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Artériographie et veinographie pulmonaires / Christian Cabrol
Titre : Artériographie et veinographie pulmonaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Cabrol (1925-2017), Auteur ; Jean-Claude Hoeffel, Auteur ; Jamel Eddine Akrout, Auteur ; Émile Bugault, Collaborateur Editeur : Paris : Éditions Marketing Année de publication : 1980 Collection : Collection Médical, ISSN 0245-6176 num. 6 Importance : 93 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 25 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Poumon Vaisseaux sanguins Radiographie Angiographie Artériographie Index. décimale : 610- Sciences médicales Résumé : L’angiographie pulmonaire, parfois appelée artériographie pulmonaire, est réalisée en milieu hospitalier, par un médecin radiologue spécifiquement formé à la radiologie vasculaire et interventionnelle. Cet examen médical est une image radiographique des vaisseaux sanguins irrigant les poumons.
L’angiographie pulmonaire est un examen de référence dans le diagnostic de différentes pathologies affectant le système vasculaire pulmonaire, notamment :
Une embolie pulmonaire (obstruction d’une ou plusieurs artères pulmonaires). L’angiographie pulmonaire complète la réalisation d’un angioscanner, lorsque ce dernier ne permet pas d’affirmer à lui seul le diagnostic d’embolie ;
Une sténose des artères pulmonaires (rétrécissement de la paroi des vaisseaux sanguins) ;
Un anévrisme de l’artère pulmonaire (dilatation artérielle) ;
La présence de fistules artério-veineuses pulmonaires (communications anormales entre les réseaux veineux et artériel) ;
Des malformations congénitales cardiaques et/ou vasculaires ;
La présence d’un corps étranger dans les vaisseaux sanguins.
Dans ces contextes, l’angiographie pulmonaire est réalisée en complément d’autres examens médicaux (échographie, scanner ou IRM (Imagerie par Résonance Magnétique)), pour apporter des renseignements complémentaires à l’équipe médicale.
Par ailleurs, cet examen médical peut également précéder un geste thérapeutique endovasculaire, pour « déboucher » une artère par exemple.
Enfin, l’angiographie pulmonaire peut être utilisée pour administrer un médicament directement au niveau des poumons, notamment dans le cadre du traitement d’un cancer ou d’une hémorragie.
Certaines situations constituent une contre-indication relative à la réalisation d’une angiographie pulmonaire :
Une allergie à l’iode et donc au produit de contraste iodé utilisé pour visualiser les artères ;
Une insuffisance cardiaque congestive ;
Une hypertension artérielle pulmonaire ;
Une endocardite (infection de la paroi interne du cœur).
Cet examen peut tout de même être pratiqué chez ces patients, mais uniquement en cas de nécessité absolue et avec des précautions importanteArtériographie et veinographie pulmonaires [texte imprimé] / Christian Cabrol (1925-2017), Auteur ; Jean-Claude Hoeffel, Auteur ; Jamel Eddine Akrout, Auteur ; Émile Bugault, Collaborateur . - Paris : Éditions Marketing, 1980 . - 93 p. : ill., couv. ill. ; 25 cm. - (Collection Médical, ISSN 0245-6176; 6) .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Poumon Vaisseaux sanguins Radiographie Angiographie Artériographie Index. décimale : 610- Sciences médicales Résumé : L’angiographie pulmonaire, parfois appelée artériographie pulmonaire, est réalisée en milieu hospitalier, par un médecin radiologue spécifiquement formé à la radiologie vasculaire et interventionnelle. Cet examen médical est une image radiographique des vaisseaux sanguins irrigant les poumons.
L’angiographie pulmonaire est un examen de référence dans le diagnostic de différentes pathologies affectant le système vasculaire pulmonaire, notamment :
Une embolie pulmonaire (obstruction d’une ou plusieurs artères pulmonaires). L’angiographie pulmonaire complète la réalisation d’un angioscanner, lorsque ce dernier ne permet pas d’affirmer à lui seul le diagnostic d’embolie ;
Une sténose des artères pulmonaires (rétrécissement de la paroi des vaisseaux sanguins) ;
Un anévrisme de l’artère pulmonaire (dilatation artérielle) ;
La présence de fistules artério-veineuses pulmonaires (communications anormales entre les réseaux veineux et artériel) ;
Des malformations congénitales cardiaques et/ou vasculaires ;
La présence d’un corps étranger dans les vaisseaux sanguins.
Dans ces contextes, l’angiographie pulmonaire est réalisée en complément d’autres examens médicaux (échographie, scanner ou IRM (Imagerie par Résonance Magnétique)), pour apporter des renseignements complémentaires à l’équipe médicale.
Par ailleurs, cet examen médical peut également précéder un geste thérapeutique endovasculaire, pour « déboucher » une artère par exemple.
Enfin, l’angiographie pulmonaire peut être utilisée pour administrer un médicament directement au niveau des poumons, notamment dans le cadre du traitement d’un cancer ou d’une hémorragie.
Certaines situations constituent une contre-indication relative à la réalisation d’une angiographie pulmonaire :
Une allergie à l’iode et donc au produit de contraste iodé utilisé pour visualiser les artères ;
Une insuffisance cardiaque congestive ;
Une hypertension artérielle pulmonaire ;
Une endocardite (infection de la paroi interne du cœur).
Cet examen peut tout de même être pratiqué chez ces patients, mais uniquement en cas de nécessité absolue et avec des précautions importanteRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-4942 610-149.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine/Biologie/Biochimie Exclu du prêt EPSE-4943 610-149.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine/Biologie/Biochimie Disponible Sémiologie clinique et radiologique des articulations pour le diagnostic rhumatologique / Jacques Arlet
Titre : Sémiologie clinique et radiologique des articulations pour le diagnostic rhumatologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Arlet (1920-....), Auteur Editeur : Paris : Éditions Marketing Année de publication : 1984 Importance : 127 p. ISBN/ISSN/EAN : 2-7298-5033-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrographie Amplitude articulaire inflammatoires radiographiques Index. décimale : 610- Sciences médicales Résumé : La PR est un rhumatisme inflammatoire de la femme jeune, réalisant une atteinte acromélique à tendance symétrique, évoluant par poussées, permettant de décrire des formes de début, des formes avérées et des formes anciennes et séquellaires.
4.1.1 - La PR au début :
4.1.1.1 - signes cliniques :
• dans sa forme typique, c'est une polyarthrite acromélique touchant les mains et les pieds, mais respectant les articulations inter-phalangiennes distales (IPD). Elle a une nette tendance à la symétrie.
Les douleurs siègent aux poignets, aux métacarpo-phalangiennes (MCP) et aux interphalangiennes proximales (IPP) mais aussi aux avant-pieds où elles prédominent aux métatarsophalangiennes (MTP). Ces douleurs ont un caractère inflammatoire, avec recrudescence dans la deuxième moitié de la nuit. Elles s'accompagnent d'un enraidissement matinal plus ou moins prolongé. L'arthrite des IPP cause un gonflement des doigts en fuseau. Aux mains, l'atteinte prédomine souvent aux 2° et 3° MCP, aux pieds aux 4° et 5° MTP.
Aux arthrites sont souvent associées des ténosynovites des tendons extenseurs, du tendon du cubital postérieur ou des fléchisseurs des doigts, des tendons des péroniers, du jambier antérieur ou postérieur. Ces ténosynovites peuvent être inaugurales et responsables de syndromes canalaires : syndrome du canal carpien ou du tunnel tarsien.
• Moins typiques sont les formes :
- polyarthralgiques pures, tenaces, acroméliques avec enraidissement matinal mais sans gonflement articulaire.
- les formes oligoarthritiques ou monoarthritiques, en particulier du genou.
- les formes à début rhizomélique, plus fréquentes chez le sujet agé, avec douleurs de type inflammatoires, prédominant aux épaules, posant le problème du diagnostic différentiel avec une PPR (pseudo polyarthrite rhizomélique).
4.1.1.2 - signes radiologiques :
Trois clichés radiographiques sont utiles à ce stade de début : les mains de face, les avant-pieds de face et le bassin. Les radiographies à ce stade sont normales ou tout au plus montrent une déminéralisation épiphysaire en bande. La radiographie des avant-pieds montrent parfois précocément une érosion de la tête du 5° métatarsien. La radiographie du bassin, par la normalité des articulations sacro-iliaques, élimine le diagnostic de spondylarhrite ankylosante.
Sémiologie clinique et radiologique des articulations pour le diagnostic rhumatologique [texte imprimé] / Jacques Arlet (1920-....), Auteur . - Paris : Éditions Marketing, 1984 . - 127 p.
ISBN : 2-7298-5033-3
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Arthrographie Amplitude articulaire inflammatoires radiographiques Index. décimale : 610- Sciences médicales Résumé : La PR est un rhumatisme inflammatoire de la femme jeune, réalisant une atteinte acromélique à tendance symétrique, évoluant par poussées, permettant de décrire des formes de début, des formes avérées et des formes anciennes et séquellaires.
4.1.1 - La PR au début :
4.1.1.1 - signes cliniques :
• dans sa forme typique, c'est une polyarthrite acromélique touchant les mains et les pieds, mais respectant les articulations inter-phalangiennes distales (IPD). Elle a une nette tendance à la symétrie.
Les douleurs siègent aux poignets, aux métacarpo-phalangiennes (MCP) et aux interphalangiennes proximales (IPP) mais aussi aux avant-pieds où elles prédominent aux métatarsophalangiennes (MTP). Ces douleurs ont un caractère inflammatoire, avec recrudescence dans la deuxième moitié de la nuit. Elles s'accompagnent d'un enraidissement matinal plus ou moins prolongé. L'arthrite des IPP cause un gonflement des doigts en fuseau. Aux mains, l'atteinte prédomine souvent aux 2° et 3° MCP, aux pieds aux 4° et 5° MTP.
Aux arthrites sont souvent associées des ténosynovites des tendons extenseurs, du tendon du cubital postérieur ou des fléchisseurs des doigts, des tendons des péroniers, du jambier antérieur ou postérieur. Ces ténosynovites peuvent être inaugurales et responsables de syndromes canalaires : syndrome du canal carpien ou du tunnel tarsien.
• Moins typiques sont les formes :
- polyarthralgiques pures, tenaces, acroméliques avec enraidissement matinal mais sans gonflement articulaire.
- les formes oligoarthritiques ou monoarthritiques, en particulier du genou.
- les formes à début rhizomélique, plus fréquentes chez le sujet agé, avec douleurs de type inflammatoires, prédominant aux épaules, posant le problème du diagnostic différentiel avec une PPR (pseudo polyarthrite rhizomélique).
4.1.1.2 - signes radiologiques :
Trois clichés radiographiques sont utiles à ce stade de début : les mains de face, les avant-pieds de face et le bassin. Les radiographies à ce stade sont normales ou tout au plus montrent une déminéralisation épiphysaire en bande. La radiographie des avant-pieds montrent parfois précocément une érosion de la tête du 5° métatarsien. La radiographie du bassin, par la normalité des articulations sacro-iliaques, élimine le diagnostic de spondylarhrite ankylosante.
Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-5225 610-65.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine/Biologie/Biochimie Exclu du prêt EPSE-6658 610-65.2 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine/Biologie/Biochimie Disponible