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Heidegger et la pensée à venir / Françoise Dastur
Titre : Heidegger et la pensée à venir Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Dastur, Auteur Editeur : Vrin Année de publication : 2011 Importance : 252 pages Format : 13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7116-2390-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : Heidegger et la pensée à venir Index. décimale : 100 Résumé : De la pensée qui n'est plus métaphysique, Heidegger dit qu'elle est moindre que la philosophie, plus "pauvre" que celle-ci, précisément parce qu'elle ne se tient plus à la hauteur d'une pensée de la fondation et que, loin de pouvoir rendre compte d'elle-même, elle est, dans sa finitude et son essence provisoire, tout entière au service de ce à quoi elle répond, à savoir l'événement même de l'être.
Ce à quoi une telle pensée donne congé, c'est en effet à la structure onto-théo-logique du discours métaphysique de la fondation, au profit de ce que Heidegger nomme, dans son dernier séminaire, une "phénoménologie de l'inapparent". On ne peut guère s'autoriser de cette expression pour arguer, comme on l'a fait déjà bien des fois, d'une dérive vers la poétique ou la mystique de la pensée heideggérienne.
Car cet "inapparent" ne renvoie à aucun "arrière-monde", mais seulement à cette inapparence qui réside en tout apparaître, à cet "être" de l'étant que la "philosophie" au sens traditionnel de ce terme n'est parvenu à penser que sous la figure "étante" du fondement. C'est dire que ce que Heidegger nomme "fin de la philosophie" ne signifie nullement son anéantissement, mais ouvre au contraire la possibilité d'une appropriation plus authentique de ce qui a été en question depuis le départ en elle.
A la fin de la Lettre sur l'humanisme, Heidegger déclarait : "La pensée à venir ne sera plus philosophie, parce qu'elle pensera plus originellement que la métaphysique, mot qui désigne la même chose". C'est de cette pensée plus originelle, telle que Heidegger n'a cessé d'en préparer la venue depuis les années trente, dont il est question dans les essais réunis dans ce recueil.
Sommaire
DE ETRE ET TEMPS A LA PENSEE DE L'EREIGNIS
Le concept heideggérien de monde après Etre et Temps
Espace, lieu, habitation
Le temps chez le dernier Heidegger
UNE AUTRE PENSEE DE L'ETRE DE L'HOMME
La critique heideggérienne de l'anthropologisme
La question de 1'être de l'homme dans l'Introduction à la métaphysique
Modernité, technique, éthique
UNE AUTRE PENSEE DU DIVIN, DU NEANT ET DE L'ETRE
Théologie et philosophie
Situation du nihilisme : la réponse de Heidegger à Jünger
Etre et justice : "La parole d'Anaximandre"
D'UNE PENSEE QUI NE SERAIT PLUS PHILOSOPHIE
Histoire, historialité et Ereignis
La fin de la philosophie et la question de l'autre commencement
Présent, présence et événementHeidegger et la pensée à venir [texte imprimé] / Françoise Dastur, Auteur . - [S.l.] : Vrin, 2011 . - 252 pages ; 13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm.
ISBN : 978-2-7116-2390-7
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Heidegger et la pensée à venir Index. décimale : 100 Résumé : De la pensée qui n'est plus métaphysique, Heidegger dit qu'elle est moindre que la philosophie, plus "pauvre" que celle-ci, précisément parce qu'elle ne se tient plus à la hauteur d'une pensée de la fondation et que, loin de pouvoir rendre compte d'elle-même, elle est, dans sa finitude et son essence provisoire, tout entière au service de ce à quoi elle répond, à savoir l'événement même de l'être.
Ce à quoi une telle pensée donne congé, c'est en effet à la structure onto-théo-logique du discours métaphysique de la fondation, au profit de ce que Heidegger nomme, dans son dernier séminaire, une "phénoménologie de l'inapparent". On ne peut guère s'autoriser de cette expression pour arguer, comme on l'a fait déjà bien des fois, d'une dérive vers la poétique ou la mystique de la pensée heideggérienne.
Car cet "inapparent" ne renvoie à aucun "arrière-monde", mais seulement à cette inapparence qui réside en tout apparaître, à cet "être" de l'étant que la "philosophie" au sens traditionnel de ce terme n'est parvenu à penser que sous la figure "étante" du fondement. C'est dire que ce que Heidegger nomme "fin de la philosophie" ne signifie nullement son anéantissement, mais ouvre au contraire la possibilité d'une appropriation plus authentique de ce qui a été en question depuis le départ en elle.
A la fin de la Lettre sur l'humanisme, Heidegger déclarait : "La pensée à venir ne sera plus philosophie, parce qu'elle pensera plus originellement que la métaphysique, mot qui désigne la même chose". C'est de cette pensée plus originelle, telle que Heidegger n'a cessé d'en préparer la venue depuis les années trente, dont il est question dans les essais réunis dans ce recueil.
Sommaire
DE ETRE ET TEMPS A LA PENSEE DE L'EREIGNIS
Le concept heideggérien de monde après Etre et Temps
Espace, lieu, habitation
Le temps chez le dernier Heidegger
UNE AUTRE PENSEE DE L'ETRE DE L'HOMME
La critique heideggérienne de l'anthropologisme
La question de 1'être de l'homme dans l'Introduction à la métaphysique
Modernité, technique, éthique
UNE AUTRE PENSEE DU DIVIN, DU NEANT ET DE L'ETRE
Théologie et philosophie
Situation du nihilisme : la réponse de Heidegger à Jünger
Etre et justice : "La parole d'Anaximandre"
D'UNE PENSEE QUI NE SERAIT PLUS PHILOSOPHIE
Histoire, historialité et Ereignis
La fin de la philosophie et la question de l'autre commencement
Présent, présence et événementRéservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS29088 100-73.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 100 - Philosophie, Parapsychologie et Occultisme, Psychologie Disponible Heidegger et la question du temps / Françoise Dastur
Titre : Heidegger et la question du temps Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Dastur, Auteur Editeur : Paris : PUF Année de publication : 2011 Importance : 128 pages Format : 11,5 cm × 17,6 cm × 0,9 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-059415-4 Langues : Français (fre) Mots-clés : Heidegger et la question du temps Index. décimale : 100 Résumé : La question que Martin Heidegger a posée à l’ensemble de la tradition occidentale est celle du sens de son concept fondamental, celui de l’être. En révélant que c’est à partir du temps que nous comprenons l’être, il a montré que la philosophie trouve son origine dans l’existence d’un être qui ne peut plus être compris, comme le veut la philosophie moderne depuis Descartes, comme un sujet centré sur lui-même.
La question du temps n’est donc pas pour lui une question philosophique parmi d’autres, mais celle qui seule peut donner accès à ce qui constitue l’humanité comme telle. Ce que Martin Heidegger accomplit en posant la question du rapport de l’être et du temps, c’est cette “ révolution du mode de penser ” que requiert la prise en vue de l’essentielle finitude de l’homme et de l’être. La mise en évidence de l’historialité foncière de la pensée philosophique implique que celle-ci ne puisse plus se définir comme une pure théorie et qu’elle exige un engagement existentiel qui ne la met pas à l’abri de l’erreur.
C’est uniquement à partir d’une telle conception de la pensée que l’on peut comprendre l’engagement politique de Martin Heidegger, ce qui ne signifie nullement l’excuser.
Sommaire
PRESENTATION
LA TEMPORALITE DE L'ETRE EN TANT QUE QUESTION FONDAMENTALE
LA TEMPORALITE DU "DASEIN" ET LA FINITIUDE DU TEMPS
L'INACHEVEMENT DE "ETRE ET TEMPS" ET LA PENSEE DE L'"EREIGNIS"
REMARQUES SUR LA TRADUCTIONS DE CERTAINS TERMESHeidegger et la question du temps [texte imprimé] / Françoise Dastur, Auteur . - Paris : PUF, 2011 . - 128 pages ; 11,5 cm × 17,6 cm × 0,9 cm.
ISBN : 978-2-13-059415-4
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Heidegger et la question du temps Index. décimale : 100 Résumé : La question que Martin Heidegger a posée à l’ensemble de la tradition occidentale est celle du sens de son concept fondamental, celui de l’être. En révélant que c’est à partir du temps que nous comprenons l’être, il a montré que la philosophie trouve son origine dans l’existence d’un être qui ne peut plus être compris, comme le veut la philosophie moderne depuis Descartes, comme un sujet centré sur lui-même.
La question du temps n’est donc pas pour lui une question philosophique parmi d’autres, mais celle qui seule peut donner accès à ce qui constitue l’humanité comme telle. Ce que Martin Heidegger accomplit en posant la question du rapport de l’être et du temps, c’est cette “ révolution du mode de penser ” que requiert la prise en vue de l’essentielle finitude de l’homme et de l’être. La mise en évidence de l’historialité foncière de la pensée philosophique implique que celle-ci ne puisse plus se définir comme une pure théorie et qu’elle exige un engagement existentiel qui ne la met pas à l’abri de l’erreur.
C’est uniquement à partir d’une telle conception de la pensée que l’on peut comprendre l’engagement politique de Martin Heidegger, ce qui ne signifie nullement l’excuser.
Sommaire
PRESENTATION
LA TEMPORALITE DE L'ETRE EN TANT QUE QUESTION FONDAMENTALE
LA TEMPORALITE DU "DASEIN" ET LA FINITIUDE DU TEMPS
L'INACHEVEMENT DE "ETRE ET TEMPS" ET LA PENSEE DE L'"EREIGNIS"
REMARQUES SUR LA TRADUCTIONS DE CERTAINS TERMESRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS29089 100-78.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 100 - Philosophie, Parapsychologie et Occultisme, Psychologie Disponible