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Mouvement et animation physique / Courtier Denise
Titre : Mouvement et animation physique Type de document : texte imprimé Auteurs : Courtier Denise, Auteur ; Camus Yves, Auteur ; Sarkar Ajit, Auteur Editeur : Paris: Ministère de la jeunesse des sport et des loisirs Année de publication : 1990 Importance : (150 p.) Format : ill., couv. ill. ; 30 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Mouvement animation physique sport éducation physique vieillesse retraite Alterssport Physiologie Bewegung Altern Gerontologie Hygiene Psychophysiologie. Index. décimale : 796- Histoire du sport Résumé : L'idée principale de ces principes était de produire une illusion très réaliste des mouvements des personnages (et des objets) de par leur adhésion aux lois de la physique, et aux réactions et expressions émotionnelles réelles.
Le livre et ses principes ont été communément adoptés, et constituent encore une référence en la matière. En 1999, le livre a été élu numéro 1 des « meilleurs livres d'animation de tous les temps » (best animation books of all time). Appliqués à l'origine pour l'animation à la main traditionnelle, ces principes sont toujours prépondérants dans l'animation moderne par ordinateur.Mouvement et animation physique [texte imprimé] / Courtier Denise, Auteur ; Camus Yves, Auteur ; Sarkar Ajit, Auteur . - [S.l.] : Paris: Ministère de la jeunesse des sport et des loisirs, 1990 . - (150 p.) ; ill., couv. ill. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mouvement animation physique sport éducation physique vieillesse retraite Alterssport Physiologie Bewegung Altern Gerontologie Hygiene Psychophysiologie. Index. décimale : 796- Histoire du sport Résumé : L'idée principale de ces principes était de produire une illusion très réaliste des mouvements des personnages (et des objets) de par leur adhésion aux lois de la physique, et aux réactions et expressions émotionnelles réelles.
Le livre et ses principes ont été communément adoptés, et constituent encore une référence en la matière. En 1999, le livre a été élu numéro 1 des « meilleurs livres d'animation de tous les temps » (best animation books of all time). Appliqués à l'origine pour l'animation à la main traditionnelle, ces principes sont toujours prépondérants dans l'animation moderne par ordinateur.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-5423 796-17.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Histoire/Encyclopédie du sport Exclu du prêt EPSE-5424 796-17.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Histoire/Encyclopédie du sport Disponible
Titre : Musique et mouvement Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Meunier-Fromenti, Auteur Editeur : Paris : Vigot Année de publication : 1991 Collection : Collection Sport + enseignement, ISSN 0339-2015 num. 130 Importance : 1 vol. (127 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7114-1149-8 Prix : 130 F Langues : Français (fre) Mots-clés : La vie humaine mouvement pédagogique civilisation occidentale Musique éducation physique et sportive Étude et enseignement Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Résumé : Depuis quelques années, on remarque dans nos classes un intérêt pour la réalisation de mouvements. Voilà pourquoi j'aimerais, bien modestement, apporter ma contribution à ce nouvel élan à travers quelques textes que je souhaite d'intérêt réflexif et pédagogique.
Le mouvement fait partie de la vie
La vie humaine est faite de mouvement(s). On se lève, on s'assoit, on mime, on tend les bras, on cligne de l'oeil, on marche, on court, on monte, on descend...
Dans un contexte spécifiquement musical, j'ai l'occasion d'observer, dans mon propre cadre familial, les réactions de mon petit garçon par rapport à diverses musiques qu'il écoute. Que ce soit sur une chanson de Céline Dion, sur un concerto de Mozart ou sur un air de Verdi, tout son être entre en mouvement. Son corps se balance, ses mains se joignent, ses pieds frappent le sol, son visage se détend. Il invite aussi ses parents à entreprendre une ronde avec lui.
Générés par la musique, ces « stimuli », produits par des sons (parfois aussi par des bruits), provoquent une modification fondamentale du comportement. Le mouvement est par conséquent un mode d'expression naturel dès la plus tendre enfance.
Le mouvement, comme moyen d'expression spontané
Sur notre planète, beaucoup de populations maintiennent cette expression tout au long de la vie des gens, avec des rythmes, des gestes ou des mimes. Le mouvement accompagne les rites de la naissance à la fin de vie.
Mais, malheureusement, notre civilisation occidentale a considérablement réduit l'importance du mouvement en musique. Il a été passablement codifié, entraînant ainsi un danger d'automatisation, voire de robotisation. La musique s'écoute plus qu'elle ne se vit. J'en veux pour preuve, particulièrement, les clips vidéo ou les comédies musicales actuelles. C'est parfait, presque trop parfait, dirais-je. Loin de moi l'idée de dénigrer ces formes d'expression. Mais elles servent dangereusement de modèles absolus à nos élèves et occultent ainsi parfois leur spontanéité ou leur envie de créer et d'inventer.
Cela ne veut pas dire pour autant qu'il faille proposer de la musique à nos élèves et les laisser toujours se mouvoir dans la plus grande anarchie. Il existe toujours la possibilité de donner un cadre pas trop restrictif aux activités à réaliser (espace, temps...) leur permettant d'ôter leurs inhibitions (timidité, manque d'assurance), de prendre conscience de leur rythmes vitaux et de les extérioriser de manière créatrice sans pour autant tomber dans un dirigisme qui risquerait de devenir caricatural.
Mon prochain article emmènera le lecteur à la découverte des nombreuses possibilités offertes aux enseignants pour faire découvrir à leurs élèves des danses et des mouvements divers.En ligne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3326413q Musique et mouvement [texte imprimé] / Jacqueline Meunier-Fromenti, Auteur . - Paris : Vigot, 1991 . - 1 vol. (127 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Collection Sport + enseignement, ISSN 0339-2015; 130) .
ISBN : 978-2-7114-1149-8 : 130 F
Langues : Français (fre)
Mots-clés : La vie humaine mouvement pédagogique civilisation occidentale Musique éducation physique et sportive Étude et enseignement Index. décimale : 793.3- Chorégraphie Résumé : Depuis quelques années, on remarque dans nos classes un intérêt pour la réalisation de mouvements. Voilà pourquoi j'aimerais, bien modestement, apporter ma contribution à ce nouvel élan à travers quelques textes que je souhaite d'intérêt réflexif et pédagogique.
Le mouvement fait partie de la vie
La vie humaine est faite de mouvement(s). On se lève, on s'assoit, on mime, on tend les bras, on cligne de l'oeil, on marche, on court, on monte, on descend...
Dans un contexte spécifiquement musical, j'ai l'occasion d'observer, dans mon propre cadre familial, les réactions de mon petit garçon par rapport à diverses musiques qu'il écoute. Que ce soit sur une chanson de Céline Dion, sur un concerto de Mozart ou sur un air de Verdi, tout son être entre en mouvement. Son corps se balance, ses mains se joignent, ses pieds frappent le sol, son visage se détend. Il invite aussi ses parents à entreprendre une ronde avec lui.
Générés par la musique, ces « stimuli », produits par des sons (parfois aussi par des bruits), provoquent une modification fondamentale du comportement. Le mouvement est par conséquent un mode d'expression naturel dès la plus tendre enfance.
Le mouvement, comme moyen d'expression spontané
Sur notre planète, beaucoup de populations maintiennent cette expression tout au long de la vie des gens, avec des rythmes, des gestes ou des mimes. Le mouvement accompagne les rites de la naissance à la fin de vie.
Mais, malheureusement, notre civilisation occidentale a considérablement réduit l'importance du mouvement en musique. Il a été passablement codifié, entraînant ainsi un danger d'automatisation, voire de robotisation. La musique s'écoute plus qu'elle ne se vit. J'en veux pour preuve, particulièrement, les clips vidéo ou les comédies musicales actuelles. C'est parfait, presque trop parfait, dirais-je. Loin de moi l'idée de dénigrer ces formes d'expression. Mais elles servent dangereusement de modèles absolus à nos élèves et occultent ainsi parfois leur spontanéité ou leur envie de créer et d'inventer.
Cela ne veut pas dire pour autant qu'il faille proposer de la musique à nos élèves et les laisser toujours se mouvoir dans la plus grande anarchie. Il existe toujours la possibilité de donner un cadre pas trop restrictif aux activités à réaliser (espace, temps...) leur permettant d'ôter leurs inhibitions (timidité, manque d'assurance), de prendre conscience de leur rythmes vitaux et de les extérioriser de manière créatrice sans pour autant tomber dans un dirigisme qui risquerait de devenir caricatural.
Mon prochain article emmènera le lecteur à la découverte des nombreuses possibilités offertes aux enseignants pour faire découvrir à leurs élèves des danses et des mouvements divers.En ligne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3326413q Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-6895 793.3-20.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt EPSE-6896 793.3-20.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible Tai ji quan / Michel Deverge
Titre : Tai ji quan : d'après l'enseignement du maître Ang Tee Tong ; santé du corps, bonheur de l'âme, méditation chinoise en mouvement Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Deverge (1939-2017), Auteur Editeur : Paris : Chiron Année de publication : 1981 Importance : 143 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7027-0293-2 Prix : 65 F Note générale : Texte français seul Langues : Français (fre) Mots-clés : jeux de combat Taijiquan Tong Santé et Corps Bonheur De L'âme Mouvement Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Le Tai Ji Quan, c’est aussi un sentiment réel de plaisir, une grande beauté, l’harmonie corps–esprit enfin réalisée. Pratique quotidienne de millions de chinois qui considèrent qu’elle favorise la longévité et le bien-être à travers le déroulement de mouvements réalisés au ralenti, le Tai Ji Quan a le pouvoir d’agir sur tout l’être à travers des gestes très variés, lents, apparentés au combat mais stylisés. Par une « alchimie intérieure », le Tai Ji Quan a pour canaux conducteurs les méridiens du corps, comme pour l’acupuncture. Il rééquilibre les fonctions vitales de l’organisme tout en contribuant à la paix intérieure. Le Tai Ji Quan suscite une profonde interaction entre le corps et l’esprit car l’enchaînement des gestes exprime la sagesse du Tao, notamment avec l’alternance Yin / Yang, deux énergies opposées et complémentaires qui doivent s’unir dans la différence et l’harmonie.
Le terme « Tai Ji » signifie « union entre le Yin et le Yang », alternance incessante du Yin (vide, féminin) et du Yang (plein, masculin). Ces deux principes sont à la fois antagonistes et complémentaires. Le jeu permanent entre Ying et le Yang produit les mouvements et c’est la différence du Yin et du Yang qui permet des manifestations comme le changement ou la transformation, les mouvements, la vie. L’équilibre et l’unité de tout ce qui existe sont les expressions de ces deux forces antagonistes et complémentaires qui sont sans cesse en interaction.
Selon la pensée chinoise, le principe du Tai Ji peut s’appliquer à l’univers et à tous les êtres. Il est le principe naturel du mouvement perpétuel : croissance – décroissance, depuis les phénomènes les plus grands comme les étoiles, jusqu’aux plus petits comme les atomes. Tous se meuvent dans la transformation du Yin et du Yang. Il n’est peut-être nulle autre pensée que la pensée chinoise pour avoir développé à un tel point les analogies entre le macrocosme (univers) et le microcosme (corps humain). Ainsi le Tai Ji est-il l’un des systèmes de représentations applicable à tous les domaines. L’univers est un Tai Ji, mais le corps humain est aussi un Tai Ji. Cette idée joue un rôle important dans le pratique du Tai Ji Quan, quand le pratiquant s’efforce d’harmoniser le petit univers qu’est son corps tout en s’accordant à l’harmonie général de l’univers. La pratique de Tai Ji Quan est nommée ainsi parce qu’elle s’accorde avec les lois naturelles ainsi conçues : repos et action dans les mouvements, alternance de l’intérieur et de l’extérieur, du vide et du plein, de haut et le bas, de côté gauche et de côté droit, etc…Tai ji quan : d'après l'enseignement du maître Ang Tee Tong ; santé du corps, bonheur de l'âme, méditation chinoise en mouvement [texte imprimé] / Michel Deverge (1939-2017), Auteur . - Paris : Chiron, 1981 . - 143 p. : ill., couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7027-0293-2 : 65 F
Texte français seul
Langues : Français (fre)
Mots-clés : jeux de combat Taijiquan Tong Santé et Corps Bonheur De L'âme Mouvement Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Le Tai Ji Quan, c’est aussi un sentiment réel de plaisir, une grande beauté, l’harmonie corps–esprit enfin réalisée. Pratique quotidienne de millions de chinois qui considèrent qu’elle favorise la longévité et le bien-être à travers le déroulement de mouvements réalisés au ralenti, le Tai Ji Quan a le pouvoir d’agir sur tout l’être à travers des gestes très variés, lents, apparentés au combat mais stylisés. Par une « alchimie intérieure », le Tai Ji Quan a pour canaux conducteurs les méridiens du corps, comme pour l’acupuncture. Il rééquilibre les fonctions vitales de l’organisme tout en contribuant à la paix intérieure. Le Tai Ji Quan suscite une profonde interaction entre le corps et l’esprit car l’enchaînement des gestes exprime la sagesse du Tao, notamment avec l’alternance Yin / Yang, deux énergies opposées et complémentaires qui doivent s’unir dans la différence et l’harmonie.
Le terme « Tai Ji » signifie « union entre le Yin et le Yang », alternance incessante du Yin (vide, féminin) et du Yang (plein, masculin). Ces deux principes sont à la fois antagonistes et complémentaires. Le jeu permanent entre Ying et le Yang produit les mouvements et c’est la différence du Yin et du Yang qui permet des manifestations comme le changement ou la transformation, les mouvements, la vie. L’équilibre et l’unité de tout ce qui existe sont les expressions de ces deux forces antagonistes et complémentaires qui sont sans cesse en interaction.
Selon la pensée chinoise, le principe du Tai Ji peut s’appliquer à l’univers et à tous les êtres. Il est le principe naturel du mouvement perpétuel : croissance – décroissance, depuis les phénomènes les plus grands comme les étoiles, jusqu’aux plus petits comme les atomes. Tous se meuvent dans la transformation du Yin et du Yang. Il n’est peut-être nulle autre pensée que la pensée chinoise pour avoir développé à un tel point les analogies entre le macrocosme (univers) et le microcosme (corps humain). Ainsi le Tai Ji est-il l’un des systèmes de représentations applicable à tous les domaines. L’univers est un Tai Ji, mais le corps humain est aussi un Tai Ji. Cette idée joue un rôle important dans le pratique du Tai Ji Quan, quand le pratiquant s’efforce d’harmoniser le petit univers qu’est son corps tout en s’accordant à l’harmonie général de l’univers. La pratique de Tai Ji Quan est nommée ainsi parce qu’elle s’accorde avec les lois naturelles ainsi conçues : repos et action dans les mouvements, alternance de l’intérieur et de l’extérieur, du vide et du plein, de haut et le bas, de côté gauche et de côté droit, etc…Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-14556 796.8-71.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Exclu du prêt IEPS-14557 796.8-71.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible Puissance et performance en cyclisme / Fred Grappe
Titre : Puissance et performance en cyclisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Fred Grappe, Auteur ; William BERTUCCI, Auteur ; Bertrand BARRON, Michael GEORGES, Auteur Editeur : Bruxelles : De Boeck Année de publication : DL 2012 Collection : Sciences et pratique du sport, ISSN 1373-0193 Importance : 1 vol. (364 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., graph., couv. ill. en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8041-5949-8 Prix : 39,50 EUR Note générale : La couv. porte en plus : "s'entraîner avec des capteurs de puissance"
IndexLangues : Français (fre) Mots-clés : cyclisme modèle holistique puissance mesure-temps validité capteur de puissance performance dépense énergétique rendement mécanique entraînementexercice effort neuroplasticité potenciel physique critique tests d'évaluation fréquence cardiaque puissance mécanique mouvement bicyclette la résistance aérodynamique Le travail mécanique Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Pour se déplacer le cycliste doit développer un certain niveau de
puissance. La production de puissance résulte d un processus assez complexe
qui répond à la mise en action de différents systèmes fonctionnels qui
travaillent tous en synergie afin de répondre à la demande de l exercice.
Chaque fois que le cycliste fourni un certain niveau de puissance, un
système intégré met en place une régulation spécifique pour faire en sorte
de s adapter au niveau de puissance requis. Il sollicite les mécanismes
physiologique, biomécanique et psychologique du sportif à différents niveaux
en l obligeant à mettre en place des stratégies d'adaptation et de gestion
de l effort. Cela amène à considérer que le cycliste est un système intégré
qui fonctionne comme un tout selon un modèle holistique. Cet ouvrage
souhaite mettre en lumière le fonctionnement intégré du cycliste en tant que
producteur de puissance mécanique.
ExtraitModèle holistique du cycliste comme source de puissance
développéeFred
Grappe
1. La production de la puissance mécanique, un modèle
complexeLorsqu'un sportif est en activité, on considère qu'il réalise un
exercice. L'exercice induit la mobilisation des différents segments du corps
selon des niveaux de force et de vitesse variables pour produire un
mouvement. Au final, le mouvement dans sa globalité génère la production
d'une puissance mécanique (Pméca, W) qui permet au sportif de se déplacer.
En d'autres termes, chaque fois qu'un sportif effectue un exercice, ce
dernier induit un certain niveau de Pméca. Celle-ci résulte de l'application
de certains niveaux de force et de vitesse gestuelle sur un objet (pédales,
guidon, bâtons, pagaies, sol, etc.) dans un milieu donné (l'eau en natation,
l'air pour les autres disciplines).
La recherche de la Pméca au cours d'un geste sportif a fait l'objet de
nombreux travaux dans les années 1980 [Bosco et coll., 1983 ; Williams et
Cavanagh, 1983 ; Aleshinsky, 1986 ; Lakomy, 1986 ; Van Ingen Schenau et
Cavanagh, 1990 ; Kaneko 1990]. Les chercheurs ont montré diverses approches
intéressantes pour calculer la Pméca dans différents sports mais aucun des
modèles proposés n'a fourni une théorie générale satisfaisante applicable au
calcul et à la mesure de la Pméca. Toute la difficulté réside principalement
dans le fait que la Pméca produite par le sportif pour se déplacer résulte
d'une combinaison et d'une association de forces internes et externes qu'il
doit préalablement vaincre pour produire un mouvement.
Par exemple, pour se déplacer sur sa bicyclette, un cycliste doit produire
des mouvements coordonnés de ses membres inférieurs et supérieurs et des
mouvements de torsion du tronc. Pour que la locomotion soit réalisable, il
est nécessaire que les principaux muscles qui interviennent dans la
réalisation du mouvement effectuent un travail mécanique. Dans le domaine de
la biomécanique, on distingue habituellement deux types de travail mécanique
réalisés par l'Homme : le travail interne qui correspond au travail réalisé
par le système musculaire pour assurer la mobilisation des segments et le
travail externe (interaction entre le corps et le milieu environnant : sol,
air, eau) qui correspond au travail des forces telles que la pesanteur, les
forces de réaction du support, les forces de frottement au sol, la
résistance aérodynamique. Le travail mécanique total accompli par les
muscles représente ainsi la somme des travaux interne et externe.
Puissance et performance en cyclisme [texte imprimé] / Fred Grappe, Auteur ; William BERTUCCI, Auteur ; Bertrand BARRON, Michael GEORGES, Auteur . - Bruxelles : De Boeck, DL 2012 . - 1 vol. (364 p.) : ill. en noir et en coul., graph., couv. ill. en coul. ; 27 cm. - (Sciences et pratique du sport, ISSN 1373-0193) .
ISBN : 978-2-8041-5949-8 : 39,50 EUR
La couv. porte en plus : "s'entraîner avec des capteurs de puissance"
Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : cyclisme modèle holistique puissance mesure-temps validité capteur de puissance performance dépense énergétique rendement mécanique entraînementexercice effort neuroplasticité potenciel physique critique tests d'évaluation fréquence cardiaque puissance mécanique mouvement bicyclette la résistance aérodynamique Le travail mécanique Index. décimale : 798.2- Equitation/Syclisme Résumé : Pour se déplacer le cycliste doit développer un certain niveau de
puissance. La production de puissance résulte d un processus assez complexe
qui répond à la mise en action de différents systèmes fonctionnels qui
travaillent tous en synergie afin de répondre à la demande de l exercice.
Chaque fois que le cycliste fourni un certain niveau de puissance, un
système intégré met en place une régulation spécifique pour faire en sorte
de s adapter au niveau de puissance requis. Il sollicite les mécanismes
physiologique, biomécanique et psychologique du sportif à différents niveaux
en l obligeant à mettre en place des stratégies d'adaptation et de gestion
de l effort. Cela amène à considérer que le cycliste est un système intégré
qui fonctionne comme un tout selon un modèle holistique. Cet ouvrage
souhaite mettre en lumière le fonctionnement intégré du cycliste en tant que
producteur de puissance mécanique.
ExtraitModèle holistique du cycliste comme source de puissance
développéeFred
Grappe
1. La production de la puissance mécanique, un modèle
complexeLorsqu'un sportif est en activité, on considère qu'il réalise un
exercice. L'exercice induit la mobilisation des différents segments du corps
selon des niveaux de force et de vitesse variables pour produire un
mouvement. Au final, le mouvement dans sa globalité génère la production
d'une puissance mécanique (Pméca, W) qui permet au sportif de se déplacer.
En d'autres termes, chaque fois qu'un sportif effectue un exercice, ce
dernier induit un certain niveau de Pméca. Celle-ci résulte de l'application
de certains niveaux de force et de vitesse gestuelle sur un objet (pédales,
guidon, bâtons, pagaies, sol, etc.) dans un milieu donné (l'eau en natation,
l'air pour les autres disciplines).
La recherche de la Pméca au cours d'un geste sportif a fait l'objet de
nombreux travaux dans les années 1980 [Bosco et coll., 1983 ; Williams et
Cavanagh, 1983 ; Aleshinsky, 1986 ; Lakomy, 1986 ; Van Ingen Schenau et
Cavanagh, 1990 ; Kaneko 1990]. Les chercheurs ont montré diverses approches
intéressantes pour calculer la Pméca dans différents sports mais aucun des
modèles proposés n'a fourni une théorie générale satisfaisante applicable au
calcul et à la mesure de la Pméca. Toute la difficulté réside principalement
dans le fait que la Pméca produite par le sportif pour se déplacer résulte
d'une combinaison et d'une association de forces internes et externes qu'il
doit préalablement vaincre pour produire un mouvement.
Par exemple, pour se déplacer sur sa bicyclette, un cycliste doit produire
des mouvements coordonnés de ses membres inférieurs et supérieurs et des
mouvements de torsion du tronc. Pour que la locomotion soit réalisable, il
est nécessaire que les principaux muscles qui interviennent dans la
réalisation du mouvement effectuent un travail mécanique. Dans le domaine de
la biomécanique, on distingue habituellement deux types de travail mécanique
réalisés par l'Homme : le travail interne qui correspond au travail réalisé
par le système musculaire pour assurer la mobilisation des segments et le
travail externe (interaction entre le corps et le milieu environnant : sol,
air, eau) qui correspond au travail des forces telles que la pesanteur, les
forces de réaction du support, les forces de frottement au sol, la
résistance aérodynamique. Le travail mécanique total accompli par les
muscles représente ainsi la somme des travaux interne et externe.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-23420 798.2-50.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Exclu du prêt IEPS-23421 798.2-50.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible IEPS-23422 798.2-50.3 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports divers et loisirs Disponible Biomécanique / Francis Goubel
Titre : Biomécanique : éléments de méanique musculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Goubel, ; Ghislaine Lensel-Corbeil (1949-....), Mention d'édition : [2e éd.] Editeur : Paris : Masson Année de publication : impr. 2003. Collection : Collection STAPS, ISSN 1761-3981 Importance : 1 vol. (158 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-294-01301-0 Prix : 25 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : Biomécanique et Muscles Physiologie et Muscles Mouvement les propriétés mécaniques des muscles squelettiques les applications orientées vers l'hyperactivité et l'hypoactivité Index. décimale : 612.4- Physiologie du sport Résumé : Dans le cadre de la biomécanique, cet ouvrage traite plus particulièrement des propriétés mécaniques des muscles squelettiques. Il rassemble les données de base de la mécanique musculaire et intègre, dans cette deuxième édition, un certain nombre de connaissances acquises plus récemment. De manière claire et rigoureuse, ce livre présente successivement : la structure du muscle et les relations fondamentales de la mécanique musculaire, établies sur des préparations isolées ; un transfert de connaissances au muscle humain in situ ; les applications orientées vers l'hyperactivité et l'hypoactivité. Biomécanique : éléments de méanique musculaire [texte imprimé] / Francis Goubel, ; Ghislaine Lensel-Corbeil (1949-....), . - [2e éd.] . - Paris : Masson, impr. 2003. . - 1 vol. (158 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm.. - (Collection STAPS, ISSN 1761-3981) .
ISBN : 978-2-294-01301-0 : 25 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Biomécanique et Muscles Physiologie et Muscles Mouvement les propriétés mécaniques des muscles squelettiques les applications orientées vers l'hyperactivité et l'hypoactivité Index. décimale : 612.4- Physiologie du sport Résumé : Dans le cadre de la biomécanique, cet ouvrage traite plus particulièrement des propriétés mécaniques des muscles squelettiques. Il rassemble les données de base de la mécanique musculaire et intègre, dans cette deuxième édition, un certain nombre de connaissances acquises plus récemment. De manière claire et rigoureuse, ce livre présente successivement : la structure du muscle et les relations fondamentales de la mécanique musculaire, établies sur des préparations isolées ; un transfert de connaissances au muscle humain in situ ; les applications orientées vers l'hyperactivité et l'hypoactivité. Réservation
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Exemplaires (8)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-11307 612.4-34.01 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Physiologie du sport Exclu du prêt IEPS-11308 612.4-34.02 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Physiologie du sport Disponible IEPS-11309 612.4-34.03 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Physiologie du sport Disponible IEPS-17071 612.4-34.04 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Physiologie du sport Disponible IEPS-17072 612.4-34.05 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Physiologie du sport Disponible IEPS-17073 612.4-34.06 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Physiologie du sport Disponible IEPS-17074 612.4-34.07 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Physiologie du sport Disponible IEPS-17075 612.4-34.08 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Physiologie du sport Disponible BRUCE Lee: Ma méthode de combat- jeet kune do2 / Bruce LEE
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