| Titre : | 
					Kinésithérapie active : exercices thérapeutiques T2 | 
				 
					| Type de document :  | 
					texte imprimé | 
				 
					| Auteurs :  | 
					François Plas, Auteur ; Edmond Hagron, Auteur | 
				 
					| Mention d'édition : | 
					2 éd. | 
				 
					| Editeur : | 
					Paris : Masson | 
				 
					| Année de publication :  | 
					1979 | 
				 
					| Collection :  | 
					Monographies de l'Ecole de cadres de kinésithérapie de Bois-Larris, ISSN 0338-2680 num. 12  | 
				 
					| Importance :  | 
					168 + 172 p. | 
				 
					| Présentation :  | 
					graph. | 
				 
					| Format :  | 
					24 cm | 
				 
					| ISBN/ISSN/EAN :  | 
					978-2-225-62480-3 | 
				 
					| Prix :  | 
					60 F + 50 F | 
				 
					| Langues : | 
					Français (fre) | 
				 
					| Mots-clés :  | 
					Kinésithérapie Active  organisation Gestuelle  Exercices Gymniques  exercices thérapeutiques | 
				 
					| Index. décimale :  | 
					610- Sciences médicales | 
				 
					| Résumé :  | 
					Évaluer les techniques de kinésithérapie utilisées après résection pulmonaire à travers la littérature scientifique. 
 
Matériel et méthode : 
Une recherche bibliographique a été réalisée de 1980 à 2010 à partir des bases de données Medline, Pascal, Cochrane et PEDro. Trente-deux articles ont été sélectionnés pour cette recherche, parmi lesquels 24 études (18 études prospectives contrôlées randomisées, 5 études concernant des séries de cas et 1 étude de cohorte) et 8 revues de synthèse (5 systématiques, 1 non systématique, 1 issue d’une conférence de consensus et 1 issue d’un guide de pratique clinique). 
 
Résultats : 
1. Intérêt certain validé par la littérature scientifique : TENS, VNI. 2. Intérêt non démontré du fait de la non-connaissance du nombre de patients nécessaires a priori (validité du p contestable) : kinésithérapie respiratoire, High frequency percussive ventilation, Positive expiratory pressure. 3. Intérêt non démontré du fait de la méthodologie inadaptée (études sans groupe contrôle, de niveau 4) : nébulisation, massage, compressions extra-thoraciques. 4. Absence d’intérêt démontré par la littérature scientifique : spirométrie incitative. 
 
Conclusion : 
Peu de techniques de kinésithérapie sont validées après résection pulmonaire, mais beaucoup d’études restent encore à réaliser, à la fois pour confirmer certains résultats, mais également pour démontrer l’efficacité de techniques manuelles et instrumentales peu, pas ou mal explorées | 
				 
					| Note de contenu :  | 
					1, Organisation gestuelle, exercices gymniques, kinébalnéothérapie ; 2, Mécanothérapie, pouliethérapie, renforcement musculaire | 
				  
 
					Kinésithérapie active : exercices thérapeutiques T2 [texte imprimé] /  François Plas, Auteur ;  Edmond Hagron, Auteur  . -  2 éd. . -  Paris : Masson, 1979 . - 168 + 172 p. : graph. ; 24 cm. - ( Monographies de l'Ecole de cadres de kinésithérapie de Bois-Larris, ISSN 0338-2680; 12) . ISBN : 978-2-225-62480-3 : 60 F + 50 F Langues : Français ( fre) 
					| Mots-clés :  | 
					Kinésithérapie Active  organisation Gestuelle  Exercices Gymniques  exercices thérapeutiques | 
				 
					| Index. décimale :  | 
					610- Sciences médicales | 
				 
					| Résumé :  | 
					Évaluer les techniques de kinésithérapie utilisées après résection pulmonaire à travers la littérature scientifique. 
 
Matériel et méthode : 
Une recherche bibliographique a été réalisée de 1980 à 2010 à partir des bases de données Medline, Pascal, Cochrane et PEDro. Trente-deux articles ont été sélectionnés pour cette recherche, parmi lesquels 24 études (18 études prospectives contrôlées randomisées, 5 études concernant des séries de cas et 1 étude de cohorte) et 8 revues de synthèse (5 systématiques, 1 non systématique, 1 issue d’une conférence de consensus et 1 issue d’un guide de pratique clinique). 
 
Résultats : 
1. Intérêt certain validé par la littérature scientifique : TENS, VNI. 2. Intérêt non démontré du fait de la non-connaissance du nombre de patients nécessaires a priori (validité du p contestable) : kinésithérapie respiratoire, High frequency percussive ventilation, Positive expiratory pressure. 3. Intérêt non démontré du fait de la méthodologie inadaptée (études sans groupe contrôle, de niveau 4) : nébulisation, massage, compressions extra-thoraciques. 4. Absence d’intérêt démontré par la littérature scientifique : spirométrie incitative. 
 
Conclusion : 
Peu de techniques de kinésithérapie sont validées après résection pulmonaire, mais beaucoup d’études restent encore à réaliser, à la fois pour confirmer certains résultats, mais également pour démontrer l’efficacité de techniques manuelles et instrumentales peu, pas ou mal explorées | 
				 
					| Note de contenu :  | 
					1, Organisation gestuelle, exercices gymniques, kinébalnéothérapie ; 2, Mécanothérapie, pouliethérapie, renforcement musculaire | 
				 
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