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Le Genou traumatique
Titre : Le Genou traumatique : entorses graves, fractures Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Mansat, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Henri Jaeger, Directeur de publication, rédacteur en chef ; François Bonnel (1941-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Masson Année de publication : 1989 Importance : VII-318 p. Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-225-81770-7 Prix : 350 F Note générale : Bibliogr. p. 309-316. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : Genou Lésions et blessures fractures de fatigue lésions osseuses ligamentaires ou méniscales tendinage Index. décimale : 610- Sciences médicales Résumé : La traumatologie du genou regroupe des lésions osseuses, ligamentaires et tendineuses :
simples ou complexes
isolées ou associées
A l’origine de diagnostics lésionnels pouvant être imprécis, de traitements souvent mal codifiés et de séquelles parfois importantes.
Parmi tous ces traumatismes, les entorses (atteintes ligamentaires) sont les plus fréquentes.
Nous étudierons ici :
la démarche diagnostique cohérente devant un traumatisme du genou
les principes thérapeutiques, et dans le cas des techniques chirurgicales les différents traitements en insistant sur les indications et les complications
les solutions pour les séquelles (raideur et instabilité)
Stratégie à tenir face à un traumatisme du genou
analyse du mécanisme (compression axiale, choc direct, choc indirect ou torsion, contraction musculaire violente contrariée) et précision des signes fonctionnels immédiats (douleur, craquement, blocage, instabilité, gonflement)
bilan clinique adapté à l’impotence fonctionnelle
lbilan radiologique de débrouillage (face + profil + fémoro-patellaire à 30°)
Parfois néanmoins, le bilan radiologique est normal et l’examen clinique peu contributif (coma, polytraumatisme, testing difficile compte-tenu de la douleur). Deux situations se présentent alors :
soit il existe des signes de gravité (déformation, gonflement articulaire immédiat, laxité, déficit d’extension active) et la nécessité d’un diagnostic lésionnel précis pour guider le traitement impose rapidement une imagerie (TDM et/ou IRM) si elle est accessible ou à défaut un bilan sous anesthésie (testing et/ou arthroscopie)
soit il n’existe pas de signes de gravité formels et il est alors préférable de mettre au repos l’articulation tout en programmant à 8/10 jours un nouvel examen clinique chez l'Orthopédiste
Au terme de cette analyse, on retrouve 3 types de diagnostics: les faciles, les possibles, les difficiles :
les diagnostics faciles (fractures déplacées, luxations non réduites) : il s’agit par ordre de fréquence des fractures de l’extrémité supérieure du tibia, des fractures de l’extrémité inférieure du fémur, des fractures de rotule, des luxations fémoro-patellaires, des luxations fémoro-tibiales et des rares luxations péronéo-tibiales supérieures
les diagnostics possibles (risque de retard diagnostic et de traitement secondaire aléatoire) : on y retrouve les fractures non déplacées (plateaux, condyles), les arrachements osseux (signant une rupture du pivot central), les luxations spontanément réduites, les ruptures tendineuses (tendon rotulien, tendon quadricipital) et les entorses graves pluri-ligamentaires pour lesquelles les indications thérapeutiques découlent d’un diagnostic lésionnel précis souvent incomplet sans bilan sous anesthésie (testing sous anesthésie et clichés en stress)
les diagnostics difficiles où la constatation d’une hémarthrose (épanchement de sang) sur un genou non démonstratif cliniquement et normal radiologiquement doit faire rechercher une fracture ostéo-chondrale (du cartilage), une désinsertion d'un ménisque ou une lésion ligamentaire isolée (LCA, LCP, points d’angles). Dans ces formes, il est préférable de proposer un bilan sous anesthésie (pouvant éventuellement conduire à un geste chirurgical) plutôt que d’opter pour une immobilisation de principe, parfois prolongée en l’absence d’avis spécialisé ou d’imagerie fiable
L'imagerie bénéficie aujourd'hui de l’apport considérable des techniques modernes (scanner multibarettes, IRM, échographie).Elle permet actuellement de faire face à quasiment toutes les situations et parfois même de planifier le geste chirurgical.
Pour les lésions osseuses, le scanner constitue désormais le meilleur moyen d’imagerie car il permet, notamment grâce aux reconstructions, de définir les traits de fractures et leurs extensions intra-articulaires éventuelles, de rechercher les petits déplacements, de détecter les fragments intra-articulaires, ces informations pouvant être complétées par un bilan IRM pour les lésions associées (ligamentaires, ostéochondrales, méniscales).
Pour les lésions ligamentaires, l’IRM permet de faire le diagnostic en montrant, selon l’importance des lésions une infiltration oedémateuse, un épaississement global, une rupture et son siège ou de simples remaniements cicatriciels. Cet examen a surtout l’avantage de retrouver un certain nombre de lésions associées ou de modifications anatomiques accompagnant l’atteinte ligamentaire (fractures méconnues, fractures ostéochondrales, contusions osseuses, lésions méniscales) pouvant moduler le traitement.
Pour les lésions tendineuses, le diagnostic est avant tout clinique (tendinopathie rotulienne ou quadricipitale, rompue ou non). Cependant, lorsque les conséquences de l’atteinte de l’atteinte mérite d’être étudiée ou lorsque le tableau clinique est atypique (syndrome de la bandelette ilio-tibiale, tendinopathie de la patte d’oie, du biceps fémoral ou des jumeaux), le recours aux techniques d’imagerie (échographie, IRM) peut être nécessaire, permettant d’affirmer la lésion et d’éliminer les diagnostics différentiels (fractures de fatigue, lésions osseuses, ligamentaires ou méniscales de voisinage).Le Genou traumatique : entorses graves, fractures [texte imprimé] / Christian Mansat, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Henri Jaeger, Directeur de publication, rédacteur en chef ; François Bonnel (1941-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Masson, 1989 . - VII-318 p. : ill. ; 24 cm.
ISBN : 2-225-81770-7 : 350 F
Bibliogr. p. 309-316. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Genou Lésions et blessures fractures de fatigue lésions osseuses ligamentaires ou méniscales tendinage Index. décimale : 610- Sciences médicales Résumé : La traumatologie du genou regroupe des lésions osseuses, ligamentaires et tendineuses :
simples ou complexes
isolées ou associées
A l’origine de diagnostics lésionnels pouvant être imprécis, de traitements souvent mal codifiés et de séquelles parfois importantes.
Parmi tous ces traumatismes, les entorses (atteintes ligamentaires) sont les plus fréquentes.
Nous étudierons ici :
la démarche diagnostique cohérente devant un traumatisme du genou
les principes thérapeutiques, et dans le cas des techniques chirurgicales les différents traitements en insistant sur les indications et les complications
les solutions pour les séquelles (raideur et instabilité)
Stratégie à tenir face à un traumatisme du genou
analyse du mécanisme (compression axiale, choc direct, choc indirect ou torsion, contraction musculaire violente contrariée) et précision des signes fonctionnels immédiats (douleur, craquement, blocage, instabilité, gonflement)
bilan clinique adapté à l’impotence fonctionnelle
lbilan radiologique de débrouillage (face + profil + fémoro-patellaire à 30°)
Parfois néanmoins, le bilan radiologique est normal et l’examen clinique peu contributif (coma, polytraumatisme, testing difficile compte-tenu de la douleur). Deux situations se présentent alors :
soit il existe des signes de gravité (déformation, gonflement articulaire immédiat, laxité, déficit d’extension active) et la nécessité d’un diagnostic lésionnel précis pour guider le traitement impose rapidement une imagerie (TDM et/ou IRM) si elle est accessible ou à défaut un bilan sous anesthésie (testing et/ou arthroscopie)
soit il n’existe pas de signes de gravité formels et il est alors préférable de mettre au repos l’articulation tout en programmant à 8/10 jours un nouvel examen clinique chez l'Orthopédiste
Au terme de cette analyse, on retrouve 3 types de diagnostics: les faciles, les possibles, les difficiles :
les diagnostics faciles (fractures déplacées, luxations non réduites) : il s’agit par ordre de fréquence des fractures de l’extrémité supérieure du tibia, des fractures de l’extrémité inférieure du fémur, des fractures de rotule, des luxations fémoro-patellaires, des luxations fémoro-tibiales et des rares luxations péronéo-tibiales supérieures
les diagnostics possibles (risque de retard diagnostic et de traitement secondaire aléatoire) : on y retrouve les fractures non déplacées (plateaux, condyles), les arrachements osseux (signant une rupture du pivot central), les luxations spontanément réduites, les ruptures tendineuses (tendon rotulien, tendon quadricipital) et les entorses graves pluri-ligamentaires pour lesquelles les indications thérapeutiques découlent d’un diagnostic lésionnel précis souvent incomplet sans bilan sous anesthésie (testing sous anesthésie et clichés en stress)
les diagnostics difficiles où la constatation d’une hémarthrose (épanchement de sang) sur un genou non démonstratif cliniquement et normal radiologiquement doit faire rechercher une fracture ostéo-chondrale (du cartilage), une désinsertion d'un ménisque ou une lésion ligamentaire isolée (LCA, LCP, points d’angles). Dans ces formes, il est préférable de proposer un bilan sous anesthésie (pouvant éventuellement conduire à un geste chirurgical) plutôt que d’opter pour une immobilisation de principe, parfois prolongée en l’absence d’avis spécialisé ou d’imagerie fiable
L'imagerie bénéficie aujourd'hui de l’apport considérable des techniques modernes (scanner multibarettes, IRM, échographie).Elle permet actuellement de faire face à quasiment toutes les situations et parfois même de planifier le geste chirurgical.
Pour les lésions osseuses, le scanner constitue désormais le meilleur moyen d’imagerie car il permet, notamment grâce aux reconstructions, de définir les traits de fractures et leurs extensions intra-articulaires éventuelles, de rechercher les petits déplacements, de détecter les fragments intra-articulaires, ces informations pouvant être complétées par un bilan IRM pour les lésions associées (ligamentaires, ostéochondrales, méniscales).
Pour les lésions ligamentaires, l’IRM permet de faire le diagnostic en montrant, selon l’importance des lésions une infiltration oedémateuse, un épaississement global, une rupture et son siège ou de simples remaniements cicatriciels. Cet examen a surtout l’avantage de retrouver un certain nombre de lésions associées ou de modifications anatomiques accompagnant l’atteinte ligamentaire (fractures méconnues, fractures ostéochondrales, contusions osseuses, lésions méniscales) pouvant moduler le traitement.
Pour les lésions tendineuses, le diagnostic est avant tout clinique (tendinopathie rotulienne ou quadricipitale, rompue ou non). Cependant, lorsque les conséquences de l’atteinte de l’atteinte mérite d’être étudiée ou lorsque le tableau clinique est atypique (syndrome de la bandelette ilio-tibiale, tendinopathie de la patte d’oie, du biceps fémoral ou des jumeaux), le recours aux techniques d’imagerie (échographie, IRM) peut être nécessaire, permettant d’affirmer la lésion et d’éliminer les diagnostics différentiels (fractures de fatigue, lésions osseuses, ligamentaires ou méniscales de voisinage).Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-5721 610-263.1 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine/Biologie/Biochimie Exclu du prêt L'Entraînement sportif des enfants / Erwin Hahn
Titre : L'Entraînement sportif des enfants : problèmes, théorie de l'entraînement et pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwin Hahn, Auteur ; Michel Portmann (1941-....), Traducteur Editeur : Paris : Vigot Année de publication : 1987 Collection : Collection Sport + enseignement, ISSN 0339-2015 num. 106 Importance : 166 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7114-1012-5 Prix : 145 F Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Mots-clés : Entraînement sportif enfant théories pratiques problèmes LE SURENTRAÎNEMENT DE L'ENFANT retard de croissance fractures de fatigue tendinites maladies infectieuses Index. décimale : 796.7- Entraînement sportif Résumé : Ils encadrent impérativement chaque entraînement et chaque compétition.
L’échauffement prépare l’organisme à l’effort. Le système cardiorespiratoire augmente son rythme pour faire face à la demande accrue en oxygène et en nutriments des muscles. L’augmentation progressive de la température permet un meilleur fonctionnement de la musculature. Par ailleurs, l’échauffement permet de ne pas solliciter à froid les tendons et les articulations avec les risques de traumatisme que cela entraînerait.
La récupération se déroule en plusieurs étapes. À la fin de l’entraînement, l’enfant doit effectuer une phase de récupération active qui permet à son organisme de retrouver plus vite un fonctionnement normal. Les étirements qui accompagnent la récupération permettent aux muscles et aux tendons de se détendre, ce qui minimise les risques de courbature. La récupération signifie également une reconstitution des réserves en eau, sels minéraux et énergie. Enfin, le sommeil joue un rôle essentiel dans la récupération (voir encadré).
Pour que l’enfant puisse récupérer, les séances d’entraînements hebdomadaires ne doivent pas dépasser les capacités de chaque tranche d’âge. Pour ne pas dépasser ses limites, un enfant de 8 ans ne doit pas s’entraîner plus de 4 à 6 heures par semaine (heures d’éducation physique scolaire comprises), pas plus de 6 à 8 heures à 12 ans et pas plus de 8 à 10 heures à 14 ans. Ces indications sont à adapter en fonction de l’intensité de l’activité sportive.
Le sommeil de l'enfant sportif
Le sommeil est essentiel pour le bon développement d’un enfant. Il a un rôle réparateur. Pendant le sommeil, les expériences de la journée sont analysées et mémorisées. Certaines hormones, et notamment l’hormone de croissance, sont produites pendant le sommeil. Si le sport apporte une fatigue supplémentaire mais raisonnable, celle-ci entraîne habituellement un sommeil profond et de qualité.
En moyenne, un enfant de 5-6 ans doit dormir 10 à 12 heures par nuit (8 à 10 heures à 8-9 ans). Quelques règles de base sont à respecter : maintenir la régularité des horaires de sommeil, éviter de se coucher tard, garder l'habitude de la sieste le plus longtemps possible, éviter les exercices stimulants avant d'aller au lit, notamment les entraînements nocturnes.
ÉVITER LE SURENTRAÎNEMENT DE L'ENFANT
Chez l’enfant comme chez l’adulte, les conséquences négatives d’un entraînement excessif sont multiples : retard de croissance, fractures de fatigue, tendinites, maladies infectieuses. Autre conséquence néfaste, la fatigue chronique aboutit à une baisse des performances, de la motivation et peut même être à l’origine d’un épisode dépressif.
Les parents d’un enfant sportif doivent être attentifs à un soudain manque d’intérêt pour ses activités préférées, une irritabilité, des insomnies, des difficultés scolaires, etc. Un surentraînement peut se cacher derrière ces signes.
Les enfants ont tendance à ne pas savoir exprimer leur douleur (lorsqu’ils sont petits) et à ne pas y faire attention (lorsqu’ils sont plus grands). Il faut apprendre aux jeunes sportifs à faire attention aux messages d’alerte de leur corps (fatigue, douleur, gêne, etc.) pour éviter les problèmes de santé.L'Entraînement sportif des enfants : problèmes, théorie de l'entraînement et pratique [texte imprimé] / Erwin Hahn, Auteur ; Michel Portmann (1941-....), Traducteur . - Paris : Vigot, 1987 . - 166 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Collection Sport + enseignement, ISSN 0339-2015; 106) .
ISBN : 978-2-7114-1012-5 : 145 F
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Mots-clés : Entraînement sportif enfant théories pratiques problèmes LE SURENTRAÎNEMENT DE L'ENFANT retard de croissance fractures de fatigue tendinites maladies infectieuses Index. décimale : 796.7- Entraînement sportif Résumé : Ils encadrent impérativement chaque entraînement et chaque compétition.
L’échauffement prépare l’organisme à l’effort. Le système cardiorespiratoire augmente son rythme pour faire face à la demande accrue en oxygène et en nutriments des muscles. L’augmentation progressive de la température permet un meilleur fonctionnement de la musculature. Par ailleurs, l’échauffement permet de ne pas solliciter à froid les tendons et les articulations avec les risques de traumatisme que cela entraînerait.
La récupération se déroule en plusieurs étapes. À la fin de l’entraînement, l’enfant doit effectuer une phase de récupération active qui permet à son organisme de retrouver plus vite un fonctionnement normal. Les étirements qui accompagnent la récupération permettent aux muscles et aux tendons de se détendre, ce qui minimise les risques de courbature. La récupération signifie également une reconstitution des réserves en eau, sels minéraux et énergie. Enfin, le sommeil joue un rôle essentiel dans la récupération (voir encadré).
Pour que l’enfant puisse récupérer, les séances d’entraînements hebdomadaires ne doivent pas dépasser les capacités de chaque tranche d’âge. Pour ne pas dépasser ses limites, un enfant de 8 ans ne doit pas s’entraîner plus de 4 à 6 heures par semaine (heures d’éducation physique scolaire comprises), pas plus de 6 à 8 heures à 12 ans et pas plus de 8 à 10 heures à 14 ans. Ces indications sont à adapter en fonction de l’intensité de l’activité sportive.
Le sommeil de l'enfant sportif
Le sommeil est essentiel pour le bon développement d’un enfant. Il a un rôle réparateur. Pendant le sommeil, les expériences de la journée sont analysées et mémorisées. Certaines hormones, et notamment l’hormone de croissance, sont produites pendant le sommeil. Si le sport apporte une fatigue supplémentaire mais raisonnable, celle-ci entraîne habituellement un sommeil profond et de qualité.
En moyenne, un enfant de 5-6 ans doit dormir 10 à 12 heures par nuit (8 à 10 heures à 8-9 ans). Quelques règles de base sont à respecter : maintenir la régularité des horaires de sommeil, éviter de se coucher tard, garder l'habitude de la sieste le plus longtemps possible, éviter les exercices stimulants avant d'aller au lit, notamment les entraînements nocturnes.
ÉVITER LE SURENTRAÎNEMENT DE L'ENFANT
Chez l’enfant comme chez l’adulte, les conséquences négatives d’un entraînement excessif sont multiples : retard de croissance, fractures de fatigue, tendinites, maladies infectieuses. Autre conséquence néfaste, la fatigue chronique aboutit à une baisse des performances, de la motivation et peut même être à l’origine d’un épisode dépressif.
Les parents d’un enfant sportif doivent être attentifs à un soudain manque d’intérêt pour ses activités préférées, une irritabilité, des insomnies, des difficultés scolaires, etc. Un surentraînement peut se cacher derrière ces signes.
Les enfants ont tendance à ne pas savoir exprimer leur douleur (lorsqu’ils sont petits) et à ne pas y faire attention (lorsqu’ils sont plus grands). Il faut apprendre aux jeunes sportifs à faire attention aux messages d’alerte de leur corps (fatigue, douleur, gêne, etc.) pour éviter les problèmes de santé.Réservation
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Exemplaires (5)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-22988/1 796.7-117.01 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Entraînement/Enseignement sportif Exclu du prêt EPSE-22988/2 796.7-117.02 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Entraînement/Enseignement sportif Disponible EPSE-22988/3 796.7-117.03 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Entraînement/Enseignement sportif Disponible EPSE-22988/4 796.7-117.04 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Entraînement/Enseignement sportif Disponible EPSE-22988/5 796.7-117.05 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Entraînement/Enseignement sportif Disponible