie, en annexe, est consacrée à l'aspect tactique et, notamment, aux trajectoires et dépassements en virage. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-9402 798.2-43.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt IEPS-9403 798.2-43.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible IEPS-9404 798.2-43.3 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible IEPS-9405 798.2-43.4 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible IEPS-9406 798.2-43.5 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible IEPS-9407 798.2-43.6 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible les cartouches pour fusils et mitrailleuses / Jean Huon
Titre : les cartouches pour fusils et mitrailleuses Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Huon, Auteur Editeur : Paris: Amphora Année de publication : 1986 Importance : 380p. Format : 16 cm x22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85180-122-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : loisir découverte aventure cartouche fusils armes Index. décimale : 791- Sport et Loisirs Résumé : Présentation de l'éditeur
Par Jean Huon. 2ème éditions entièrement remise à jour Voici enfin la réédition tant attendue d'un livre publié en 1986 sur le même sujet. Si la nouvelle édition reprend la même formule que l'ancienne, avec ses fiches techniques détaillées sur la plupart des munitions réalisées depuis 1870 : caractéristiques dimensionnelles, photo échelle 1, description, variantes avec de nombreuses illustrations, liste des armes chambrées pour la munition, elle s'est enrichie d'informations complémentaires sur les calibres décrits, mais aussi de nouvelles fiches sur les munitions apparues depuis vingt ans.les cartouches pour fusils et mitrailleuses [texte imprimé] / Jean Huon, Auteur . - [S.l.] : Paris: Amphora, 1986 . - 380p. ; 16 cm x22 cm.
ISSN : 978-2-85180-122-8
Langues : Français (fre)
Mots-clés : loisir découverte aventure cartouche fusils armes Index. décimale : 791- Sport et Loisirs Résumé : Présentation de l'éditeur
Par Jean Huon. 2ème éditions entièrement remise à jour Voici enfin la réédition tant attendue d'un livre publié en 1986 sur le même sujet. Si la nouvelle édition reprend la même formule que l'ancienne, avec ses fiches techniques détaillées sur la plupart des munitions réalisées depuis 1870 : caractéristiques dimensionnelles, photo échelle 1, description, variantes avec de nombreuses illustrations, liste des armes chambrées pour la munition, elle s'est enrichie d'informations complémentaires sur les calibres décrits, mais aussi de nouvelles fiches sur les munitions apparues depuis vingt ans.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-1420 791-5.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt Une certaine idée de la danse / Jacqueline Robinson
Titre : Une certaine idée de la danse : réflexions au fil des jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Robinson (1922-2000), Auteur Editeur : Paris : Chiron Année de publication : 1997 Importance : 124 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7027-0570-4 Prix : 98 F Note générale : Recueil de textes extr. de diverses revues et publications, 1953-1995
Notes bibliogr.Langues : Français (fre) Mots-clés : la composition l'enseignement patrimoine l'improvisation pédagogique Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Résumé : Jacqueline Robinson, Une certaine idée de la danse, réflexions au fil des
jours, Paris, Chiron, 1997, 126 pages.
Cet ouvrage est un recueil d'articles publiés sur une période de quarante ans. Il
donne à lire une méditation sur la pensée de la danse qui se développe sur le plan
chronologique. Le livre de Jacqueline Robinson m'a séduit. Si je mets de côté les
chapitres révérencieux sur Wygman qui ne me parlent pas encore vraiment et ceux
liés à l'histoire de la danse contemporaine (jusqu'à la page 64), les autres sont d'une
limpidité extrême pour tous.
La plupart des textes rapportent une méditation continue de l'auteur sur son
métier. Elle réfléchit à la composition, à l'enseignement, au rapport à la musique, au
rapport au patrimoine, etc. Sur l'improvisation, le livre reprend un important article
publié en mai 1989 dans Marsyas (n° 12) : huit pages denses de réflexion sur ce que
signifie entrer en improvisation où Jacqueline Robinson précise qu'elle cherche à
« décrire l'entrée en improvisation telle que je l'ai vécue, et telle que je souhaite la
faire vivre à mes élèves (p. 67). » L'auteur délimite le contexte de l'improvisation :
« S'agit-il d'un bavardage, monologue spontané avec ou sans musique ? avec
précisément le désir de s'abandonner à une musique ? est-ce seul ou devant
témoin(s) ? S'agit-il des prémisses à la composition? s'agit-il de façonner et
construire selon un matériau/vocabulaire connu ? ou bien s'agit-il de créer un
vocabulaire adéquat à une vision personnelle ? S'agit-il de se conformer à des
données extérieures en situation pédagogique (atelier de recherche sur un sujet
particulier) ? »
L'auteur constate que ces éléments du contexte sont à prendre en compte et à
analyser pour comprendre de quoi l'on parle lorsqu'on évoque le terme
d'improvisation. Je suis étonné de la pertinence des remarques de Jacqueline
Robinson si on les déplace du domaine de la danse contemporaine vers le tango. Par
exemple lorsqu'elle écrit : « Le rôle de la musique ? Le plus souvent primordial.
C'est une musique qui fera lever de sa chaise. le danseur potentiel ; qui va le saisir et
l'entraîner (p. 68) ». .
Évidemment, les convergences n'empêchent pas les différences. Le danseur
contemporain est seul. Le sujet de l'improvisation dans le tango est le couple. Peuton lui appliquer le discours de Jacqueline Robinson ? Par exemple, lorsqu'elle écrit :
« Chacun d'entre nous, chorégraphes, fonctionne selon les lois de son jardin secret,
et ce que je peux, moi, dire de l'improvisation, prémisse à la composition
chorégraphique, est forcément conditionné par ma propre expérience de créateur.
J'ai tenté [...J d'évoquer ce mystérieux voyage à l'intérieur de soi-même, à la
recherche de ce matériau que l'on ramènera à la surface pour l'affiner, le façonner,
le structurer en vue d'en faire une uvre. Matériau multiforme : une tension, une
forme, un rythme, une trajectoire, un rapport de force, un climat, une sonorité, une
texture... Comment se présentent à chacun d'entre nous ces éléments ? mystère !
Quel était le premier désir de l'uvre ? Autre mystère. »
Jacqueline Robinson écrit qu'improviser, c'est éveiller l'imaginaire, retrouver
des sensations, créer l'invisible : « La formation du danseur suppose que celui-ci ait
intégré un grand nombre d'expériences mettant en jeu toutes ses facultés. Intégrer
signifie « rentrer dans un ensemble », et n'est pas loin de « intègre », « intégral »
[...] Intégrer implique aussi « intérieur », et nous voilà ramenés au voyage intérieur
L'Homme et la Société, rt° 126, octobre-décembre 1997
134 L'Homme et la Société
de l'improvisation» dont les phases sont « exploration, découverte, appropriation,
vérification (p. 71). »
Jacqueline Robinson parle encore des contraintes nécessaires à l'improvisation.
Elle parle aussi du fait qu'elle se fait le plus souvent dans un état d'urgence, de
vulnérabilité, voire d'exaltation. Elle pose encore la question de l'évaluation de
l'improvisation. Elle voit l'improvisation comme un dispositif d'apprentissage
(p. 74) qui revivifie la danse, qui l'empêche de se figer... On voit, à travers ces
rapides commentaires, l'importance de ce chapitre pour nous. Les suivants ne sont
pas moins essentiels.
Ainsi, à propos de la composition, elle écrit : « le happening, l'improvisé,
l'aléatoire, cela fait-il une uvre ? C'est autre chose, une autre démarche, et
pourquoi pas ? L'uvre, elle, devient une entité, qui possède son existence propre.
C'est un objet identifiable, reproductible et qui dépasse l'éphémère. »
Bref, un ouvrage qui aborde de façon très personnelle des sujets essentiels à la
création chorégraphique. Signalons dans la même veine r La signature de la danse
contemporaine de Sylvie Crémézi (Chiron, 1997). C'est un ouvrage de présentation
de la danse contemporaine. L'auteur est danseuse, diplômée (docteur), enseignante à
l'université de Paris V. C'est un ouvrage bien écrit. J'ai bien aimé les citations de
danseurs contemporains expliquant leur démarche.
Rémi Hess
Claudine Guerrier ; Presse écrite et danse contemporaine, Paris, Chiron,
1997, 278 p. ;
Souvent, j'ai pensé que la danse contemporaine avait été un produit de la presse.
L'auteur, dans un ouvrage relativement important à la fois par la thématique et par le
volume, le démontre et montre que réciproquement la danse contemporaine a
produit une certaine presse. Cette thématique est intéressante parce que je crois que
ce n'est pas le seul mouvement de danse qui soit produit par les médias écrits. Les
danses exotiques laissent aussi beaucoup de traces à l'époque qu'étudie Anne
Décoret (« la danse exotique », dans Pour n° 145. 1995 ainsi que son article publié
ici même). *
Claudine Guerrier, qui est docteur d'état en sciences politiques, enseignantchercheur à l'École nationale des télécommunications, a déjà publié chez Chiron
Chorégraphie et société (1990) et Afichael Denard : l'interprète de la
création (1992).
Le présent ouvrage montre les imbrications étroites et les interactions qui ont
existé, dès le départ, entre cette nouvelle forme d'expression dansée et une certaine
presse, chacune nourrissant et légitimant l'autre. L'intérêt de l'ouvrage est de décrire
l'avènement de la danse contemporaine et son évolution entre les années 1970 et
aujourd'hui. Du point de vue institutionnaliste, c'est l'étude d'une
institutionnalisation. Dans les années 1970, on a affaire à une phase instituante. Les
danseurs comme les journalistes qui les suivent sont des militants. L'auteur raconte
l'aventure de Pour la danse, cette revue de « combat » dit-elle, qui s'autodissout
lorsque la phase instituante se termine. Cette période instituante est une phase
d'enthousiasme. Elle étudie le mouvement du côté des danseurs et du côté des
journalistes.
L'auteur s'intéresse ensuite à la double révolution qui s'opère et dans la presse et
dans la danse contemporaine du fait de cette institutionnalisation réussie. Elle tente
de comprendre l'effet de la danse sur l'écriture et l'effet de l'écriture sur la danse.
L'ouvrage réfléchit sur la trahison qui s'opère de la prophétie initialeUne certaine idée de la danse : réflexions au fil des jours [texte imprimé] / Jacqueline Robinson (1922-2000), Auteur . - Paris : Chiron, 1997 . - 124 p. : couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7027-0570-4 : 98 F
Recueil de textes extr. de diverses revues et publications, 1953-1995
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : la composition l'enseignement patrimoine l'improvisation pédagogique Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Résumé : Jacqueline Robinson, Une certaine idée de la danse, réflexions au fil des
jours, Paris, Chiron, 1997, 126 pages.
Cet ouvrage est un recueil d'articles publiés sur une période de quarante ans. Il
donne à lire une méditation sur la pensée de la danse qui se développe sur le plan
chronologique. Le livre de Jacqueline Robinson m'a séduit. Si je mets de côté les
chapitres révérencieux sur Wygman qui ne me parlent pas encore vraiment et ceux
liés à l'histoire de la danse contemporaine (jusqu'à la page 64), les autres sont d'une
limpidité extrême pour tous.
La plupart des textes rapportent une méditation continue de l'auteur sur son
métier. Elle réfléchit à la composition, à l'enseignement, au rapport à la musique, au
rapport au patrimoine, etc. Sur l'improvisation, le livre reprend un important article
publié en mai 1989 dans Marsyas (n° 12) : huit pages denses de réflexion sur ce que
signifie entrer en improvisation où Jacqueline Robinson précise qu'elle cherche à
« décrire l'entrée en improvisation telle que je l'ai vécue, et telle que je souhaite la
faire vivre à mes élèves (p. 67). » L'auteur délimite le contexte de l'improvisation :
« S'agit-il d'un bavardage, monologue spontané avec ou sans musique ? avec
précisément le désir de s'abandonner à une musique ? est-ce seul ou devant
témoin(s) ? S'agit-il des prémisses à la composition? s'agit-il de façonner et
construire selon un matériau/vocabulaire connu ? ou bien s'agit-il de créer un
vocabulaire adéquat à une vision personnelle ? S'agit-il de se conformer à des
données extérieures en situation pédagogique (atelier de recherche sur un sujet
particulier) ? »
L'auteur constate que ces éléments du contexte sont à prendre en compte et à
analyser pour comprendre de quoi l'on parle lorsqu'on évoque le terme
d'improvisation. Je suis étonné de la pertinence des remarques de Jacqueline
Robinson si on les déplace du domaine de la danse contemporaine vers le tango. Par
exemple lorsqu'elle écrit : « Le rôle de la musique ? Le plus souvent primordial.
C'est une musique qui fera lever de sa chaise. le danseur potentiel ; qui va le saisir et
l'entraîner (p. 68) ». .
Évidemment, les convergences n'empêchent pas les différences. Le danseur
contemporain est seul. Le sujet de l'improvisation dans le tango est le couple. Peuton lui appliquer le discours de Jacqueline Robinson ? Par exemple, lorsqu'elle écrit :
« Chacun d'entre nous, chorégraphes, fonctionne selon les lois de son jardin secret,
et ce que je peux, moi, dire de l'improvisation, prémisse à la composition
chorégraphique, est forcément conditionné par ma propre expérience de créateur.
J'ai tenté [...J d'évoquer ce mystérieux voyage à l'intérieur de soi-même, à la
recherche de ce matériau que l'on ramènera à la surface pour l'affiner, le façonner,
le structurer en vue d'en faire une uvre. Matériau multiforme : une tension, une
forme, un rythme, une trajectoire, un rapport de force, un climat, une sonorité, une
texture... Comment se présentent à chacun d'entre nous ces éléments ? mystère !
Quel était le premier désir de l'uvre ? Autre mystère. »
Jacqueline Robinson écrit qu'improviser, c'est éveiller l'imaginaire, retrouver
des sensations, créer l'invisible : « La formation du danseur suppose que celui-ci ait
intégré un grand nombre d'expériences mettant en jeu toutes ses facultés. Intégrer
signifie « rentrer dans un ensemble », et n'est pas loin de « intègre », « intégral »
[...] Intégrer implique aussi « intérieur », et nous voilà ramenés au voyage intérieur
L'Homme et la Société, rt° 126, octobre-décembre 1997
134 L'Homme et la Société
de l'improvisation» dont les phases sont « exploration, découverte, appropriation,
vérification (p. 71). »
Jacqueline Robinson parle encore des contraintes nécessaires à l'improvisation.
Elle parle aussi du fait qu'elle se fait le plus souvent dans un état d'urgence, de
vulnérabilité, voire d'exaltation. Elle pose encore la question de l'évaluation de
l'improvisation. Elle voit l'improvisation comme un dispositif d'apprentissage
(p. 74) qui revivifie la danse, qui l'empêche de se figer... On voit, à travers ces
rapides commentaires, l'importance de ce chapitre pour nous. Les suivants ne sont
pas moins essentiels.
Ainsi, à propos de la composition, elle écrit : « le happening, l'improvisé,
l'aléatoire, cela fait-il une uvre ? C'est autre chose, une autre démarche, et
pourquoi pas ? L'uvre, elle, devient une entité, qui possède son existence propre.
C'est un objet identifiable, reproductible et qui dépasse l'éphémère. »
Bref, un ouvrage qui aborde de façon très personnelle des sujets essentiels à la
création chorégraphique. Signalons dans la même veine r La signature de la danse
contemporaine de Sylvie Crémézi (Chiron, 1997). C'est un ouvrage de présentation
de la danse contemporaine. L'auteur est danseuse, diplômée (docteur), enseignante à
l'université de Paris V. C'est un ouvrage bien écrit. J'ai bien aimé les citations de
danseurs contemporains expliquant leur démarche.
Rémi Hess
Claudine Guerrier ; Presse écrite et danse contemporaine, Paris, Chiron,
1997, 278 p. ;
Souvent, j'ai pensé que la danse contemporaine avait été un produit de la presse.
L'auteur, dans un ouvrage relativement important à la fois par la thématique et par le
volume, le démontre et montre que réciproquement la danse contemporaine a
produit une certaine presse. Cette thématique est intéressante parce que je crois que
ce n'est pas le seul mouvement de danse qui soit produit par les médias écrits. Les
danses exotiques laissent aussi beaucoup de traces à l'époque qu'étudie Anne
Décoret (« la danse exotique », dans Pour n° 145. 1995 ainsi que son article publié
ici même). *
Claudine Guerrier, qui est docteur d'état en sciences politiques, enseignantchercheur à l'École nationale des télécommunications, a déjà publié chez Chiron
Chorégraphie et société (1990) et Afichael Denard : l'interprète de la
création (1992).
Le présent ouvrage montre les imbrications étroites et les interactions qui ont
existé, dès le départ, entre cette nouvelle forme d'expression dansée et une certaine
presse, chacune nourrissant et légitimant l'autre. L'intérêt de l'ouvrage est de décrire
l'avènement de la danse contemporaine et son évolution entre les années 1970 et
aujourd'hui. Du point de vue institutionnaliste, c'est l'étude d'une
institutionnalisation. Dans les années 1970, on a affaire à une phase instituante. Les
danseurs comme les journalistes qui les suivent sont des militants. L'auteur raconte
l'aventure de Pour la danse, cette revue de « combat » dit-elle, qui s'autodissout
lorsque la phase instituante se termine. Cette période instituante est une phase
d'enthousiasme. Elle étudie le mouvement du côté des danseurs et du côté des
journalistes.
L'auteur s'intéresse ensuite à la double révolution qui s'opère et dans la presse et
dans la danse contemporaine du fait de cette institutionnalisation réussie. Elle tente
de comprendre l'effet de la danse sur l'écriture et l'effet de l'écriture sur la danse.
L'ouvrage réfléchit sur la trahison qui s'opère de la prophétie initialeRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSU-630 793.3-02.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSU-631 793.3-02.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible les chiens de traineaux de la peur du loup à l'amour d'un chien / dominique grandjean
Titre : les chiens de traineaux de la peur du loup à l'amour d'un chien : de la peur du loup à l'amour d'un chien Type de document : texte imprimé Auteurs : dominique grandjean, Auteur Editeur : Paris: Amphora Année de publication : 1987 Importance : 224p. Format : 22 cm x 16 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85180-118-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : découverte loisir aventure chien traîneau à chiens Index. décimale : 791- Sport et Loisirs Résumé : est une méthode inventée par les peuples autochtones du Nord pour se déplacer en hiver. Les premiers explorateurs et trappeurs européens l’ont adoptée, car elle constituait le moyen le plus efficace pour transporter des marchandises sur un terrain recouvert par la neige. Des équipes de 2 à 12 chiens, voire plus, sont attachées, par paires, à une corde, appelée ligne de trait centrale, reliée au traîneau, permettant aux chiens de le tirer sur la neige. En l’absence de piste, lorsque le traîneau passe dans la neige profonde, les chiens peuvent être placés à la file entre deux lignes de trait et suivre la piste étroite créée dans la neige par le conducteur se déplaçant devant eux en raquettes. Dans l’Arctique, où la neige s’accumule et durcit, les Inuits utilisent souvent l’attelage en éventail où chaque chien est attaché au traîneau par sa propre ligne de trait. les chiens de traineaux de la peur du loup à l'amour d'un chien : de la peur du loup à l'amour d'un chien [texte imprimé] / dominique grandjean, Auteur . - [S.l.] : Paris: Amphora, 1987 . - 224p. ; 22 cm x 16 cm.
ISBN : 978-2-85180-118-0
Langues : Français (fre)
Mots-clés : découverte loisir aventure chien traîneau à chiens Index. décimale : 791- Sport et Loisirs Résumé : est une méthode inventée par les peuples autochtones du Nord pour se déplacer en hiver. Les premiers explorateurs et trappeurs européens l’ont adoptée, car elle constituait le moyen le plus efficace pour transporter des marchandises sur un terrain recouvert par la neige. Des équipes de 2 à 12 chiens, voire plus, sont attachées, par paires, à une corde, appelée ligne de trait centrale, reliée au traîneau, permettant aux chiens de le tirer sur la neige. En l’absence de piste, lorsque le traîneau passe dans la neige profonde, les chiens peuvent être placés à la file entre deux lignes de trait et suivre la piste étroite créée dans la neige par le conducteur se déplaçant devant eux en raquettes. Dans l’Arctique, où la neige s’accumule et durcit, les Inuits utilisent souvent l’attelage en éventail où chaque chien est attaché au traîneau par sa propre ligne de trait. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-1416 791-3.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt Chorégraphie et société / Claudine Guerrier
Titre : Chorégraphie et société Type de document : texte imprimé Auteurs : Claudine Guerrier (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Chiron Année de publication : 1991 Collection : Agora - Chiron, ISSN 1147-3932 Importance : 240 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7027-0436-3 Prix : 115 F Langues : Français (fre) Mots-clés : le cadre politique l'activité chorégraphique Europe 20e siècle Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Chorégraphie et société [texte imprimé] / Claudine Guerrier (1952-....), Auteur . - Paris : Chiron, 1991 . - 240 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Agora - Chiron, ISSN 1147-3932) .
ISBN : 978-2-7027-0436-3 : 115 F
Langues : Français (fre)
Mots-clés : le cadre politique l'activité chorégraphique Europe 20e siècle Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-14381 793.3-18.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt IEPS-14382 793.3-18.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible La Cinétographie / Brahim Bahloul
Titre : La Cinétographie : méthode internationale de notation et d'écriture de la danse de Laban Type de document : texte imprimé Auteurs : Brahim Bahloul, Auteur Editeur : Alger : O.P.U, Année de publication : 1988 Importance : 183 p Format : 22x15cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7114-0831-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : La Cinétographie la méthode internationale la notation la danse Index. décimale : 793.3- Chorégraphie La Cinétographie : méthode internationale de notation et d'écriture de la danse de Laban [texte imprimé] / Brahim Bahloul, Auteur . - [S.l.] : Alger : O.P.U,, 1988 . - 183 p ; 22x15cm.
ISBN : 978-2-7114-0831-3
Langues : Français (fre)
Mots-clés : La Cinétographie la méthode internationale la notation la danse Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Réservation
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Exemplaires (6)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-2517 793.3-17.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSE-2518 793.3-17.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSE-2519 793.3-17.3 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSE-22173 793.3-17.4 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSE-22174 793.3-17.5 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSE-22175 793.3-17.6 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible A collection of games and activities for children and adolescents / Souad BELBACHIR
Titre : A collection of games and activities for children and adolescents : A teacher's book Type de document : texte imprimé Auteurs : Souad BELBACHIR, Auteur Editeur : Alger: OPU, sd Année de publication : 1978 Importance : 191p Format : 15 cm x23 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : collection gammes activistes children adolescents Index. décimale : 791- Sport et Loisirs Résumé : tell stories.
___ Tell exaggerated “Stories” of the “old days” to entertain.
___Put on mini plays or skits. Have children act out different characters.
___Play “Story Building.” One person starts the story, and then
other family members add to it.
___ Share secrets, most embarrassing moments, wishes, and/or dreams.
___ Make up different dances or dance to known songs (i.e., the hokie
pokie). Have a dance contest.
___ Have a karaoke night. Children can sing their favorite songs.
___ Play “Name that Tune.” One person hums a tune or says a line from a song and others try to guess
the name of the song.
*___ Play “Hide and Seek.” Designate an area with clear boundaries. Have everyone gather around a
landmark that will be home base. Pick a family member to be IT. Whoever IT is closes his eyes and counts
to a designated number while the rest of the family hides. Once the countdown is done, IT says “Ready
or not here I come” then goes to look for, and find, the hidden family members. The first player found will
be IT for the next round. Repeat.
*___ Play “Simon Says.” One player is designated Simon and the other family members do whatever Simon says
as long as they says the phrase “Simon says” before the command. If Simon does not say “Simon says”
before the command, the family members don’t move. Any player who acts without hearing “Simon says”
is out of the game. The winner is the last player left.
*___ Play “Mother May I.” One family member stands far away from the others and is the “mother” while all of
the other family members stand in a group. Mother calls the name of one of the player and says “(insert
name here), you may take (insert numbers) steps.” The player then must remember to say “Mother may I?”
before moving the allotted number of steps. Mother will either answer “yes” or “no.” If the player fails to
ask and takes a step without permission or moves prior to Mother’s response she must goes back to the
starting line. The first to reach Mother wins and is the new mother. Mother can also call out the types
of steps being called (i.e., baby steps, giant steps).
___ Play Eye Spy. One person, or IT player, spies something and keeps it a secret. The item must be something
that all the other players can see, and preferably something that will stay in sight for the time it takes
to complete a round. The IT player recites the line “I spy with my little eye, something that...” and ends
with a descriptive clue, such as “...is red” or “...begins with the letter B.” The other family members
then take turns asking one question each. “Is it inside the kitchen?” “Is it round?” etc. The player who is
IT can only respond with “yes” or “no.” If a player thinks they knows what the mystery item is, they can use
his question to guess directly: “Is it that bowl?” “Is it that cake plate?” If the player is correct, it is
their turn to spy something.
Simple Activities for Children and Adolescents
Play “Sound Search.” Everyone sits still and identifies as many different sounds as possible.
___ Play “Follow the Leader.” Players line up and walk behind the leader, copying whatever the leader does.
___ Play “Charades.” One person (or team) acts out a movie, book, or TV show using only body language while
others try to guess what she is acting out. Be sure all members of
the family know the movies, books, or shows to be acted out.
___ Play “Encore.” Assign common words to two teams who take turns
trying to think of a song that contains each word. Each team must
be able to sing at least eight words of the song in order for the turn
to count.
___ Play “20 Guesses.” Think of a noun, cartoon character, singer, movie,
book, television show, or sports star. Have the players take turns
guessing what IT is thinking. Answer the guesses with yes, no,
sometimes, usually, or rarely. When the 20 guesses are up, the players
get a final guess. If no one answers correctly, the answer is given.
___ Exercise. Take a walk, do a dance, do yoga, stretch, ride a bike.
___ Go outside at night and point out different constellations.
___ Play the Alphabet Game. One person choses a category (e.g., animals) and family members go around
naming an animal with the assigned letter. The first person starts with A. Second with B. Etc. The winner
choses the next category. With younger children, they may just have to name something with that letter
and not introduce the idea of categories (e.g., animals).
___ Read to your pet. This is great for young readers as well as children with reading challenges.
___ Play Teacher. Have family members choose their favorite subject and teacher a class to everyone.
___ Play Family Feud. One person creates a question with several answers. Split family members into two teamsA collection of games and activities for children and adolescents : A teacher's book [texte imprimé] / Souad BELBACHIR, Auteur . - [S.l.] : Alger: OPU, sd, 1978 . - 191p ; 15 cm x23 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : collection gammes activistes children adolescents Index. décimale : 791- Sport et Loisirs Résumé : tell stories.
___ Tell exaggerated “Stories” of the “old days” to entertain.
___Put on mini plays or skits. Have children act out different characters.
___Play “Story Building.” One person starts the story, and then
other family members add to it.
___ Share secrets, most embarrassing moments, wishes, and/or dreams.
___ Make up different dances or dance to known songs (i.e., the hokie
pokie). Have a dance contest.
___ Have a karaoke night. Children can sing their favorite songs.
___ Play “Name that Tune.” One person hums a tune or says a line from a song and others try to guess
the name of the song.
*___ Play “Hide and Seek.” Designate an area with clear boundaries. Have everyone gather around a
landmark that will be home base. Pick a family member to be IT. Whoever IT is closes his eyes and counts
to a designated number while the rest of the family hides. Once the countdown is done, IT says “Ready
or not here I come” then goes to look for, and find, the hidden family members. The first player found will
be IT for the next round. Repeat.
*___ Play “Simon Says.” One player is designated Simon and the other family members do whatever Simon says
as long as they says the phrase “Simon says” before the command. If Simon does not say “Simon says”
before the command, the family members don’t move. Any player who acts without hearing “Simon says”
is out of the game. The winner is the last player left.
*___ Play “Mother May I.” One family member stands far away from the others and is the “mother” while all of
the other family members stand in a group. Mother calls the name of one of the player and says “(insert
name here), you may take (insert numbers) steps.” The player then must remember to say “Mother may I?”
before moving the allotted number of steps. Mother will either answer “yes” or “no.” If the player fails to
ask and takes a step without permission or moves prior to Mother’s response she must goes back to the
starting line. The first to reach Mother wins and is the new mother. Mother can also call out the types
of steps being called (i.e., baby steps, giant steps).
___ Play Eye Spy. One person, or IT player, spies something and keeps it a secret. The item must be something
that all the other players can see, and preferably something that will stay in sight for the time it takes
to complete a round. The IT player recites the line “I spy with my little eye, something that...” and ends
with a descriptive clue, such as “...is red” or “...begins with the letter B.” The other family members
then take turns asking one question each. “Is it inside the kitchen?” “Is it round?” etc. The player who is
IT can only respond with “yes” or “no.” If a player thinks they knows what the mystery item is, they can use
his question to guess directly: “Is it that bowl?” “Is it that cake plate?” If the player is correct, it is
their turn to spy something.
Simple Activities for Children and Adolescents
Play “Sound Search.” Everyone sits still and identifies as many different sounds as possible.
___ Play “Follow the Leader.” Players line up and walk behind the leader, copying whatever the leader does.
___ Play “Charades.” One person (or team) acts out a movie, book, or TV show using only body language while
others try to guess what she is acting out. Be sure all members of
the family know the movies, books, or shows to be acted out.
___ Play “Encore.” Assign common words to two teams who take turns
trying to think of a song that contains each word. Each team must
be able to sing at least eight words of the song in order for the turn
to count.
___ Play “20 Guesses.” Think of a noun, cartoon character, singer, movie,
book, television show, or sports star. Have the players take turns
guessing what IT is thinking. Answer the guesses with yes, no,
sometimes, usually, or rarely. When the 20 guesses are up, the players
get a final guess. If no one answers correctly, the answer is given.
___ Exercise. Take a walk, do a dance, do yoga, stretch, ride a bike.
___ Go outside at night and point out different constellations.
___ Play the Alphabet Game. One person choses a category (e.g., animals) and family members go around
naming an animal with the assigned letter. The first person starts with A. Second with B. Etc. The winner
choses the next category. With younger children, they may just have to name something with that letter
and not introduce the idea of categories (e.g., animals).
___ Read to your pet. This is great for young readers as well as children with reading challenges.
___ Play Teacher. Have family members choose their favorite subject and teacher a class to everyone.
___ Play Family Feud. One person creates a question with several answers. Split family members into two teamsExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-2427 791-12.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt Comment acheter le bon cheval / Margaret Cabell Self
Titre : Comment acheter le bon cheval Type de document : texte imprimé Auteurs : Margaret Cabell Self, Auteur Editeur : canada: edisem Année de publication : 1974 Importance : 64 P Format : 20x13cm Langues : Français (fre) Mots-clés : la garantie les caractéristiques morphologiques la taille du cheval la mesure où tous les prix existent Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Conseils achat cheval
Les 5 conseils de notre vétérinaire avant d'acheter un cheval :
Même pour un budget modéré, la visite d'achat est recommandée. ...
La visite d'achat n'offre pas 100% de garantie ! ...
Il faut bien préparer la visite d'achat. ...
Une visite d'achat en clinique est à privilégier. ...
Il vaut mieux être présent si vous le pouvez.
L’achat d’un cheval n’est pas un acte anodin .Il correspond à un investissement financier souvent non négligeable et, surtout, il engage le futur propriétaire pour plusieurs mois ou plusieurs années .Il doit donc être réalisé dans de bonnes conditions, la première d’entre elles étant de bien le choisir. La recherche d’un cheval a été effectuée, et le choix s’est porté sur un cheval correspondant le mieux possible à l’animal espéré. Il faut maintenant concrétiser l’achat. Pour ce faire, il y a à la fois des règles à respecter, et des actes, certes non obligatoires, mais vivement conseillés, à pratiquer. Ou acheter un cheval ? Comment choisir le bon cheval parmi tous les chevaux que l’on veut me vendre ? Faut-il se laisser tenter par un cheval pas cher ?
femme proche d'un cheval
Pour choisir un cheval, il existe deux options possibles : le chercher tout seul ou confier cette recherche à un professionnel.
Trouver un cheval à vendre par soi-même
Cette solution ne doit être employée que par des personnes déjà expérimentées, connaissant bien le milieu, et aptes à évaluer correctement les chevaux qui leur seront présentés.
Il existe deux grandes possibilités.
Visiter les élevages qui proposent des chevaux à la vente
Cette possibilité est réservée à ceux qui souhaitent acquérir un jeune cheval et qui, de plus, disposent de beaucoup de temps, dans la mesure où une telle visite oblige à de nombreux contacts, puis rendez-vous, déplacements et à un temps important passé dans les haras.
Consulter les petites annonces de vente de chevaux
Elles paraissent dans les revues spécialisées ou encore sur des sites Internet.
Les petites annonces sont nombreuses et proposent souvent un grand choix. Mais, attention, elles sont souvent partielles et parfois un peu loin de la réalité. Elles peuvent émaner soit de professionnels, soit de particuliers qui souhaitent se séparer de leur cheval. Une petite annonce ne sera bien sûr jamais suffisante pour acheter un cheval, qui devra impérativement être examiné avant tout achat, mais elles ont pour intérêt de permettre de “visualiser” le marché: type de chevaux à vendre et prix pratiqués.
Faire appel à un professionnel pour trouver un cheval à vendre
Là aussi, deux possibilités.
Acheter un cheval via l’enseignant du club
C’est un professionnel qui doit connaître le marché, en tout cas pour des chevaux d’amateurs. Il a par ailleurs l’avantage de connaître le client qui souhaite acheter un cheval et peut donc bien cerner le type d’animal qui peut lui convenir. S’il est sérieux, il saura bien faire, ce qui est son intérêt dans la mesure où il pourra continuer à conseiller son client comme propriétaire dans son établissement.
Acheter un cheval via un négociant en chevaux : soit un marchand, soit un courtier.
Le marchand achète des chevaux, les travaille éventuellement pour les parfaire et les revend.
Un courtier recherche des chevaux pour un acheteur qu’il met en contact directement avec un vendeur. L’avantage du négociant est qu’il dispose souvent d’un choix important qui lui permet de voir beaucoup de chevaux en peu de temps et sans grands déplacements.
Comment choisir son cheval ?
Le plus important est bien entendu de trouver un cheval, et surtout lorsque c’est le premier, “à sa pointure”.
Les vieux adages sont toujours pleins de bon sens :“À JEUNES CAVALIERS, VIEUX CHEVAUX.”
Critère d’achat n°1 : l’âge du cheval
L’âge du cheval: c’est probablement le premier critère de choix.
Plus le cavalier est expérimenté, plus il peut se permettre de choisir un jeune cheval qui sera peu travaillé, mais qu’il aura les capacités de former et de dresser.
À l’inverse, un jeune cavalier aura beaucoup plus de plaisir et de satisfaction à acheter un cheval “connaissant déjà son métier”.
Critère d’achat n°2 : le sexe du cheval
Les chevaux entiers doivent être réservés aux cavaliers confirmés. Le choix entre un hongre et une jument est plus difficile à qualifier. Les hongres sont souvent plus calmes. Les juments sont parfois difficiles ou peuvent poser des problèmes durant les périodes de chaleur. Elles offrent la possibilité, le cas échéant, de pouvoir disposer d’une poulinière, le jour où l’on ne veut plus pratiquer l’équitation, mais s’offrir les plaisirs de l’élevage.
Critère d’achat n°3 : la race du cheval
La race : le critère n’est pas anodin en fonction de l’usage auquel on destine son cheval. Certaines races sont plus adaptées à certaines disciplines que d’autres. Par leurs caractéristiques morphologiques, les unes peuvent être plus confortables que les autres. Enfin, certaines races sont plus rustiques ou, à l’inverse, plus fragiles que d’autres.
Critère d’achat n°4 : la taille du cheval
Là aussi, c’est un critère de choix important. Les vétérinaires disent souvent que “leur facture est proportionnelle à la taille au garrot”, autrement dit, plus les chevaux sont grands, plus ils sont fragiles. Au- delà de ce fait, la taille doit être adaptée à la taille du cavalier (un enfant sera mieux sur un poney de 1,35 m que sur un cheval de 1,70 m), mais aussi à la discipline pratiquée (de se promener avec un cheval d’1,55 m il est souvent plus agréable que celui d’1,75 m).
Critère d’achat n°5 : le prix du cheval
C’est évidemment un critère déterminant dans la mesure où tous les prix existent et où il ne faut pas oublier que le prix d’achat est une chose, mais qu’il y a ensuite l’entretien, qui coûte relativement cher. Il y a sur le marché des chevaux à tous les prix: de 1000 euros à plusieurs millions. La qualité d’un cheval n’est pas forcément proportionnelle au prix qui en est demandé, mais il est évident, néanmoins, qu’on ne pourra avoir le meilleur cheval du monde si l’on ne dispose que d’un budget de quelques milliers d’euros.
Essayer un cheval avant de l’acheter
On n’achète jamais un cheval, quelles que soient les conditions, sans l’avoir essayé, dans la mesure, bien sûr, où son âge le permet.
Lorsqu’un cheval a répondu aux critères de sélection, il convient donc de le monter soi-même, mais il est conseillé également de le faire monter devant soi, afin de le regarder, mais aussi d’avoir l’avis d’une autre personne.
Tout vendeur sérieux ne peut vous refuser un tel essai, et, si tel était le cas, ce serait suspect. Il ne faut pas hésiter, si l’on en sent le besoin, à renouveler un tel essai 2 ou 3 fois, si nécessaire, en pratiquant les exercices et le type d’utilisation pour lequel on veut l’acheter.
Choisir un cheval est donc un acte important qui doit être mené prudemment, en ayant d’abord bien défini ce que l’on recherche. En prenant le temps ensuite de bien évaluer les chevaux présentés, sans hésiter à faire appel à des conseils professionnels, même si ceux-ci se feront rémunérer, ce qui est à vrai dire normal, mais ce qui est aussi un gage de sécurité plus importante.
la réglementation lié à l’achat d’un cheval
Juridiquement, la vente est un acte très simple puisque “la vente est parfaite, dès qu’il y a accord sur la chose et le prix”.
Cette petite phrase est particulièrement importante. En effet, dès que l’accord est pris avec le vendeur, l’acheteur devient immédiatement propriétaire et assu- re donc les responsabilités.
Ce transfert de propriété est totalement indépendant des notions de livraison et de paiement. Même dans les cas où la prise de possession effective peut être différée (par une livraison du cheval dans une nouvelle écurie, par exemple) ou si un accord de paiement en plusieurs échéances a lieu, l’acheteur est propriétaire pleinement et entièrement dès que l’accord a eu lieu. Au-delà de cette notion relative au transfert de propriété, le vendeur a des obligations.Comment acheter le bon cheval [texte imprimé] / Margaret Cabell Self, Auteur . - [S.l.] : canada: edisem, 1974 . - 64 P ; 20x13cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : la garantie les caractéristiques morphologiques la taille du cheval la mesure où tous les prix existent Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Conseils achat cheval
Les 5 conseils de notre vétérinaire avant d'acheter un cheval :
Même pour un budget modéré, la visite d'achat est recommandée. ...
La visite d'achat n'offre pas 100% de garantie ! ...
Il faut bien préparer la visite d'achat. ...
Une visite d'achat en clinique est à privilégier. ...
Il vaut mieux être présent si vous le pouvez.
L’achat d’un cheval n’est pas un acte anodin .Il correspond à un investissement financier souvent non négligeable et, surtout, il engage le futur propriétaire pour plusieurs mois ou plusieurs années .Il doit donc être réalisé dans de bonnes conditions, la première d’entre elles étant de bien le choisir. La recherche d’un cheval a été effectuée, et le choix s’est porté sur un cheval correspondant le mieux possible à l’animal espéré. Il faut maintenant concrétiser l’achat. Pour ce faire, il y a à la fois des règles à respecter, et des actes, certes non obligatoires, mais vivement conseillés, à pratiquer. Ou acheter un cheval ? Comment choisir le bon cheval parmi tous les chevaux que l’on veut me vendre ? Faut-il se laisser tenter par un cheval pas cher ?
femme proche d'un cheval
Pour choisir un cheval, il existe deux options possibles : le chercher tout seul ou confier cette recherche à un professionnel.
Trouver un cheval à vendre par soi-même
Cette solution ne doit être employée que par des personnes déjà expérimentées, connaissant bien le milieu, et aptes à évaluer correctement les chevaux qui leur seront présentés.
Il existe deux grandes possibilités.
Visiter les élevages qui proposent des chevaux à la vente
Cette possibilité est réservée à ceux qui souhaitent acquérir un jeune cheval et qui, de plus, disposent de beaucoup de temps, dans la mesure où une telle visite oblige à de nombreux contacts, puis rendez-vous, déplacements et à un temps important passé dans les haras.
Consulter les petites annonces de vente de chevaux
Elles paraissent dans les revues spécialisées ou encore sur des sites Internet.
Les petites annonces sont nombreuses et proposent souvent un grand choix. Mais, attention, elles sont souvent partielles et parfois un peu loin de la réalité. Elles peuvent émaner soit de professionnels, soit de particuliers qui souhaitent se séparer de leur cheval. Une petite annonce ne sera bien sûr jamais suffisante pour acheter un cheval, qui devra impérativement être examiné avant tout achat, mais elles ont pour intérêt de permettre de “visualiser” le marché: type de chevaux à vendre et prix pratiqués.
Faire appel à un professionnel pour trouver un cheval à vendre
Là aussi, deux possibilités.
Acheter un cheval via l’enseignant du club
C’est un professionnel qui doit connaître le marché, en tout cas pour des chevaux d’amateurs. Il a par ailleurs l’avantage de connaître le client qui souhaite acheter un cheval et peut donc bien cerner le type d’animal qui peut lui convenir. S’il est sérieux, il saura bien faire, ce qui est son intérêt dans la mesure où il pourra continuer à conseiller son client comme propriétaire dans son établissement.
Acheter un cheval via un négociant en chevaux : soit un marchand, soit un courtier.
Le marchand achète des chevaux, les travaille éventuellement pour les parfaire et les revend.
Un courtier recherche des chevaux pour un acheteur qu’il met en contact directement avec un vendeur. L’avantage du négociant est qu’il dispose souvent d’un choix important qui lui permet de voir beaucoup de chevaux en peu de temps et sans grands déplacements.
Comment choisir son cheval ?
Le plus important est bien entendu de trouver un cheval, et surtout lorsque c’est le premier, “à sa pointure”.
Les vieux adages sont toujours pleins de bon sens :“À JEUNES CAVALIERS, VIEUX CHEVAUX.”
Critère d’achat n°1 : l’âge du cheval
L’âge du cheval: c’est probablement le premier critère de choix.
Plus le cavalier est expérimenté, plus il peut se permettre de choisir un jeune cheval qui sera peu travaillé, mais qu’il aura les capacités de former et de dresser.
À l’inverse, un jeune cavalier aura beaucoup plus de plaisir et de satisfaction à acheter un cheval “connaissant déjà son métier”.
Critère d’achat n°2 : le sexe du cheval
Les chevaux entiers doivent être réservés aux cavaliers confirmés. Le choix entre un hongre et une jument est plus difficile à qualifier. Les hongres sont souvent plus calmes. Les juments sont parfois difficiles ou peuvent poser des problèmes durant les périodes de chaleur. Elles offrent la possibilité, le cas échéant, de pouvoir disposer d’une poulinière, le jour où l’on ne veut plus pratiquer l’équitation, mais s’offrir les plaisirs de l’élevage.
Critère d’achat n°3 : la race du cheval
La race : le critère n’est pas anodin en fonction de l’usage auquel on destine son cheval. Certaines races sont plus adaptées à certaines disciplines que d’autres. Par leurs caractéristiques morphologiques, les unes peuvent être plus confortables que les autres. Enfin, certaines races sont plus rustiques ou, à l’inverse, plus fragiles que d’autres.
Critère d’achat n°4 : la taille du cheval
Là aussi, c’est un critère de choix important. Les vétérinaires disent souvent que “leur facture est proportionnelle à la taille au garrot”, autrement dit, plus les chevaux sont grands, plus ils sont fragiles. Au- delà de ce fait, la taille doit être adaptée à la taille du cavalier (un enfant sera mieux sur un poney de 1,35 m que sur un cheval de 1,70 m), mais aussi à la discipline pratiquée (de se promener avec un cheval d’1,55 m il est souvent plus agréable que celui d’1,75 m).
Critère d’achat n°5 : le prix du cheval
C’est évidemment un critère déterminant dans la mesure où tous les prix existent et où il ne faut pas oublier que le prix d’achat est une chose, mais qu’il y a ensuite l’entretien, qui coûte relativement cher. Il y a sur le marché des chevaux à tous les prix: de 1000 euros à plusieurs millions. La qualité d’un cheval n’est pas forcément proportionnelle au prix qui en est demandé, mais il est évident, néanmoins, qu’on ne pourra avoir le meilleur cheval du monde si l’on ne dispose que d’un budget de quelques milliers d’euros.
Essayer un cheval avant de l’acheter
On n’achète jamais un cheval, quelles que soient les conditions, sans l’avoir essayé, dans la mesure, bien sûr, où son âge le permet.
Lorsqu’un cheval a répondu aux critères de sélection, il convient donc de le monter soi-même, mais il est conseillé également de le faire monter devant soi, afin de le regarder, mais aussi d’avoir l’avis d’une autre personne.
Tout vendeur sérieux ne peut vous refuser un tel essai, et, si tel était le cas, ce serait suspect. Il ne faut pas hésiter, si l’on en sent le besoin, à renouveler un tel essai 2 ou 3 fois, si nécessaire, en pratiquant les exercices et le type d’utilisation pour lequel on veut l’acheter.
Choisir un cheval est donc un acte important qui doit être mené prudemment, en ayant d’abord bien défini ce que l’on recherche. En prenant le temps ensuite de bien évaluer les chevaux présentés, sans hésiter à faire appel à des conseils professionnels, même si ceux-ci se feront rémunérer, ce qui est à vrai dire normal, mais ce qui est aussi un gage de sécurité plus importante.
la réglementation lié à l’achat d’un cheval
Juridiquement, la vente est un acte très simple puisque “la vente est parfaite, dès qu’il y a accord sur la chose et le prix”.
Cette petite phrase est particulièrement importante. En effet, dès que l’accord est pris avec le vendeur, l’acheteur devient immédiatement propriétaire et assu- re donc les responsabilités.
Ce transfert de propriété est totalement indépendant des notions de livraison et de paiement. Même dans les cas où la prise de possession effective peut être différée (par une livraison du cheval dans une nouvelle écurie, par exemple) ou si un accord de paiement en plusieurs échéances a lieu, l’acheteur est propriétaire pleinement et entièrement dès que l’accord a eu lieu. Au-delà de cette notion relative au transfert de propriété, le vendeur a des obligations.Réservation
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Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSI-3973/ex1 798.2-11.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSI-3973/ex2 798.2-11.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSI-3973/ex3 798.2-11.3 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible Comment débourrer et dresser le cheval western / Pierre d'autheville trd.
Titre : Comment débourrer et dresser le cheval western Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre d'autheville trd., Auteur Editeur : canada: edisem Année de publication : 1974 Importance : 63 P Format : 20x13cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Equivoc question de dosage et de rectification du mouvement le débourrage de Dakota la jument paint horse lignée de travail le dressouillage le sautouillage et rando Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : A l'été prochain, si tout va bien, j'attaquerai le débourrage de Dakota qui aura alors 3 ans révolus. C'est une jument paint horse lignée de travail, elle est destinée essentiellement à la randonnée mais j'aimerais toucher à tout avec elle. Je n'ai jamais monté western, ce sera donc un débourrage pour la cavalière aussi. Mais n'ayant pas envie de renoncer au classique même si je ne fais rien d'extraordinaire dans le domaine (dressouillage, sautouillage et rando, je randonne avec ma selle mixte actuellement, la seule adaptée à ma délicate jument, les autres essais n'ont pas été concluants), j'aimerais aussi faire un peu de ces choses là avec la petite... du coup, je me pose pas mal de questions mais surtout une essentielle :
Par quoi commencer, le western ou le classique? A priori, j'étais plutôt pour commencer par le western car réputé "plus simple" et je me dis qu'il ne faut pas la gaver d'entrée, mais un ami me dit lui le contraire, qu'il vaut mieux débuter en classique, plus contraignant, afin de la "mater" un peu car elle est gentille mais plutôt costaud et têtue ... Bon, clairement, on n'a pas trop la même vision de l'équitation et mon but n'est pas de mater la pouliche, mais bien de lui donner le goût du travail. Surtout qu'elle est du genre "toujours prête", je n'ai pas envie de lui enlever cette enthousiasme, j'ai juste envie de le canaliser, et je me dis que le western sera plus amusant pour elle au départ, et qu'elle acceptera mieux des choses plus contraignantes avec plus de maturité ...
Après dans le coin, question pratique, je n'aurai aucun mal à trouver de l'aide pour un débourrage en classique, alors qu'en western, je vais devoir faire pas mal de kilomètres et mon but serait plutôt de faire venir un pro pour débourrer à la maison si la future structure le permet ...
Enfin voilà, j'ai besoin de vos avis ... quand je dis au printemps prochain, ça sera peut-être décalé au printemps suivant, donc l'année de ses 4 ans, car je ne suis pas certaine qu'avec mes projets pros, un débourrage l'été prochain soit judicieux... mais ça ne change rien à mon questionnement..Comment débourrer et dresser le cheval western [texte imprimé] / Pierre d'autheville trd., Auteur . - [S.l.] : canada: edisem, 1974 . - 63 P ; 20x13cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Equivoc question de dosage et de rectification du mouvement le débourrage de Dakota la jument paint horse lignée de travail le dressouillage le sautouillage et rando Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : A l'été prochain, si tout va bien, j'attaquerai le débourrage de Dakota qui aura alors 3 ans révolus. C'est une jument paint horse lignée de travail, elle est destinée essentiellement à la randonnée mais j'aimerais toucher à tout avec elle. Je n'ai jamais monté western, ce sera donc un débourrage pour la cavalière aussi. Mais n'ayant pas envie de renoncer au classique même si je ne fais rien d'extraordinaire dans le domaine (dressouillage, sautouillage et rando, je randonne avec ma selle mixte actuellement, la seule adaptée à ma délicate jument, les autres essais n'ont pas été concluants), j'aimerais aussi faire un peu de ces choses là avec la petite... du coup, je me pose pas mal de questions mais surtout une essentielle :
Par quoi commencer, le western ou le classique? A priori, j'étais plutôt pour commencer par le western car réputé "plus simple" et je me dis qu'il ne faut pas la gaver d'entrée, mais un ami me dit lui le contraire, qu'il vaut mieux débuter en classique, plus contraignant, afin de la "mater" un peu car elle est gentille mais plutôt costaud et têtue ... Bon, clairement, on n'a pas trop la même vision de l'équitation et mon but n'est pas de mater la pouliche, mais bien de lui donner le goût du travail. Surtout qu'elle est du genre "toujours prête", je n'ai pas envie de lui enlever cette enthousiasme, j'ai juste envie de le canaliser, et je me dis que le western sera plus amusant pour elle au départ, et qu'elle acceptera mieux des choses plus contraignantes avec plus de maturité ...
Après dans le coin, question pratique, je n'aurai aucun mal à trouver de l'aide pour un débourrage en classique, alors qu'en western, je vais devoir faire pas mal de kilomètres et mon but serait plutôt de faire venir un pro pour débourrer à la maison si la future structure le permet ...
Enfin voilà, j'ai besoin de vos avis ... quand je dis au printemps prochain, ça sera peut-être décalé au printemps suivant, donc l'année de ses 4 ans, car je ne suis pas certaine qu'avec mes projets pros, un débourrage l'été prochain soit judicieux... mais ça ne change rien à mon questionnement..Réservation
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Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSI-3978/ex1 798.2-8.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSI-3978/ex2 798.2-8.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSI-3978/ex3 798.2-8.3 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible Comment devenir bon cavalier / Pierre d'autheville trd.
Titre : Comment devenir bon cavalier Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre d'autheville trd., Auteur Editeur : canada: edisem Année de publication : 1974 Importance : 63 P Format : ill. en coul.; 20x13cm Langues : Français (fre) Mots-clés : la confiance la compréhension la concentration l'obéissance L alimentation optimale l'approche basée sur l'écoute et le ressenti Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Cet ouvrage est le guide idéal pour améliorer la confiance, la compréhension, la concentration et l'obéissance de votre cheval, lors du travail au sol et en selle. Dans une approche basée sur l'écoute et le ressenti, l'auteur s'appuie sur la façon dont réfléchissent et réagissent les chevaux pour pouvoir établir entre l'homme et l'animal une . Classé par thématiques et découpé en 101 exercices, cet ouvrage vous permet à la fois de comprendre et résoudre un problème précis, mais également de travailler les exercices sous forme de séquences afin de développer les bases indispensables à tout cavalier. Grâce à son analyse et ses conseils pratiques, allant des plus simples fondamentaux que tout passionné d'hippologie devrait connaître aux techniques délicates de l'expert, vous serez fin prêt pour vous lancer, aux côtés de votre cheval, dans ce passionnant voyage éducatif et ainsi devenir un parfait cavalier. Comment devenir bon cavalier [texte imprimé] / Pierre d'autheville trd., Auteur . - [S.l.] : canada: edisem, 1974 . - 63 P ; ill. en coul.; 20x13cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : la confiance la compréhension la concentration l'obéissance L alimentation optimale l'approche basée sur l'écoute et le ressenti Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Cet ouvrage est le guide idéal pour améliorer la confiance, la compréhension, la concentration et l'obéissance de votre cheval, lors du travail au sol et en selle. Dans une approche basée sur l'écoute et le ressenti, l'auteur s'appuie sur la façon dont réfléchissent et réagissent les chevaux pour pouvoir établir entre l'homme et l'animal une . Classé par thématiques et découpé en 101 exercices, cet ouvrage vous permet à la fois de comprendre et résoudre un problème précis, mais également de travailler les exercices sous forme de séquences afin de développer les bases indispensables à tout cavalier. Grâce à son analyse et ses conseils pratiques, allant des plus simples fondamentaux que tout passionné d'hippologie devrait connaître aux techniques délicates de l'expert, vous serez fin prêt pour vous lancer, aux côtés de votre cheval, dans ce passionnant voyage éducatif et ainsi devenir un parfait cavalier. Réservation
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Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSI-3972/ex1 798.2-14.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSI-3972/ex2 798.2-14.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSI-3972/ex3 798.2-14.3 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible Comment élever votre poulain / PEGGY PITTINGER
Titre : Comment élever votre poulain Type de document : texte imprimé Auteurs : PEGGY PITTINGER, Auteur Editeur : canada: edisem Année de publication : 1974 Importance : 64 P. Format : 20x13cm Langues : Français (fre) Mots-clés : les chevaux de la Relation de Complicité longe cordelette stick drapeau et aborder de nombreux autres exercices les cours les stages d’équitation éthologique Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : L’éducation du poulain est une étape clé de son apprentissage car son cerveau est en cours de développement et ce qui est acquis par le poulain l’est de manière définitive et beaucoup plus durable qu’à l’âge adulte.
La Relation de Complicité® se construit dès le plus jeune âge. Un poulain éduqué tôt deviendra un jeune cheval beaucoup plus facile à débourrer et à dresser.
Les poulains éduqués sont également beaucoup plus faciles à soigner en cas de problème de santé et à manipuler pour les soins courants (pansage, curer les pieds, doucher, etc.).
Désensibilisation d'un poulain au pulvérisateur
Nous éduquons votre poulain ou pouliche avec vous et pour vous en suivant le cursus d’éducation des chevaux de la Relation de Complicité®, avec des exercices appropriés à son âge.
Nous définirons ensemble les objectifs à atteindre en fonction de votre niveau et de votre disponibilité.
Votre poulain apprendra à se laisser approcher et attraper en toute confiance, à marcher et reculer en licol, à rester calme à l’attache, à être brossé en toute confiance, à donner les pieds, à réaliser des flexions latérales, à monter et descendre d’un camion dans le calme…
Nous pouvons également lui apprendre la désensibilisation à la douche, au pulvérisateur, et aux divers outils de communication : longe, cordelette, stick, drapeau et aborder de nombreux autres exercices, selon vos objectifs.
En savoir plus sur les niveaux RdC »
De votre côté, vous pourrez vous former à la Relation de Complicité® en participant à nos cours ou nos stages d’équitation éthologique, afin d’acquérir tous les savoirs nécessaires pour pouvoir continuer l’éducation de votre compagnon équin.Comment élever votre poulain [texte imprimé] / PEGGY PITTINGER, Auteur . - [S.l.] : canada: edisem, 1974 . - 64 P. ; 20x13cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : les chevaux de la Relation de Complicité longe cordelette stick drapeau et aborder de nombreux autres exercices les cours les stages d’équitation éthologique Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : L’éducation du poulain est une étape clé de son apprentissage car son cerveau est en cours de développement et ce qui est acquis par le poulain l’est de manière définitive et beaucoup plus durable qu’à l’âge adulte.
La Relation de Complicité® se construit dès le plus jeune âge. Un poulain éduqué tôt deviendra un jeune cheval beaucoup plus facile à débourrer et à dresser.
Les poulains éduqués sont également beaucoup plus faciles à soigner en cas de problème de santé et à manipuler pour les soins courants (pansage, curer les pieds, doucher, etc.).
Désensibilisation d'un poulain au pulvérisateur
Nous éduquons votre poulain ou pouliche avec vous et pour vous en suivant le cursus d’éducation des chevaux de la Relation de Complicité®, avec des exercices appropriés à son âge.
Nous définirons ensemble les objectifs à atteindre en fonction de votre niveau et de votre disponibilité.
Votre poulain apprendra à se laisser approcher et attraper en toute confiance, à marcher et reculer en licol, à rester calme à l’attache, à être brossé en toute confiance, à donner les pieds, à réaliser des flexions latérales, à monter et descendre d’un camion dans le calme…
Nous pouvons également lui apprendre la désensibilisation à la douche, au pulvérisateur, et aux divers outils de communication : longe, cordelette, stick, drapeau et aborder de nombreux autres exercices, selon vos objectifs.
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De votre côté, vous pourrez vous former à la Relation de Complicité® en participant à nos cours ou nos stages d’équitation éthologique, afin d’acquérir tous les savoirs nécessaires pour pouvoir continuer l’éducation de votre compagnon équin.Réservation
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Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSI-3976/ex1 798.2-10.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSI-3976/ex2 798.2-10.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSI-3976/ex3 798.2-10.3 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible Comment ferrer votre cheval / Wiseman
Titre : Comment ferrer votre cheval Type de document : texte imprimé Auteurs : Wiseman, Auteur ; Robert F, Auteur ; Pierre d'autheville trd., Auteur Editeur : canada: edisem, Année de publication : 1974 Importance : 63 P Format : couv. ill. en coul.; 20x13cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Les chevaux sauvages les chevaux domestiques les soins constants et couteux le ferrage le cavalier d'endurance Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Les chevaux sauvages ne sont jamais ferrés [1] et pourtant ils peuvent parcourir de grandes distances chaque jour sans problème, alors que les pieds des chevaux domestiques nécessitent des soins constants et couteux, notamment le ferrage. La personne qui ferre les pieds des chevaux s'appelle le maréchal-ferrant et si vous montez à cheval dans un club, vous l'avez probablement déjà vu à l'œuvre au moins une fois, car une ferrure se change toutes les quatre à six semaines. Pour un propriétaire, il est donc judicieux d'apprendre les rudiments de la maréchalerie afin d'être capable de parer aux urgences ou aux petits soucis sans faire déplacer un professionnel au moindre incident. Pour un cavalier d'endurance, c'est d'ailleurs une compétence indispensable. Un minimum de connaissances en termes de vocabulaire (parties du pied et du fer, décrites dans les manuels de passage de Galops ou sur Wikipédia) est nécessaire pour pouvoir suivre cet article. Comment ferrer votre cheval [texte imprimé] / Wiseman, Auteur ; Robert F, Auteur ; Pierre d'autheville trd., Auteur . - [S.l.] : canada: edisem,, 1974 . - 63 P ; couv. ill. en coul.; 20x13cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Les chevaux sauvages les chevaux domestiques les soins constants et couteux le ferrage le cavalier d'endurance Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Les chevaux sauvages ne sont jamais ferrés [1] et pourtant ils peuvent parcourir de grandes distances chaque jour sans problème, alors que les pieds des chevaux domestiques nécessitent des soins constants et couteux, notamment le ferrage. La personne qui ferre les pieds des chevaux s'appelle le maréchal-ferrant et si vous montez à cheval dans un club, vous l'avez probablement déjà vu à l'œuvre au moins une fois, car une ferrure se change toutes les quatre à six semaines. Pour un propriétaire, il est donc judicieux d'apprendre les rudiments de la maréchalerie afin d'être capable de parer aux urgences ou aux petits soucis sans faire déplacer un professionnel au moindre incident. Pour un cavalier d'endurance, c'est d'ailleurs une compétence indispensable. Un minimum de connaissances en termes de vocabulaire (parties du pied et du fer, décrites dans les manuels de passage de Galops ou sur Wikipédia) est nécessaire pour pouvoir suivre cet article. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSI-3986/ex1 798.2-7.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSI-3986/ex2 798.2-7.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible EPSI-3986/ex3 798.2-7.3 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible