Titre : |
Bases physiologiques de l'activité physique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Donald K. Mathews, Auteur ; Edward L. Fox (1938-1983), Auteur ; François Péronnet, Traducteur |
Editeur : |
Montréal : Décarie |
Année de publication : |
1984 |
Autre Editeur : |
Paris : Vigot |
Importance : |
404 p. |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
26 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-89137-016-5 |
Prix : |
250 F |
Note générale : |
Notes bibliogr. . Index |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Muscles Physiologie Éducation physique et sportive Aspect physiologique Médecine du sport |
Index. décimale : |
612.4- Physiologie du sport |
Résumé : |
L’hypothèse du syndrome du déconditionnement physique comme un facteur majeur prédisposant à la douleur chronique est la prémisse principale des programmes d’exercices physiques et des initiatives de recommandations de pratique d’activités physiques. Le déconditionnement physique est à la fois considéré comme la cause de l’émergence de la douleur chronique et la conséquence à long terme de la présence de la douleur chronique.
En physiologie de l’exercice, le déconditionnement physique se définit souvent comme étant une réduction progressive de la capacité aérobie (VO2 max) ou de la consommation maximale d’oxygène
l’autres paramètres sont également utilisés pour caractériser l’état de déconditionnement physique tels l’adiposité, l’endurance et la fatigabilité musculaire locale (ex. : lombaire) ou globale, et la force musculaire
Cependant, cette définition est nettement limitative dans le cadre du phénomène de la douleur chronique, qui implique des interactions complexes entre les aspects physiologiques, psychologiques et socioenvironnementaux. Il est fondamental pour le clinicien (et le patient) de comprendre ces interrelations, particulièrement lorsque l’on aborde l’activité ou l’exercice physique comme modalité de prévention ou de traitement de la douleur chronique.
3La pratique régulière d’activités physiques est un comportement. Par conséquent, la prescription d’activités physiques, comme modalité de traitement ou de gestion de la douleur chronique, doit être planifiée et administrée en considérant les facteurs physiologiques (réponses aiguës, adaptations chroniques, dose-réponse) et les déterminants psychosociaux, de façon à optimiser l’adhérence à long terme au traitement, c.-à-d. un comportement actif. |
Bases physiologiques de l'activité physique [texte imprimé] / Donald K. Mathews, Auteur ; Edward L. Fox (1938-1983), Auteur ; François Péronnet, Traducteur . - Montréal : Décarie : Paris : Vigot, 1984 . - 404 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 26 cm. ISBN : 978-2-89137-016-5 : 250 F Notes bibliogr. . Index Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Muscles Physiologie Éducation physique et sportive Aspect physiologique Médecine du sport |
Index. décimale : |
612.4- Physiologie du sport |
Résumé : |
L’hypothèse du syndrome du déconditionnement physique comme un facteur majeur prédisposant à la douleur chronique est la prémisse principale des programmes d’exercices physiques et des initiatives de recommandations de pratique d’activités physiques. Le déconditionnement physique est à la fois considéré comme la cause de l’émergence de la douleur chronique et la conséquence à long terme de la présence de la douleur chronique.
En physiologie de l’exercice, le déconditionnement physique se définit souvent comme étant une réduction progressive de la capacité aérobie (VO2 max) ou de la consommation maximale d’oxygène
l’autres paramètres sont également utilisés pour caractériser l’état de déconditionnement physique tels l’adiposité, l’endurance et la fatigabilité musculaire locale (ex. : lombaire) ou globale, et la force musculaire
Cependant, cette définition est nettement limitative dans le cadre du phénomène de la douleur chronique, qui implique des interactions complexes entre les aspects physiologiques, psychologiques et socioenvironnementaux. Il est fondamental pour le clinicien (et le patient) de comprendre ces interrelations, particulièrement lorsque l’on aborde l’activité ou l’exercice physique comme modalité de prévention ou de traitement de la douleur chronique.
3La pratique régulière d’activités physiques est un comportement. Par conséquent, la prescription d’activités physiques, comme modalité de traitement ou de gestion de la douleur chronique, doit être planifiée et administrée en considérant les facteurs physiologiques (réponses aiguës, adaptations chroniques, dose-réponse) et les déterminants psychosociaux, de façon à optimiser l’adhérence à long terme au traitement, c.-à-d. un comportement actif. |
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