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Détail de l'auteur
Auteur Didier Chos
Commentaire :
Denis Riché est titulaire d\'un DEA et d\'un doctorat de nutrition humaine, du diplôme du CESAM «épidémiologie et santé publique» ainsi que du DIU «micronutrition et alimentation-santé» des facultés de Dijon et Clermont-Ferrand.Il enseigne au sein de ce DIU ainsi qu\'à l\'UFR STAPS de Font-Romeu et dans le cadre des formations continues de l\'IEDM et de Kinésport. Auteur de plusieurs ouvrages, il a par ailleurs lancé la revue Sport & Vie en 1990, et y contribue toujours. Installé dans le sud de la France, il dispense des conseils nutritionnels auprès des sportifs qui le solliciten
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Mésothérapie et traumatologie sportive / Jacques Le Coz
Titre : Mésothérapie et traumatologie sportive Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Le Coz, Auteur ; Didier Chos, Auteur Mention d'édition : 3e éd. rev. et corr. Editeur : Paris : Masson Année de publication : 1989 Collection : Collection de mésothérapie, ISSN 0297-8865 Importance : VIII-155 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-225-81661-1 Prix : 201 F Note générale : Bibliogr. p. 151. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : Mésothérapie Sportifs Lésions et blessures arthropathies lombalgies névralgies douleurs tendineuses Index. décimale : 617.27- Médecine du sport Résumé : LA MÉSOTHÉRAPIE
Principe
Inventée dans les années 50 par un médecin français du nom de Pistor, la mésothérapie consiste en l’injection loco dolenti et/ou au niveau de trigger points par voie intra-épidermique et intra-dermique superficielle ou profonde (de 1 à 13 mm) de mélanges de produits pharmaceutiques (2 ou 3 maximum) ayant l’AMM en France : décontracturants, anti-oedémateux, anti-inflammatoires, vasodilatateurs, calcitonine, complexes polyvitaminiques… (2). Les injections sont réalisées manuellement ou à l’aide d’une seringue montée sur un injecteur électronique permettant de contrôler profondeur et débit avec des aiguilles de 4 ou 13 mm. L’étude pharmacologique des injections intra- dermiques permet de constater que la diffusion des produits médicamenteux dans les tissus sousjacents est plus lente et que les niveaux de concentration sont plus élevés dans le temps qu’au cours d’injections plus profondes comme les injections intramusculaires (3).
Indications
Cette thérapeutique s’adresse en priorité au traitement des douleurs de l’appareil locomoteur : arthropathies, lombalgies, névralgies, douleurs tendineuses, ligamentaires et musculaires. Il existe en France un diplôme inter-universitaire (DIU) de mésothérapie accessible exclusivement aux docteurs en médecine. Aux yeux des médecins du sport, l’image de la mésothérapie est brouillée par son usage à des fins esthétiques et dermatologiques comme le traitement de l’alopécie, la réduction de graisse locale et de cellulite, et ses supposés effets antiâge (4).
EFFETS INDÉSIRABLES
Alors que le Dr Pistor publiait son premier article sur la mésothérapie en 1958 et créait la Société française de mésothérapie en 1964 (5), une soixantaine d’année plus tard, la littérature scientifique concernant la mésothérapie reste très pauvre (seulement 226 articles sont référencés actuellement sur Pubmed), dominée par son bras esthétique et dermatologique, mais aussi par ses effets secondaires. Ces derniers sont pourtant limités par les faibles doses de produits administrées et par le respect des règles d’asepsie conventionnelles. On constate néanmoins des séries d’infections graves à mycobactéries et de très rares cas d’arthrites septiques (6-8). Par ailleurs, les injections de plusieurs mélanges de produits pharmaceutiques répétées dans le temps augmentent les risques allergiques et les effets indésirables cutanés locaux. Dans une étude multicentrique menée sur 2 839 observations et appelée ENATOME 1, utilisant un anesthésique local, deux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), un myorelaxant, un antalgique, le Dr Le Coz ne mettait en évidence aucun choc anaphylactique, ni aucun choc vagal. Les réactions locales (douleurs, hématome, prurit, induration, érythème) n’excédaient pas les 10 % et avaient tendance à diminuer au fil des séances (2). L’étude ENATOME 2 permettait quant à elle de démontrer que les effets indésirables étaient sensiblement majorés (jusqu’à 15 % de réactions locales) chez les patients traités par voie générale en parallèle de la mésothérapie. Le versant positif de cet état de fait est qu’il existe un effet potentialisant de la mésothérapie par les thérapies médicamenteusesMésothérapie et traumatologie sportive [texte imprimé] / Jacques Le Coz, Auteur ; Didier Chos, Auteur . - 3e éd. rev. et corr. . - Paris : Masson, 1989 . - VIII-155 p. : ill., couv. ill. ; 24 cm. - (Collection de mésothérapie, ISSN 0297-8865) .
ISBN : 978-2-225-81661-1 : 201 F
Bibliogr. p. 151. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mésothérapie Sportifs Lésions et blessures arthropathies lombalgies névralgies douleurs tendineuses Index. décimale : 617.27- Médecine du sport Résumé : LA MÉSOTHÉRAPIE
Principe
Inventée dans les années 50 par un médecin français du nom de Pistor, la mésothérapie consiste en l’injection loco dolenti et/ou au niveau de trigger points par voie intra-épidermique et intra-dermique superficielle ou profonde (de 1 à 13 mm) de mélanges de produits pharmaceutiques (2 ou 3 maximum) ayant l’AMM en France : décontracturants, anti-oedémateux, anti-inflammatoires, vasodilatateurs, calcitonine, complexes polyvitaminiques… (2). Les injections sont réalisées manuellement ou à l’aide d’une seringue montée sur un injecteur électronique permettant de contrôler profondeur et débit avec des aiguilles de 4 ou 13 mm. L’étude pharmacologique des injections intra- dermiques permet de constater que la diffusion des produits médicamenteux dans les tissus sousjacents est plus lente et que les niveaux de concentration sont plus élevés dans le temps qu’au cours d’injections plus profondes comme les injections intramusculaires (3).
Indications
Cette thérapeutique s’adresse en priorité au traitement des douleurs de l’appareil locomoteur : arthropathies, lombalgies, névralgies, douleurs tendineuses, ligamentaires et musculaires. Il existe en France un diplôme inter-universitaire (DIU) de mésothérapie accessible exclusivement aux docteurs en médecine. Aux yeux des médecins du sport, l’image de la mésothérapie est brouillée par son usage à des fins esthétiques et dermatologiques comme le traitement de l’alopécie, la réduction de graisse locale et de cellulite, et ses supposés effets antiâge (4).
EFFETS INDÉSIRABLES
Alors que le Dr Pistor publiait son premier article sur la mésothérapie en 1958 et créait la Société française de mésothérapie en 1964 (5), une soixantaine d’année plus tard, la littérature scientifique concernant la mésothérapie reste très pauvre (seulement 226 articles sont référencés actuellement sur Pubmed), dominée par son bras esthétique et dermatologique, mais aussi par ses effets secondaires. Ces derniers sont pourtant limités par les faibles doses de produits administrées et par le respect des règles d’asepsie conventionnelles. On constate néanmoins des séries d’infections graves à mycobactéries et de très rares cas d’arthrites septiques (6-8). Par ailleurs, les injections de plusieurs mélanges de produits pharmaceutiques répétées dans le temps augmentent les risques allergiques et les effets indésirables cutanés locaux. Dans une étude multicentrique menée sur 2 839 observations et appelée ENATOME 1, utilisant un anesthésique local, deux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), un myorelaxant, un antalgique, le Dr Le Coz ne mettait en évidence aucun choc anaphylactique, ni aucun choc vagal. Les réactions locales (douleurs, hématome, prurit, induration, érythème) n’excédaient pas les 10 % et avaient tendance à diminuer au fil des séances (2). L’étude ENATOME 2 permettait quant à elle de démontrer que les effets indésirables étaient sensiblement majorés (jusqu’à 15 % de réactions locales) chez les patients traités par voie générale en parallèle de la mésothérapie. Le versant positif de cet état de fait est qu’il existe un effet potentialisant de la mésothérapie par les thérapies médicamenteusesRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité EPSE-22032/01 617.27-84.01 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine du sport/ Diététique sportive Exclu du prêt EPSE-22032/03 617.27-84.02 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine du sport/ Diététique sportive Disponible Micronutrition, santé et performance / Denis Riché
Titre : Micronutrition, santé et performance : comprendre ce qu'est vraiment la micronutrition Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Riché (1961-....), Auteur ; Didier Chos, Collaborateur Editeur : Bruxelles : De Boeck Année de publication : DL 2008 Collection : Sciences et pratique du sport, ISSN 1373-0193 Importance : 1 vol. (IX-372 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8041-5235-2 Prix : 37 EUR Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Micro nutrition la santé et la performance le fonctionnement de l'organisme performances Index. décimale : 613.2- Diététique sportive Résumé : Présentation de l'éditeur
La micronutrition est une discipline récente qui consiste à identifier et satisfaire les besoins nutritionnels de l'individu. Elle permet de calculer les apports nutritionnels optimaux en vue du fonctionnement harmonieux de l'organisme (la santé) et d'une meilleure réponse à l'entraînement (la performance).
Les carences en certains nutriments peuvent provoquer des troubles fonctionnels de l'organisme. Plus ces déficits, déséquilibres et intolérances sont importants, plus les répercussions fonctionnelles ou cliniques (tendinites, etc.) seront considérables.
La micronutrition, en palliant ces carences, permet d'atteindre un état de fonctionnement optimal de l'organisme. De ce fait, la micronutrition offre d'intéressantes perspectives dans le cadre de l'accompagnement de l'activité sportive.
Extrait
Extrait de l'avant-propos :
Nous donnons dans cet ouvrage les bases d'une manière particulière d'aborder la nutrition. On la connaît sous le nom de «micronutrition». L'objectif de ce livre est à la fois d'exposer les données théoriques sur lesquelles s'appuie la réflexion des spécialistes de cette discipline, et d'expliquer comment et pourquoi cette nouvelle manière d'envisager les liens entre l'alimentation et la santé est apparue. Une large part de cet ouvrage expose des données fondamentales, admises, qui sont accessibles à tous et leur prise en compte ne constitue pas une spécificité de la micronutrition. Par contre, il s'agit du «bagage» sur lequel s'appuie l'expertise qui conduit le praticien à élaborer un protocole auprès de son patient. Le lecteur trouvera donc une synthèse assez abondante des dernières données de la littérature susceptible de servir à la prise en charge optimale du sportif. Si les éléments fondamentaux considérés ne distinguent pas la micronutrition, en quoi est-elle originale, en quoi se reconnaissent ceux qui s'y forment à l'université ? C'est dans la façon d'envisager l'apport optimal de l'individu. Ainsi, la nutrition tente de définir les apports alimentaires permettant à un sujet moyen de satisfaire les recommandations des experts. Ces recommandations sont celles qui permettent statistiquement, à une population donnée, de réduire au minimum le risque de carence. Il s'agit, en quelque sorte, d'optimiser le contenu de l'assiette «gaussienne». Cette approche est intéressante, du fait qu'elle permet de constater, chez une forte proportion de sujets, l'existence d'apports non optimaux. Ce constat, mathématiquement, s'accompagne d'un risque accru de déficit. Plus la proportion de sujets dont les apports se situent en dessous de ces chiffres augmente, et plus on considère que le statut de la population risque d'être déficitaire. On suppose que ce déficit affectera alors le déroulement de nombreux processus vitaux. Mais ce n'est qu'une hypothèse. Il n'est pas exclu que l'individu présentât des besoins se situant à un niveau largement supérieur à la valeur «moyenne» ou que les processus de perte majorent nettement ses besoins. Chez lui, la couverture des besoins théoriques ne suffirait pas. De fait, lorsqu'on travaille auprès de sportifs de haut niveau, pour qui l'optimisation des apports est un objectif indispensable à atteindre, on en vient peu à peu à admettre, au fil des années et au cours des différentes expériences vécues, que la lecture du contenu de la ration ne permet en rien de prédire l'état de santé d'un sujet à l'instant «t» où on le voit, et encore moins les performances accomplies. On peut ainsi rencontrer des individus qui satisfont les besoins théoriques en un grand nombre de nutriments mais se blessent, tombent malades ou signent des contre-performances. Et inversement, d'autres dont les choix s'éloignent significativement des standards conseillés aux sportifs, qui se montrent très performants et semblent posséder une santé de fer. Autrement dit, les études sur lesquelles les experts s'appuient pour établir les recommandations sont justes. Les apports peuvent être évalués de façon assez précise. Mais au bout du compte, on n'en déduit pas pour autant l'adéquation de la ration aux besoins de l'individu. Cette conclusion clôturait le Guide nutritionnel des sports d'endurance, paru il y a dix ans, qui se refermait sur un constat d'impuissance chez ceux qui maîtrisaient les outils de la nutrition conventionnelle. Présenté à l'époque comme un ouvrage abouti aidant à optimiser le contenu de l'assiette (où trouver le zinc, le manganèse, etc.), il ne permettait pourtant pas d'élaborer un modèle alimentaire mettant à l'abri de troubles attribuables à des déficits. L'un des enjeux de la décennie qui vient de s'écouler, était donc de réussir à établir une véritable corrélation entre le contenu de l'assiette et l'optimisation des performances, c'est-à-dire entre la ration et le fonctionnement de l'organisme.Micronutrition, santé et performance : comprendre ce qu'est vraiment la micronutrition [texte imprimé] / Denis Riché (1961-....), Auteur ; Didier Chos, Collaborateur . - Bruxelles : De Boeck, DL 2008 . - 1 vol. (IX-372 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 27 cm. - (Sciences et pratique du sport, ISSN 1373-0193) .
ISBN : 978-2-8041-5235-2 : 37 EUR
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Micro nutrition la santé et la performance le fonctionnement de l'organisme performances Index. décimale : 613.2- Diététique sportive Résumé : Présentation de l'éditeur
La micronutrition est une discipline récente qui consiste à identifier et satisfaire les besoins nutritionnels de l'individu. Elle permet de calculer les apports nutritionnels optimaux en vue du fonctionnement harmonieux de l'organisme (la santé) et d'une meilleure réponse à l'entraînement (la performance).
Les carences en certains nutriments peuvent provoquer des troubles fonctionnels de l'organisme. Plus ces déficits, déséquilibres et intolérances sont importants, plus les répercussions fonctionnelles ou cliniques (tendinites, etc.) seront considérables.
La micronutrition, en palliant ces carences, permet d'atteindre un état de fonctionnement optimal de l'organisme. De ce fait, la micronutrition offre d'intéressantes perspectives dans le cadre de l'accompagnement de l'activité sportive.
Extrait
Extrait de l'avant-propos :
Nous donnons dans cet ouvrage les bases d'une manière particulière d'aborder la nutrition. On la connaît sous le nom de «micronutrition». L'objectif de ce livre est à la fois d'exposer les données théoriques sur lesquelles s'appuie la réflexion des spécialistes de cette discipline, et d'expliquer comment et pourquoi cette nouvelle manière d'envisager les liens entre l'alimentation et la santé est apparue. Une large part de cet ouvrage expose des données fondamentales, admises, qui sont accessibles à tous et leur prise en compte ne constitue pas une spécificité de la micronutrition. Par contre, il s'agit du «bagage» sur lequel s'appuie l'expertise qui conduit le praticien à élaborer un protocole auprès de son patient. Le lecteur trouvera donc une synthèse assez abondante des dernières données de la littérature susceptible de servir à la prise en charge optimale du sportif. Si les éléments fondamentaux considérés ne distinguent pas la micronutrition, en quoi est-elle originale, en quoi se reconnaissent ceux qui s'y forment à l'université ? C'est dans la façon d'envisager l'apport optimal de l'individu. Ainsi, la nutrition tente de définir les apports alimentaires permettant à un sujet moyen de satisfaire les recommandations des experts. Ces recommandations sont celles qui permettent statistiquement, à une population donnée, de réduire au minimum le risque de carence. Il s'agit, en quelque sorte, d'optimiser le contenu de l'assiette «gaussienne». Cette approche est intéressante, du fait qu'elle permet de constater, chez une forte proportion de sujets, l'existence d'apports non optimaux. Ce constat, mathématiquement, s'accompagne d'un risque accru de déficit. Plus la proportion de sujets dont les apports se situent en dessous de ces chiffres augmente, et plus on considère que le statut de la population risque d'être déficitaire. On suppose que ce déficit affectera alors le déroulement de nombreux processus vitaux. Mais ce n'est qu'une hypothèse. Il n'est pas exclu que l'individu présentât des besoins se situant à un niveau largement supérieur à la valeur «moyenne» ou que les processus de perte majorent nettement ses besoins. Chez lui, la couverture des besoins théoriques ne suffirait pas. De fait, lorsqu'on travaille auprès de sportifs de haut niveau, pour qui l'optimisation des apports est un objectif indispensable à atteindre, on en vient peu à peu à admettre, au fil des années et au cours des différentes expériences vécues, que la lecture du contenu de la ration ne permet en rien de prédire l'état de santé d'un sujet à l'instant «t» où on le voit, et encore moins les performances accomplies. On peut ainsi rencontrer des individus qui satisfont les besoins théoriques en un grand nombre de nutriments mais se blessent, tombent malades ou signent des contre-performances. Et inversement, d'autres dont les choix s'éloignent significativement des standards conseillés aux sportifs, qui se montrent très performants et semblent posséder une santé de fer. Autrement dit, les études sur lesquelles les experts s'appuient pour établir les recommandations sont justes. Les apports peuvent être évalués de façon assez précise. Mais au bout du compte, on n'en déduit pas pour autant l'adéquation de la ration aux besoins de l'individu. Cette conclusion clôturait le Guide nutritionnel des sports d'endurance, paru il y a dix ans, qui se refermait sur un constat d'impuissance chez ceux qui maîtrisaient les outils de la nutrition conventionnelle. Présenté à l'époque comme un ouvrage abouti aidant à optimiser le contenu de l'assiette (où trouver le zinc, le manganèse, etc.), il ne permettait pourtant pas d'élaborer un modèle alimentaire mettant à l'abri de troubles attribuables à des déficits. L'un des enjeux de la décennie qui vient de s'écouler, était donc de réussir à établir une véritable corrélation entre le contenu de l'assiette et l'optimisation des performances, c'est-à-dire entre la ration et le fonctionnement de l'organisme.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IEPS-11300 613.2-26.01 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine du sport/ Diététique sportive Exclu du prêt IEPS-11301 613.2-26.02 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine du sport/ Diététique sportive Disponible IEPS-11302 613.2-26.03 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine du sport/ Diététique sportive Disponible IEPS-11303 613.2-26.04 Ouvrage Institut d’Éducation Physique et Sportive Médecine du sport/ Diététique sportive Disponible