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Le grand livre des arts martiaux et des sports de combat / Bruno Hoffer
Titre : Le grand livre des arts martiaux et des sports de combat Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Hoffer (1961-....), Auteur Editeur : Paris : De Vecchi Année de publication : 1999 Importance : 158 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7328-6740-3 Prix : 159 F Note générale : La couv. porte en plus : "origines, histoire, spécificités techniques, conditions de pratique de plus de 40 disciplines sportives" Langues : Français (fre) Mots-clés : jeux de combat Arts martiaux Sports de combat amateurs débutants pratiquants compétition Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Pratiquer un sport de combat ou un art martial, d'accord ! Mais lequel ? Face à la diversité des disciplines, cet ouvrage aide à y voir plus clair, mais pas seulement. Il permet également de découvrir des arts martiaux moins connus. Illustré en noir et blanc, il s'adresse à tous, amateurs débutants ou pratiquants confirmés. Il dresse un panorama complet de tous les arts martiaux et sports de combat existants, de l'aïkido au nunchaku, en passant par la capoeira. Bref, une quarantaine de disciplines sont passées en revue. En ouverture, on trouve des conseils en matière de diététique, de renforcement musculaire et de sécurité. Ensuite, sous forme de fiches, l'auteur présente chaque sport : son origine et son histoire, ses spécificités techniques, son règlement, ainsi que les qualités et l'âge minimal requis pour pratiquer. Il revient également sur les différentes écoles et l'approche de la compétition. Nul doute que ce livre sera très utile, notamment à tous ceux qui ne savent pas encore vers quelle discipline s'orienter. Le grand livre des arts martiaux et des sports de combat [texte imprimé] / Bruno Hoffer (1961-....), Auteur . - Paris : De Vecchi, 1999 . - 158 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 25 cm.
ISBN : 978-2-7328-6740-3 : 159 F
La couv. porte en plus : "origines, histoire, spécificités techniques, conditions de pratique de plus de 40 disciplines sportives"
Langues : Français (fre)
Mots-clés : jeux de combat Arts martiaux Sports de combat amateurs débutants pratiquants compétition Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Pratiquer un sport de combat ou un art martial, d'accord ! Mais lequel ? Face à la diversité des disciplines, cet ouvrage aide à y voir plus clair, mais pas seulement. Il permet également de découvrir des arts martiaux moins connus. Illustré en noir et blanc, il s'adresse à tous, amateurs débutants ou pratiquants confirmés. Il dresse un panorama complet de tous les arts martiaux et sports de combat existants, de l'aïkido au nunchaku, en passant par la capoeira. Bref, une quarantaine de disciplines sont passées en revue. En ouverture, on trouve des conseils en matière de diététique, de renforcement musculaire et de sécurité. Ensuite, sous forme de fiches, l'auteur présente chaque sport : son origine et son histoire, ses spécificités techniques, son règlement, ainsi que les qualités et l'âge minimal requis pour pratiquer. Il revient également sur les différentes écoles et l'approche de la compétition. Nul doute que ce livre sera très utile, notamment à tous ceux qui ne savent pas encore vers quelle discipline s'orienter. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-14558 796.8-80.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Exclu du prêt Karaté / Roger Paschy
Titre : Karaté : technique et efficacité Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Paschy, Auteur Editeur : Paris : Chiron Année de publication : 1976 Importance : 75 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7027-0251-2 Prix : 30 F Langues : Français (fre) Mots-clés : jeux de combat la pratique arts martiaux entraînement corps respiration intentions Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Développer son sixième sens, connaître l’adversaire, le deviner, prévoir son mouvement avant qu’il ne frappe, agir avant lui… Pour en arriver là, il faut oser dépasser certaines limites.
Parfois, il m’arrive de m’éloigner du but recherché sans même m’ apercevoir de mon erreur. En karaté, il faut à chaque instant savoir prendre du recul, revenir aux sources des choses. Non pas pour s’immobiliser, non pas pour se contempler, mais pour mieux avancer sans erreur possible. Quand on étudie la vie des grands maîtres comme Funakoshi ou Kano, on s’aperçoit qu’ils ont rénové les arts martiaux en gardant leur sens fondamental. C’est pour cette raison que je veux baser mon travail, mes efforts, mes recherches sur l’aspect traditionnel du karaté.
Bien des gens abordent superficiellement le problème et classent les pratiquants de karaté en deux catégories : les sportifs et les mystiques. Pour eux, seuls les sportifs recherchent l’efficacité, les autres pratiquent le karaté comme des gens qui vont à l’église. Cette conception simpliste est complètement erronée puisqu’elle ignore le vrai sens du budo.
Si on pense au samouraï du passé, il vivait dans un danger permanent. Pour lui, posséder une certaine force et une certaine technique n’était qu’un point de départ, ce n’était pas suffisant. Sa vie était un combat continu… qu’il prenne le thé ou marche dans une ruelle, il devait être prêt à défendre sa vie, à vaincre un ou plusieurs adversaires. Il était hors de question pour lui de considérer la pratique des arts martiaux comme un entraînement sportif, le combat comme une compétition avec arbitre et public. Le samouraï devait atteindre l’efficacité au-delà de toute technique. C’est pour cela qu’il cultivait essentiellement son instinct, son sixième sens.
Développer un sixième sens, connaître l’adversaire ne sont pas des choses faciles à acquérir. En karaté, on ne peut atteindre l’esprit sans passer par le corps, vaincre l’adversaire sans se vaincre soi-même.
Il faut se vaincre soi-même, et le corps et les sentiments. D’abord le corps : il faut le « casser » et lui enlever toute résistance, puis le modeler, le former. Un entraînement extrêmement dur est nécessaire. Il faut éviter la facilité, rechercher la difficulté, aller au-delà de ses limites. C’est à ce moment-là que nous nous connaissons vraiment, et que nos sentiments apparaissent (haine, violence, paresse, impatience …). Les vaincre sera alors d’une extrême facilité. A travers l’effort, nous arriverons à une connaissance approfondie de nous-même. Puis à une harmonie avec ce qui nous entoure, y compris le silence. Dans ce silence, nous percevrons l’adversaire, sa présence, son corps sa respiration, ses intentions. Cet adversaire essaiera de rompre notre harmonie. Un instant s’écoulera entre sa décision et son mouvement. C’est pendant cet intervalle de temps, si minime soit-il, que nous agirons.
En karaté, le combat commence dès que nous apercevons la présence agressive de l’adversaire, et il se termine dès le début de son mouvement. C’est là l’efficacité absolue du karaté.Karaté : technique et efficacité [texte imprimé] / Roger Paschy, Auteur . - Paris : Chiron, 1976 . - 75 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7027-0251-2 : 30 F
Langues : Français (fre)
Mots-clés : jeux de combat la pratique arts martiaux entraînement corps respiration intentions Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Développer son sixième sens, connaître l’adversaire, le deviner, prévoir son mouvement avant qu’il ne frappe, agir avant lui… Pour en arriver là, il faut oser dépasser certaines limites.
Parfois, il m’arrive de m’éloigner du but recherché sans même m’ apercevoir de mon erreur. En karaté, il faut à chaque instant savoir prendre du recul, revenir aux sources des choses. Non pas pour s’immobiliser, non pas pour se contempler, mais pour mieux avancer sans erreur possible. Quand on étudie la vie des grands maîtres comme Funakoshi ou Kano, on s’aperçoit qu’ils ont rénové les arts martiaux en gardant leur sens fondamental. C’est pour cette raison que je veux baser mon travail, mes efforts, mes recherches sur l’aspect traditionnel du karaté.
Bien des gens abordent superficiellement le problème et classent les pratiquants de karaté en deux catégories : les sportifs et les mystiques. Pour eux, seuls les sportifs recherchent l’efficacité, les autres pratiquent le karaté comme des gens qui vont à l’église. Cette conception simpliste est complètement erronée puisqu’elle ignore le vrai sens du budo.
Si on pense au samouraï du passé, il vivait dans un danger permanent. Pour lui, posséder une certaine force et une certaine technique n’était qu’un point de départ, ce n’était pas suffisant. Sa vie était un combat continu… qu’il prenne le thé ou marche dans une ruelle, il devait être prêt à défendre sa vie, à vaincre un ou plusieurs adversaires. Il était hors de question pour lui de considérer la pratique des arts martiaux comme un entraînement sportif, le combat comme une compétition avec arbitre et public. Le samouraï devait atteindre l’efficacité au-delà de toute technique. C’est pour cela qu’il cultivait essentiellement son instinct, son sixième sens.
Développer un sixième sens, connaître l’adversaire ne sont pas des choses faciles à acquérir. En karaté, on ne peut atteindre l’esprit sans passer par le corps, vaincre l’adversaire sans se vaincre soi-même.
Il faut se vaincre soi-même, et le corps et les sentiments. D’abord le corps : il faut le « casser » et lui enlever toute résistance, puis le modeler, le former. Un entraînement extrêmement dur est nécessaire. Il faut éviter la facilité, rechercher la difficulté, aller au-delà de ses limites. C’est à ce moment-là que nous nous connaissons vraiment, et que nos sentiments apparaissent (haine, violence, paresse, impatience …). Les vaincre sera alors d’une extrême facilité. A travers l’effort, nous arriverons à une connaissance approfondie de nous-même. Puis à une harmonie avec ce qui nous entoure, y compris le silence. Dans ce silence, nous percevrons l’adversaire, sa présence, son corps sa respiration, ses intentions. Cet adversaire essaiera de rompre notre harmonie. Un instant s’écoulera entre sa décision et son mouvement. C’est pendant cet intervalle de temps, si minime soit-il, que nous agirons.
En karaté, le combat commence dès que nous apercevons la présence agressive de l’adversaire, et il se termine dès le début de son mouvement. C’est là l’efficacité absolue du karaté.Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-14695 796.8-87.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Exclu du prêt IEPS-14696 796.8-87.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible
Titre : Kumikata : les techniques des champions Type de document : texte imprimé Auteurs : Neil Adams (1958-....), Auteur ; Eddie Ferrie, Auteur Editeur : Paris : Chiron Année de publication : 1993 Collection : Les Maîtres du judo (Paris), ISSN 1159-9847 Importance : 94 p. Format : 16*23 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7027-0492-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : jeux de combat kumikata PSYCHOLOGIE ET TECHNIQUE conscience Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : La psychologie a pour ambition de décrire et d'expliquer les comportements. Dans le
domaine sportif, l'attente de l'entraîneur et de l'athlète se situent, au travers de cette
description et de ces explications, dans la compréhension puis dans la prévision de telle
ou telle attitude vis-à-vis du quotidien de l'entraînement, vis-à-vis de «l'événement » que
constitue la compétition.
Il est vrai que, lorsqu'ils en assument la responsabilité, les acteurs concernés évoquent
d'abord des causes techniques et physiques pour expliquer une contre-performance,
mais il arrive aussi qu'étant démunis d'arguments, ils conçoivent qu'un aspect de la
personnalité psychique de l'athlète soit soupçonnable: motivation, anxiété, émotivité,
agressivité... A bagage technique et condition physique égaux, les niveaux spécifiques de
chacun de ces facteurs psychologiques vont déterminer la différence d'efficience des
combattants au moment précis de la compétition. Face à la difficulté de maîtriser ces
composantes psychologiques, nous voudrions souligner l'interrelation importante que
peut établir l'entraîneur entre la technique: «enchaînements de mouvements corporels
tendant au meilleur résultat dans une situation donnée » (G. VIGARELLO), et la finalité
de la psychologie sportive : régulation optimum des traits spécifiques de la performance.
C'est un fait d'observation commun que de constater qu'un athlète émotif verra sa
performance en deçà de son attente s'il n'arrive pas à maîtriser ses affects. L'individu
anxieux consomme une grande quantité d'énergie à vivre son anxiété. Tout à l'heure, elle
lui fera défaut. L'entretien et l'analyse du vécu de l'athlète, s'ils sont effectués, vont très
probablement diminuer le handicap, mais ces deux «moyens » associés à l'estimation de
sa propre valeur, c'est-à-dire au renforcement de la confiance en soi, vont très favorablement modifier la régulation des émotions si l'athlète sent que ses connaissances
techniques s'étoffent.
Au fur et à mesure que l'athlète ressent l'efficacité dont il devient capable, la confiance en
ses possibilités repousse «l'imaginaire menaçant» de l'adversaire. Pour ce qui concerne
les acquisitions de techniques d'amener et de combat au sol, on constate qu'indépendamment des progrès réalisés dans ces parties du combat, l'athlète, par un phénomène de
feed-back, prend confiance dans ses attaques en position debout car il sent que si un
«contre » le place au sol il ne sera pas démuni, comme par le passé, pour faire face. Il est
certain, et tout compétiteur l'a ressenti, que la conscience de posséder une compétence
technique qui progressivement «étend sa réputation» repousse les effets d'une anxiété
latente lorsque commence l'attente qui précède une nouvelle remise en cause de sa valeur
sportive.
Retrouver ce titre sur Numilog.com
Peut-on avancer, à partir de ces quelques réflexions, que l'anxiété excessive d'un
compétiteur puisse être traitée par la technique ? C'est vraisemblablement une approche
possible, en ce sens que la conscience d'être plus fort qu'auparavant va contribuer à
tranquilliser l'athlète inquiet. Face à un adversaire qui l'a déjà battu, si depuis cette
défaite un travail technique précis à été effectué, un argument objectif pourra être pris en
compte par l'athlète et l'entraîneur pour se forger un moral de vainqueur.
On peut ainsi être amené à penser que même pour un champion de haut niveau, de
nouvelles acquisitions techniques demeurent nécessaires pour conforter la protection de
son affectivité longtemps fragile, et ce, au-delà de l'élément tactique qui consiste à
surprendre par une nouveauté un adversaire immuable.
Si l'on exclut arbitrairement (et abusivement) les facteurs sociaux de l'environnement,
atteindre «sa valeur», c'est-à-dire le niveau que l'on peut et que l'on désire atteindre,
nécessite de travailler dans trois directions convergentes, acquisition et optimisation à
l'instant décisif:
- d'une valeur physique maximum;
- d'une compétence technique couvrant toutes les parties du combat;
- d'une stabilité psychique composée d'une motivation, d'une agressivité, d'une anxiété
et d'une affectivité efficaces, c'est-à-dire modulées à un niveau qui renforce les qualités
motrices au lieu de les inhiber.
Au stade atteint par la compétition actuelle, négliger un de ces trois fronts d'acquisitions
c'est inévitablement subir l'échec et la déception dans un avenir proche.
L'enseignant puis l'entraîneur (deux rôles bien distincts, mais souvent la même personne) se doivent, en face d'un jeune judoka qui souhaite gravir les échelons, d'adopter
un comportement d'artisan-orfèvre. Le plan d'entraînement doit naître de l'observation
méticuleuse de ces trois champs qui constituent le sportif en situation de compétition. Les
acquisitions techniques projetées doivent s'implanter dans le réel de l'individualité du
judoka en liaison avec l'expression de ses désirs, de ses besoins, de ses difficultés.
L'entraîneur devra tenir compte des acquisitions assimilées, des manques qui apparaissent, des craintes formulées vis-à-vis de tel ou tel adversaire, tout en gardant à l'esprit que
valeur physique, technique et psychique sont étroitement dépendantes les unes des
autres.
Puisse notre ouvrage, qui se voulait répertorier un aspect de l'évolution du judo de
compétition, contribuer à renouer un dialogue, qui parfois s'étiole, entre l'entraîneur,
lequel a tendance à se préoccuper d'abord et surtout de la mise en condition physique et
les athlètes pour qui la pratique de ce seul aspect de la préparation engendre des périodes
de lassitude et des paliers souvent fort longs dans le cheminement du progrès.
Nous avons présenté notre conception du judo, à la fois dans son contenu technique et
dans sa pédagogie. Nous souhaitons que le lecteur y trouve les éléments nécessaires à
CREER SA PROPRE EXPRESSION SPORTIVE et que, par son adaptation originale et
ses recherches, il contribue à son tour, aussi modestement soit-il, à l'évolution dujudo de
compétitionEn ligne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3386169q Kumikata : les techniques des champions [texte imprimé] / Neil Adams (1958-....), Auteur ; Eddie Ferrie, Auteur . - Paris : Chiron, 1993 . - 94 p. ; 16*23. - (Les Maîtres du judo (Paris), ISSN 1159-9847) .
ISBN : 978-2-7027-0492-9
Langues : Français (fre)
Mots-clés : jeux de combat kumikata PSYCHOLOGIE ET TECHNIQUE conscience Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : La psychologie a pour ambition de décrire et d'expliquer les comportements. Dans le
domaine sportif, l'attente de l'entraîneur et de l'athlète se situent, au travers de cette
description et de ces explications, dans la compréhension puis dans la prévision de telle
ou telle attitude vis-à-vis du quotidien de l'entraînement, vis-à-vis de «l'événement » que
constitue la compétition.
Il est vrai que, lorsqu'ils en assument la responsabilité, les acteurs concernés évoquent
d'abord des causes techniques et physiques pour expliquer une contre-performance,
mais il arrive aussi qu'étant démunis d'arguments, ils conçoivent qu'un aspect de la
personnalité psychique de l'athlète soit soupçonnable: motivation, anxiété, émotivité,
agressivité... A bagage technique et condition physique égaux, les niveaux spécifiques de
chacun de ces facteurs psychologiques vont déterminer la différence d'efficience des
combattants au moment précis de la compétition. Face à la difficulté de maîtriser ces
composantes psychologiques, nous voudrions souligner l'interrelation importante que
peut établir l'entraîneur entre la technique: «enchaînements de mouvements corporels
tendant au meilleur résultat dans une situation donnée » (G. VIGARELLO), et la finalité
de la psychologie sportive : régulation optimum des traits spécifiques de la performance.
C'est un fait d'observation commun que de constater qu'un athlète émotif verra sa
performance en deçà de son attente s'il n'arrive pas à maîtriser ses affects. L'individu
anxieux consomme une grande quantité d'énergie à vivre son anxiété. Tout à l'heure, elle
lui fera défaut. L'entretien et l'analyse du vécu de l'athlète, s'ils sont effectués, vont très
probablement diminuer le handicap, mais ces deux «moyens » associés à l'estimation de
sa propre valeur, c'est-à-dire au renforcement de la confiance en soi, vont très favorablement modifier la régulation des émotions si l'athlète sent que ses connaissances
techniques s'étoffent.
Au fur et à mesure que l'athlète ressent l'efficacité dont il devient capable, la confiance en
ses possibilités repousse «l'imaginaire menaçant» de l'adversaire. Pour ce qui concerne
les acquisitions de techniques d'amener et de combat au sol, on constate qu'indépendamment des progrès réalisés dans ces parties du combat, l'athlète, par un phénomène de
feed-back, prend confiance dans ses attaques en position debout car il sent que si un
«contre » le place au sol il ne sera pas démuni, comme par le passé, pour faire face. Il est
certain, et tout compétiteur l'a ressenti, que la conscience de posséder une compétence
technique qui progressivement «étend sa réputation» repousse les effets d'une anxiété
latente lorsque commence l'attente qui précède une nouvelle remise en cause de sa valeur
sportive.
Retrouver ce titre sur Numilog.com
Peut-on avancer, à partir de ces quelques réflexions, que l'anxiété excessive d'un
compétiteur puisse être traitée par la technique ? C'est vraisemblablement une approche
possible, en ce sens que la conscience d'être plus fort qu'auparavant va contribuer à
tranquilliser l'athlète inquiet. Face à un adversaire qui l'a déjà battu, si depuis cette
défaite un travail technique précis à été effectué, un argument objectif pourra être pris en
compte par l'athlète et l'entraîneur pour se forger un moral de vainqueur.
On peut ainsi être amené à penser que même pour un champion de haut niveau, de
nouvelles acquisitions techniques demeurent nécessaires pour conforter la protection de
son affectivité longtemps fragile, et ce, au-delà de l'élément tactique qui consiste à
surprendre par une nouveauté un adversaire immuable.
Si l'on exclut arbitrairement (et abusivement) les facteurs sociaux de l'environnement,
atteindre «sa valeur», c'est-à-dire le niveau que l'on peut et que l'on désire atteindre,
nécessite de travailler dans trois directions convergentes, acquisition et optimisation à
l'instant décisif:
- d'une valeur physique maximum;
- d'une compétence technique couvrant toutes les parties du combat;
- d'une stabilité psychique composée d'une motivation, d'une agressivité, d'une anxiété
et d'une affectivité efficaces, c'est-à-dire modulées à un niveau qui renforce les qualités
motrices au lieu de les inhiber.
Au stade atteint par la compétition actuelle, négliger un de ces trois fronts d'acquisitions
c'est inévitablement subir l'échec et la déception dans un avenir proche.
L'enseignant puis l'entraîneur (deux rôles bien distincts, mais souvent la même personne) se doivent, en face d'un jeune judoka qui souhaite gravir les échelons, d'adopter
un comportement d'artisan-orfèvre. Le plan d'entraînement doit naître de l'observation
méticuleuse de ces trois champs qui constituent le sportif en situation de compétition. Les
acquisitions techniques projetées doivent s'implanter dans le réel de l'individualité du
judoka en liaison avec l'expression de ses désirs, de ses besoins, de ses difficultés.
L'entraîneur devra tenir compte des acquisitions assimilées, des manques qui apparaissent, des craintes formulées vis-à-vis de tel ou tel adversaire, tout en gardant à l'esprit que
valeur physique, technique et psychique sont étroitement dépendantes les unes des
autres.
Puisse notre ouvrage, qui se voulait répertorier un aspect de l'évolution du judo de
compétition, contribuer à renouer un dialogue, qui parfois s'étiole, entre l'entraîneur,
lequel a tendance à se préoccuper d'abord et surtout de la mise en condition physique et
les athlètes pour qui la pratique de ce seul aspect de la préparation engendre des périodes
de lassitude et des paliers souvent fort longs dans le cheminement du progrès.
Nous avons présenté notre conception du judo, à la fois dans son contenu technique et
dans sa pédagogie. Nous souhaitons que le lecteur y trouve les éléments nécessaires à
CREER SA PROPRE EXPRESSION SPORTIVE et que, par son adaptation originale et
ses recherches, il contribue à son tour, aussi modestement soit-il, à l'évolution dujudo de
compétitionEn ligne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3386169q Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-14528 796.8-69.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Exclu du prêt IEPS-14529 796.8-69.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible Taekwondo pratique- du débutant à la ceinture rouge / DAMAISIN D'ARES
Titre : Taekwondo pratique- du débutant à la ceinture rouge : pratique- du débutant à la ceinture rouge Type de document : texte imprimé Auteurs : DAMAISIN D'ARES, Auteur ; Jean-Christophe, Auteur Editeur : Paris: Amphora Année de publication : 2005 Importance : 223 16*21 Format : 16*21 CM ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85180-665-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : jeux de combat taekwondo sport olympique Le règlement l'équipement les techniques les poomsés Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Le Taekwondo profite de son statut de sport olympique pour séduire chaque année davantage d'adeptes. En partant de son précédent ouvrage "Le manuel pratique du Taekwondo", Jean-Christophe Damaisin d'Arès propose une nouvelle version actualisée et largement complétée qui traite de l'ensemble des grades de cet art martial.Le règlement, l'équipement, les techniques, les poomsés... L'auteur présente un manuel exhaustif et accessible, illustré de nombreuses photos explicatives, qui accompagnera le pratiquant de ses débuts au passage de la ceinture rouge. Taekwondo pratique- du débutant à la ceinture rouge : pratique- du débutant à la ceinture rouge [texte imprimé] / DAMAISIN D'ARES, Auteur ; Jean-Christophe, Auteur . - [S.l.] : Paris: Amphora, 2005 . - 223 16*21 ; 16*21 CM.
ISBN : 978-2-85180-665-9
Langues : Français (fre)
Mots-clés : jeux de combat taekwondo sport olympique Le règlement l'équipement les techniques les poomsés Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Le Taekwondo profite de son statut de sport olympique pour séduire chaque année davantage d'adeptes. En partant de son précédent ouvrage "Le manuel pratique du Taekwondo", Jean-Christophe Damaisin d'Arès propose une nouvelle version actualisée et largement complétée qui traite de l'ensemble des grades de cet art martial.Le règlement, l'équipement, les techniques, les poomsés... L'auteur présente un manuel exhaustif et accessible, illustré de nombreuses photos explicatives, qui accompagnera le pratiquant de ses débuts au passage de la ceinture rouge. Réservation
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Exemplaires (11)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-10785 796.8-57.01 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Exclu du prêt IEPS-10786 796.8-57.02 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-10787 796.8-57.03 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-10788 796.8-57.04 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-10789 796.8-57.05 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-10790 796.8-57.06 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-14755 796.8-57.07 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-14756 796.8-57.08 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-14757 796.8-57.09 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-14758 796.8-57.10 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible IEPS-14759 796.8-57.11 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible Tai ji quan / Michel Deverge
Titre : Tai ji quan : d'après l'enseignement du maître Ang Tee Tong ; santé du corps, bonheur de l'âme, méditation chinoise en mouvement Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Deverge (1939-2017), Auteur Editeur : Paris : Chiron Année de publication : 1981 Importance : 143 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7027-0293-2 Prix : 65 F Note générale : Texte français seul Langues : Français (fre) Mots-clés : jeux de combat Taijiquan Tong Santé et Corps Bonheur De L'âme Mouvement Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Le Tai Ji Quan, c’est aussi un sentiment réel de plaisir, une grande beauté, l’harmonie corps–esprit enfin réalisée. Pratique quotidienne de millions de chinois qui considèrent qu’elle favorise la longévité et le bien-être à travers le déroulement de mouvements réalisés au ralenti, le Tai Ji Quan a le pouvoir d’agir sur tout l’être à travers des gestes très variés, lents, apparentés au combat mais stylisés. Par une « alchimie intérieure », le Tai Ji Quan a pour canaux conducteurs les méridiens du corps, comme pour l’acupuncture. Il rééquilibre les fonctions vitales de l’organisme tout en contribuant à la paix intérieure. Le Tai Ji Quan suscite une profonde interaction entre le corps et l’esprit car l’enchaînement des gestes exprime la sagesse du Tao, notamment avec l’alternance Yin / Yang, deux énergies opposées et complémentaires qui doivent s’unir dans la différence et l’harmonie.
Le terme « Tai Ji » signifie « union entre le Yin et le Yang », alternance incessante du Yin (vide, féminin) et du Yang (plein, masculin). Ces deux principes sont à la fois antagonistes et complémentaires. Le jeu permanent entre Ying et le Yang produit les mouvements et c’est la différence du Yin et du Yang qui permet des manifestations comme le changement ou la transformation, les mouvements, la vie. L’équilibre et l’unité de tout ce qui existe sont les expressions de ces deux forces antagonistes et complémentaires qui sont sans cesse en interaction.
Selon la pensée chinoise, le principe du Tai Ji peut s’appliquer à l’univers et à tous les êtres. Il est le principe naturel du mouvement perpétuel : croissance – décroissance, depuis les phénomènes les plus grands comme les étoiles, jusqu’aux plus petits comme les atomes. Tous se meuvent dans la transformation du Yin et du Yang. Il n’est peut-être nulle autre pensée que la pensée chinoise pour avoir développé à un tel point les analogies entre le macrocosme (univers) et le microcosme (corps humain). Ainsi le Tai Ji est-il l’un des systèmes de représentations applicable à tous les domaines. L’univers est un Tai Ji, mais le corps humain est aussi un Tai Ji. Cette idée joue un rôle important dans le pratique du Tai Ji Quan, quand le pratiquant s’efforce d’harmoniser le petit univers qu’est son corps tout en s’accordant à l’harmonie général de l’univers. La pratique de Tai Ji Quan est nommée ainsi parce qu’elle s’accorde avec les lois naturelles ainsi conçues : repos et action dans les mouvements, alternance de l’intérieur et de l’extérieur, du vide et du plein, de haut et le bas, de côté gauche et de côté droit, etc…Tai ji quan : d'après l'enseignement du maître Ang Tee Tong ; santé du corps, bonheur de l'âme, méditation chinoise en mouvement [texte imprimé] / Michel Deverge (1939-2017), Auteur . - Paris : Chiron, 1981 . - 143 p. : ill., couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7027-0293-2 : 65 F
Texte français seul
Langues : Français (fre)
Mots-clés : jeux de combat Taijiquan Tong Santé et Corps Bonheur De L'âme Mouvement Index. décimale : 796.8- Sports de combat Résumé : Le Tai Ji Quan, c’est aussi un sentiment réel de plaisir, une grande beauté, l’harmonie corps–esprit enfin réalisée. Pratique quotidienne de millions de chinois qui considèrent qu’elle favorise la longévité et le bien-être à travers le déroulement de mouvements réalisés au ralenti, le Tai Ji Quan a le pouvoir d’agir sur tout l’être à travers des gestes très variés, lents, apparentés au combat mais stylisés. Par une « alchimie intérieure », le Tai Ji Quan a pour canaux conducteurs les méridiens du corps, comme pour l’acupuncture. Il rééquilibre les fonctions vitales de l’organisme tout en contribuant à la paix intérieure. Le Tai Ji Quan suscite une profonde interaction entre le corps et l’esprit car l’enchaînement des gestes exprime la sagesse du Tao, notamment avec l’alternance Yin / Yang, deux énergies opposées et complémentaires qui doivent s’unir dans la différence et l’harmonie.
Le terme « Tai Ji » signifie « union entre le Yin et le Yang », alternance incessante du Yin (vide, féminin) et du Yang (plein, masculin). Ces deux principes sont à la fois antagonistes et complémentaires. Le jeu permanent entre Ying et le Yang produit les mouvements et c’est la différence du Yin et du Yang qui permet des manifestations comme le changement ou la transformation, les mouvements, la vie. L’équilibre et l’unité de tout ce qui existe sont les expressions de ces deux forces antagonistes et complémentaires qui sont sans cesse en interaction.
Selon la pensée chinoise, le principe du Tai Ji peut s’appliquer à l’univers et à tous les êtres. Il est le principe naturel du mouvement perpétuel : croissance – décroissance, depuis les phénomènes les plus grands comme les étoiles, jusqu’aux plus petits comme les atomes. Tous se meuvent dans la transformation du Yin et du Yang. Il n’est peut-être nulle autre pensée que la pensée chinoise pour avoir développé à un tel point les analogies entre le macrocosme (univers) et le microcosme (corps humain). Ainsi le Tai Ji est-il l’un des systèmes de représentations applicable à tous les domaines. L’univers est un Tai Ji, mais le corps humain est aussi un Tai Ji. Cette idée joue un rôle important dans le pratique du Tai Ji Quan, quand le pratiquant s’efforce d’harmoniser le petit univers qu’est son corps tout en s’accordant à l’harmonie général de l’univers. La pratique de Tai Ji Quan est nommée ainsi parce qu’elle s’accorde avec les lois naturelles ainsi conçues : repos et action dans les mouvements, alternance de l’intérieur et de l’extérieur, du vide et du plein, de haut et le bas, de côté gauche et de côté droit, etc…Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-14556 796.8-71.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Exclu du prêt IEPS-14557 796.8-71.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Sports de combat Disponible