Titre : |
Découvrir les ko-budo d'Okinawa |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Roland Habersetzer (1942-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Amphora |
Année de publication : |
1992 |
Collection : |
Budo scope (Paris), ISSN 0989-4187 num. 11/12 |
Importance : |
1 vol. (167 p.) |
Présentation : |
ill |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-85180-237-8 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Ko-budo les techniques les bases pratiques |
Index. décimale : |
796.8- Sports de combat |
Résumé : |
Dans les îles méridionales de l'archipel du Japon et notamment à Okinawa, plusieurs édits qui ont émané soit de la tutelle japonaise des Satsuma, soit directement du gouvernement de Shuri, ont interdit la possession et l'usage des armes tranchantes à la population. Ces édits à valeur commerciale, puisqu'ils ramenaient le royaume de Ryūkyū dans le giron isolationniste du Japon impérial, ont souvent été interprétés à tort comme un moyen d'éviter les rébellions1.
Ce sont ces interdictions qui ont favorisé le développement poussé des techniques de combat à mains nues, le Tō-de devenu plus tard karaté, ainsi que l'utilisation, en tant qu'armes, des ustensiles de la vie quotidienne2, les kobudō. De plus, le caractère subversif de la pratique l'a longtemps confiné au secret, ce qui, ajouté à la géographie parcellaire des îles et à la lenteur des voies de communication, explique qu'il n'existe pas un kobudō mais des kobudō, donc plusieurs façons de faire par arme, par île, par village, par expert. |
Découvrir les ko-budo d'Okinawa [texte imprimé] / Roland Habersetzer (1942-....), Auteur . - Paris : Amphora, 1992 . - 1 vol. (167 p.) : ill ; 22 cm. - ( Budo scope (Paris), ISSN 0989-4187; 11/12) . ISBN : 978-2-85180-237-8 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Ko-budo les techniques les bases pratiques |
Index. décimale : |
796.8- Sports de combat |
Résumé : |
Dans les îles méridionales de l'archipel du Japon et notamment à Okinawa, plusieurs édits qui ont émané soit de la tutelle japonaise des Satsuma, soit directement du gouvernement de Shuri, ont interdit la possession et l'usage des armes tranchantes à la population. Ces édits à valeur commerciale, puisqu'ils ramenaient le royaume de Ryūkyū dans le giron isolationniste du Japon impérial, ont souvent été interprétés à tort comme un moyen d'éviter les rébellions1.
Ce sont ces interdictions qui ont favorisé le développement poussé des techniques de combat à mains nues, le Tō-de devenu plus tard karaté, ainsi que l'utilisation, en tant qu'armes, des ustensiles de la vie quotidienne2, les kobudō. De plus, le caractère subversif de la pratique l'a longtemps confiné au secret, ce qui, ajouté à la géographie parcellaire des îles et à la lenteur des voies de communication, explique qu'il n'existe pas un kobudō mais des kobudō, donc plusieurs façons de faire par arme, par île, par village, par expert. |
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