Titre : |
spécial souplesse travaux et recherches n 03 novembre 1978 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
ministere de la jenesse des sports et des loisirs, Auteur |
Editeur : |
[Paris] : Institut national du sport et de l'éducation physique (France) |
Année de publication : |
1978 |
Importance : |
94 P |
Format : |
29 CM X20.5 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
les problèmes de la souplesse la physiopathologie de la souplesse le térrain pédagogique les problemes psychophysiologiques |
Index. décimale : |
796.1- Méthodologie de recherche en EPS |
Résumé : |
2. Définition
Souplesse est le terme le plus large qui, en
anglais, correspond à la flexibilité (flexibility)
c'est-à-dire la possibilité de se « plier » facilement. L'assouplissement viserait la suppression des tensions susceptibles de limiter ou
de contrarier le mouvement [1]. Il recouvre
ainsi tous les domaines de l'aspect le plus
mécanique (flexibilité de l'os dans les premiers mois de la vie) à l'aspect le plus psychologique, voire même sociologique à travers
la conception d'une certaine harmonie du
geste (dans le langage courant, ne dit-on pas
aussi d'un bon skieur qu'il skie souplement).
Les phénomènes liés à la souplesse ont des
origines multiples dans l'organisme, ce qui
rend son approche extrêmement difficile.
Actuellement les données scientifiques dont
nous disposons nous amènent à des conclusions partielles suivant le mode d'approche
privilégié et les techniques employées (études
neurophysiologiques, musculaires, effets de
l'étirement sur le tendon, etc.). Elles sont difficiles à confronter avec la réalité de terrain
c'est-à-dire la pratique globale des exercices
d'assouplissement à tous les niveaux (âges,
milieux, objectifs, doses différentes de pratique).
• La souplesse statique est relativement difficile à mesurer par des tests objectifs. En effet
la performance dans le test de la flexion avant
du tronc en position debout ne provient pas
directement de la capacité d'allongement des
ischios-jambiers, la force y joue aussi un rôle.
La mesure objective de la souplesse dynaimique, celle dont nous avons évidemment le
plus besoin sur le plan sportif, est encore plus
ardue. Mais il est cependant possible d'apporter, maintenant, des éléments de réponses à
de multiples questions tout à fait pratiques. |
spécial souplesse travaux et recherches n 03 novembre 1978 [texte imprimé] / ministere de la jenesse des sports et des loisirs, Auteur . - [Paris] : Institut national du sport et de l'éducation physique (France), 1978 . - 94 P ; 29 CM X20.5. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
les problèmes de la souplesse la physiopathologie de la souplesse le térrain pédagogique les problemes psychophysiologiques |
Index. décimale : |
796.1- Méthodologie de recherche en EPS |
Résumé : |
2. Définition
Souplesse est le terme le plus large qui, en
anglais, correspond à la flexibilité (flexibility)
c'est-à-dire la possibilité de se « plier » facilement. L'assouplissement viserait la suppression des tensions susceptibles de limiter ou
de contrarier le mouvement [1]. Il recouvre
ainsi tous les domaines de l'aspect le plus
mécanique (flexibilité de l'os dans les premiers mois de la vie) à l'aspect le plus psychologique, voire même sociologique à travers
la conception d'une certaine harmonie du
geste (dans le langage courant, ne dit-on pas
aussi d'un bon skieur qu'il skie souplement).
Les phénomènes liés à la souplesse ont des
origines multiples dans l'organisme, ce qui
rend son approche extrêmement difficile.
Actuellement les données scientifiques dont
nous disposons nous amènent à des conclusions partielles suivant le mode d'approche
privilégié et les techniques employées (études
neurophysiologiques, musculaires, effets de
l'étirement sur le tendon, etc.). Elles sont difficiles à confronter avec la réalité de terrain
c'est-à-dire la pratique globale des exercices
d'assouplissement à tous les niveaux (âges,
milieux, objectifs, doses différentes de pratique).
• La souplesse statique est relativement difficile à mesurer par des tests objectifs. En effet
la performance dans le test de la flexion avant
du tronc en position debout ne provient pas
directement de la capacité d'allongement des
ischios-jambiers, la force y joue aussi un rôle.
La mesure objective de la souplesse dynaimique, celle dont nous avons évidemment le
plus besoin sur le plan sportif, est encore plus
ardue. Mais il est cependant possible d'apporter, maintenant, des éléments de réponses à
de multiples questions tout à fait pratiques. |
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