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Chez nous
Titre : Chez nous : identités et territoires dans les mondes contemporains Type de document : texte imprimé Auteurs : Alessia de Biase (1970-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Cristina Rossi (1965-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Marc Augé (1935-....), Préfacier, etc. ; Laboratoire Architecture et anthropologie, Editeur scientifique Editeur : Paris : Éd. de la Villette Année de publication : DL 2006 Collection : Études-recherches (Paris), ISSN 1281-6329 Importance : 1 vol. (319 p.) Présentation : ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-915456-16-X Prix : 12 EUR Note générale : Éditeur : La Villette (7 juin 2006)
Langue : Français
Broché : 320 pages
ISBN-10 : 291545616X
ISBN-13 : 978-2915456165
Poids de l'article : 440 g
Dimensions : 15.2 x 2 x 20.7 cmLangues : Français (fre) Mots-clés : territoires architectes Index. décimale : 710 Urbanism Résumé : L'idéologie mondialiste voudrait que, tôt ou tard, nul n'échappe à habiter de la même manière, à satisfaire des besoins identiques et à construire des villes similaires.
Or, sous réserve d'y prêter quelque attention, les vécus et représentations s'avèrent bien plus complexes. Mieux ils résistent à l'homogénéisation rampante.
C'est «un changement d'échelle qui rend, précise Marc Augé, très difficile l'analyse, l'interprétation de l'histoire et même le comportement». Ainsi s'explique le dilemme contemporain : des territoires différentes préfigurent-ils des identités distinctes, et réciproquement des identités distinctes appellent-elles des territoires spécifiques ?
Interrogeant le monde ou des contrées imaginaires, dans une approche volontairement interdisciplinaire, architectes, anthropologues, géographes, urbanistes, sociologues et politologues ont réfléchi aux relations entre identités et territoires, en scrutant leurs effets sur l'architecture et l'urbanisme, sur la notion de frontières matérielles et symboliques ou, plus généralement, sur la conception d'un «chez nous» se déclinant à plusieurs échelles sociales et géographiques.
Malgré certains constats d'uniformisation, ou d'ethnicisation, ces travaux laissent émerger une intelligence humaine, assez rusée pour fuir les extrêmes et penser le «chez nous» de manière plurielle, flexible et contextuelle.
Idéalement, on pourrait définir le lieu comme la fusion entre les notions de territoire et d'identité. On pourrait lire l'identité de chacun en fonction de sa résidence, des types de relations qui peuvent exister entre les uns et les autres dans un certain espace ou, autrement dit, en fonction de ce que les individus partagent, par exemple une histoire, une religion, éventuellement des monuments. À ce type d'espace, on peut opposer les non-lieux, qu'on définirait comme des espaces où ne se lit pas immédiatement ni une identité, ni des relations, ni des symboles partagés (Augé, 1992). Dans cette perspective, une autoroute, un supermarché ou un aéroport, par exemple, ne sont pas des lieux au même titre qu'un petit village. Si nous mesurons l'espace ainsi que nous venons de le faire - c'est-à-dire en termes de relations sociales et de capacité de symbolisation -, nous sommes pourtant tout de suite obligés de relativiser les choses, car les individus qui fréquentent un même espace n'entretiennent pas forcément la même relation avec celui-ci : ce n'est ainsi pas la même chose de passer dans un aéroport pour prendre un avion et d'y travailler tous les jours en y partageant la vie quotidienne avec ses collègues.
Les notions de lieu et de non-lieu s'avèrent donc relatives. En outre, comme le rappelle Ruben Oliven (Cf p. 308), les espaces peuvent changer en fonction des temps et des utilisations qu'on en fait : dans les campagnes françaises, par exemple, les jeunes gens se donnent souvent rendez-vous dans des hypermarchés, qui sont à distance égale de leur villages et qui offrent des lieux de rencontre et de distraction. Si les grandes surfaces deviennent des lieux de rencontre, alors on ne peut pas les définir de façon uniquement négative en termes socio-symboliques.Note de contenu : Textes issus des journées d'étude "Les territoires construisent-ils les identités ou les identités construisent-elles les territoires", organisées par le Laboratoire architecture-anthropologie à Paris, École nationale supérieure d'architecture de Paris la Villette, 20-21-22 mars 2003. La couv. porte en plus le titre de la préface de Marc Augé : "La planète comme territoire, un défi pour les architectes"
Notes bibliogr.Chez nous : identités et territoires dans les mondes contemporains [texte imprimé] / Alessia de Biase (1970-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Cristina Rossi (1965-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Marc Augé (1935-....), Préfacier, etc. ; Laboratoire Architecture et anthropologie, Editeur scientifique . - Paris : Éd. de la Villette, DL 2006 . - 1 vol. (319 p.) : ill. ; 21 cm. - (Études-recherches (Paris), ISSN 1281-6329) .
ISBN : 2-915456-16-X : 12 EUR
Éditeur : La Villette (7 juin 2006)
Langue : Français
Broché : 320 pages
ISBN-10 : 291545616X
ISBN-13 : 978-2915456165
Poids de l'article : 440 g
Dimensions : 15.2 x 2 x 20.7 cm
Langues : Français (fre)
Mots-clés : territoires architectes Index. décimale : 710 Urbanism Résumé : L'idéologie mondialiste voudrait que, tôt ou tard, nul n'échappe à habiter de la même manière, à satisfaire des besoins identiques et à construire des villes similaires.
Or, sous réserve d'y prêter quelque attention, les vécus et représentations s'avèrent bien plus complexes. Mieux ils résistent à l'homogénéisation rampante.
C'est «un changement d'échelle qui rend, précise Marc Augé, très difficile l'analyse, l'interprétation de l'histoire et même le comportement». Ainsi s'explique le dilemme contemporain : des territoires différentes préfigurent-ils des identités distinctes, et réciproquement des identités distinctes appellent-elles des territoires spécifiques ?
Interrogeant le monde ou des contrées imaginaires, dans une approche volontairement interdisciplinaire, architectes, anthropologues, géographes, urbanistes, sociologues et politologues ont réfléchi aux relations entre identités et territoires, en scrutant leurs effets sur l'architecture et l'urbanisme, sur la notion de frontières matérielles et symboliques ou, plus généralement, sur la conception d'un «chez nous» se déclinant à plusieurs échelles sociales et géographiques.
Malgré certains constats d'uniformisation, ou d'ethnicisation, ces travaux laissent émerger une intelligence humaine, assez rusée pour fuir les extrêmes et penser le «chez nous» de manière plurielle, flexible et contextuelle.
Idéalement, on pourrait définir le lieu comme la fusion entre les notions de territoire et d'identité. On pourrait lire l'identité de chacun en fonction de sa résidence, des types de relations qui peuvent exister entre les uns et les autres dans un certain espace ou, autrement dit, en fonction de ce que les individus partagent, par exemple une histoire, une religion, éventuellement des monuments. À ce type d'espace, on peut opposer les non-lieux, qu'on définirait comme des espaces où ne se lit pas immédiatement ni une identité, ni des relations, ni des symboles partagés (Augé, 1992). Dans cette perspective, une autoroute, un supermarché ou un aéroport, par exemple, ne sont pas des lieux au même titre qu'un petit village. Si nous mesurons l'espace ainsi que nous venons de le faire - c'est-à-dire en termes de relations sociales et de capacité de symbolisation -, nous sommes pourtant tout de suite obligés de relativiser les choses, car les individus qui fréquentent un même espace n'entretiennent pas forcément la même relation avec celui-ci : ce n'est ainsi pas la même chose de passer dans un aéroport pour prendre un avion et d'y travailler tous les jours en y partageant la vie quotidienne avec ses collègues.
Les notions de lieu et de non-lieu s'avèrent donc relatives. En outre, comme le rappelle Ruben Oliven (Cf p. 308), les espaces peuvent changer en fonction des temps et des utilisations qu'on en fait : dans les campagnes françaises, par exemple, les jeunes gens se donnent souvent rendez-vous dans des hypermarchés, qui sont à distance égale de leur villages et qui offrent des lieux de rencontre et de distraction. Si les grandes surfaces deviennent des lieux de rencontre, alors on ne peut pas les définir de façon uniquement négative en termes socio-symboliques.Note de contenu : Textes issus des journées d'étude "Les territoires construisent-ils les identités ou les identités construisent-elles les territoires", organisées par le Laboratoire architecture-anthropologie à Paris, École nationale supérieure d'architecture de Paris la Villette, 20-21-22 mars 2003. La couv. porte en plus le titre de la préface de Marc Augé : "La planète comme territoire, un défi pour les architectes"
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité ST18167 710/132.1 Ouvrage Faculté des Sciences et de la Technologie 700 - Arts, Loisirs et Sports Exclu du prêt ST18168 710/132.2 Ouvrage Faculté des Sciences et de la Technologie 700 - Arts, Loisirs et Sports Disponible Transmettre en architecture / Fran?coise Arnold
Titre : Transmettre en architecture : de l'hÐeritage de Le Corbusier Æa l'enseignement de Henri Ciriani / Type de document : texte imprimé Auteurs : Fran?coise Arnold ; Daniel Cling Editeur : Paris : Moniteur Année de publication : 2002 Collection : Collection Architextes num. 12 Importance : 246 p. Présentation : ill. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-281-19153-0 Mots-clés : architecture architectes le corbuisier Résumé : Le Réseau des Maisons de l’Architecture à l’initiative de ce colloque, en publie aujourd’hui les
actes.
Ils démontrent combien sont profonds l’intérêt, la motivation et la compétence que portent les
acteurs de ces actions pédagogiques dans le milieu scolaire en vue de la sensibilisation à
l’architecture ; tant les architectes, les enseignants que les membres d’institutions et associations.
Puissent-ils permettre à ces forces vives de démultiplier leur action en conservant, valorisant et
développant leurs qualités acquises au cours de trente années d’engagement dévoué à la cause
de l’éducation culturelle.1
Lionel Dunet, Président du Réseau des MA, introduit le colloque, en soulignant tout l’intérêt qui
existe à transmettre l’architecture aux enfants. En effet, l’architecture est l’art social par excellence.
Elle abrite toute l’activité humaine et paradoxalement, cet art est peu enseigné en milieu scolaire.
De surcroît, l’objet architectural peut être ressenti comme une violence par la population dans la
mesure où il s’impose dans un paysage urbain.
Enfin, les nouveaux discours des élus prônent la participation active des habitants à leur cadre bâti
alors que ces derniers n’ont pas suffisamment de connaissances pour faire entendre
intelligemment leur voix.
Il rappelle que beaucoup d’actions ont été faites depuis trois décennies. Elles ont obtenu au cours
du temps une pleine reconnaissance. Aujourd’hui, ces travaux se développent activement avec les
CAUE, les Ecoles nationales supérieures d’architecture, les Maisons de l’Architecture, les
institutions, les associations et les structures de diffusion de l’architecture.
Lionel Dunet affirme sa volonté de tendre vers une généralisation de la sensibilisation à
l’architecture, conscient de son enjeu pour la société. Aussi, il souhaite une véritable collaboration
entre les partenaires de ces actions, qui permettra de construire une vision commune d’autant plus
reconnue qu’elle sera collective. La France présente l’avantage d’avoir un réseau de diffusion de
la culture architecturale très structurée. Utilisons cette exception française pour « Transmettre
l’architecture ».
Jean-Louis Violeau, sociologue médiateur, rappelle les questionnements qui avaient émergés lors
du premier séminaire organisé à Grenoble par le Réseau des Maisons de l’Architecture et qui ont
constitué la genèse de ce colloque.Transmettre en architecture : de l'hÐeritage de Le Corbusier Æa l'enseignement de Henri Ciriani / [texte imprimé] / Fran?coise Arnold ; Daniel Cling . - Paris : Moniteur, 2002 . - 246 p. : ill. ; 27 cm. - (Collection Architextes; 12) .
ISBN : 978-2-281-19153-0
Mots-clés : architecture architectes le corbuisier Résumé : Le Réseau des Maisons de l’Architecture à l’initiative de ce colloque, en publie aujourd’hui les
actes.
Ils démontrent combien sont profonds l’intérêt, la motivation et la compétence que portent les
acteurs de ces actions pédagogiques dans le milieu scolaire en vue de la sensibilisation à
l’architecture ; tant les architectes, les enseignants que les membres d’institutions et associations.
Puissent-ils permettre à ces forces vives de démultiplier leur action en conservant, valorisant et
développant leurs qualités acquises au cours de trente années d’engagement dévoué à la cause
de l’éducation culturelle.1
Lionel Dunet, Président du Réseau des MA, introduit le colloque, en soulignant tout l’intérêt qui
existe à transmettre l’architecture aux enfants. En effet, l’architecture est l’art social par excellence.
Elle abrite toute l’activité humaine et paradoxalement, cet art est peu enseigné en milieu scolaire.
De surcroît, l’objet architectural peut être ressenti comme une violence par la population dans la
mesure où il s’impose dans un paysage urbain.
Enfin, les nouveaux discours des élus prônent la participation active des habitants à leur cadre bâti
alors que ces derniers n’ont pas suffisamment de connaissances pour faire entendre
intelligemment leur voix.
Il rappelle que beaucoup d’actions ont été faites depuis trois décennies. Elles ont obtenu au cours
du temps une pleine reconnaissance. Aujourd’hui, ces travaux se développent activement avec les
CAUE, les Ecoles nationales supérieures d’architecture, les Maisons de l’Architecture, les
institutions, les associations et les structures de diffusion de l’architecture.
Lionel Dunet affirme sa volonté de tendre vers une généralisation de la sensibilisation à
l’architecture, conscient de son enjeu pour la société. Aussi, il souhaite une véritable collaboration
entre les partenaires de ces actions, qui permettra de construire une vision commune d’autant plus
reconnue qu’elle sera collective. La France présente l’avantage d’avoir un réseau de diffusion de
la culture architecturale très structurée. Utilisons cette exception française pour « Transmettre
l’architecture ».
Jean-Louis Violeau, sociologue médiateur, rappelle les questionnements qui avaient émergés lors
du premier séminaire organisé à Grenoble par le Réseau des Maisons de l’Architecture et qui ont
constitué la genèse de ce colloque.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité ARCH 304 720-28.1 Ouvrage Faculté des Sciences et de la Technologie (architecture) 700 - Arts, Loisirs et Sports Exclu du prêt