Titre : |
Techniques en réanimation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
François Lemaire (1941-....), Directeur de publication, rédacteur en chef |
Editeur : |
Paris : Masson |
Année de publication : |
1990 |
Collection : |
Abrégés (Paris. 1971), ISSN 0768-1992 |
Importance : |
XIII-386 p. |
Présentation : |
ill. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
2-225-81759-6 |
Prix : |
148 F |
Note générale : |
Notes bibliogr. Index |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Réanimation techniques les médecins les infermiers les appareils la surveillance |
Index. décimale : |
610- Sciences médicales |
Résumé : |
Une hospitalisation dans un service de réanimation s’impose lorsqu’un ou plusieurs organes fonctionnent mal et mettent en danger la vie du patient (on parle de « dysfonction d’organe »). Les reins, les poumons, le cœur et la circulation, le foie, et le cerveau sont les principaux organes qui peuvent être atteints par différents types de maladies. La dysfonction de ces organes est très souvent favorisée par une ou plusieurs maladies chroniques précédant l’affection aiguë.
Afin de suppléer aux dysfonctions d’organes, diverses techniques plus au moins « lourdes » ou « invasives » doivent être entreprises. Ces techniques servent, soit à remplacer les organes défaillants, soit à prévenir les complications liées au mauvais fonctionnement de certains organes. Ces techniques sont invasives car elles nécessitent souvent l’introduction de cathéters, de drains et de sondes dans l’organisme. Elles peuvent donc provoquer un traumatisme, voire une infection. Elles sont cependant indispensables car, elles seules, permettent la survie du patient en attendant que l’affection aiguë qui a provoqué la défaillance des organes guérisse. Tout est mis en œuvre pour prévenir, éviter, voire traiter ces complications. Dans la plupart des cas, les complications liées aux techniques de réanimation sont rapidement maîtrisables.
Une surveillance continue de l’efficacité des techniques de réanimation et de leurs complications est effectuée 24h/24 par les infirmières et les médecins sur place grâce aux appareils de surveillance, aux examens sanguins et aux radiographies. Si une complication traumatique ou infectieuse survient, un traitement rapide peut donc être débuté à tout moment.
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Techniques en réanimation [texte imprimé] / François Lemaire (1941-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Masson, 1990 . - XIII-386 p. : ill. ; 21 cm. - ( Abrégés (Paris. 1971), ISSN 0768-1992) . ISBN : 2-225-81759-6 : 148 F Notes bibliogr. Index Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Réanimation techniques les médecins les infermiers les appareils la surveillance |
Index. décimale : |
610- Sciences médicales |
Résumé : |
Une hospitalisation dans un service de réanimation s’impose lorsqu’un ou plusieurs organes fonctionnent mal et mettent en danger la vie du patient (on parle de « dysfonction d’organe »). Les reins, les poumons, le cœur et la circulation, le foie, et le cerveau sont les principaux organes qui peuvent être atteints par différents types de maladies. La dysfonction de ces organes est très souvent favorisée par une ou plusieurs maladies chroniques précédant l’affection aiguë.
Afin de suppléer aux dysfonctions d’organes, diverses techniques plus au moins « lourdes » ou « invasives » doivent être entreprises. Ces techniques servent, soit à remplacer les organes défaillants, soit à prévenir les complications liées au mauvais fonctionnement de certains organes. Ces techniques sont invasives car elles nécessitent souvent l’introduction de cathéters, de drains et de sondes dans l’organisme. Elles peuvent donc provoquer un traumatisme, voire une infection. Elles sont cependant indispensables car, elles seules, permettent la survie du patient en attendant que l’affection aiguë qui a provoqué la défaillance des organes guérisse. Tout est mis en œuvre pour prévenir, éviter, voire traiter ces complications. Dans la plupart des cas, les complications liées aux techniques de réanimation sont rapidement maîtrisables.
Une surveillance continue de l’efficacité des techniques de réanimation et de leurs complications est effectuée 24h/24 par les infirmières et les médecins sur place grâce aux appareils de surveillance, aux examens sanguins et aux radiographies. Si une complication traumatique ou infectieuse survient, un traitement rapide peut donc être débuté à tout moment.
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