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les origines de la postmodernité / Anderson،Perry
Titre : les origines de la postmodernité Type de document : texte imprimé Auteurs : Anderson،Perry, Auteur Mention d'édition : ط1 Editeur : paris :Les praires ordinaires Année de publication : 1998 Importance : 185p Format : 17*24سم ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35096-018-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : les origines ؛ postmodernité Index. décimale : 302 -Sciences sociales Résumé : La notion de postmodernisme n'a jamais véritablement fait irruption dans le débat théorique français. Après l'acte fondateur lyotardien, et en grande partie à cause de lui, elle n'a plus guère servi que de simple marqueur culturel : une oeuvre, un édifice, un motif théorique se sont ainsi vu qualifiés de " postmodernes ", pour vanter, ou au contraire stigmatiser, leurs attributs formels ou leur propension au " relativisme ". Et la fin des grands récits " est devenue la formule magique censée exprimer la vérité de notre temps. Pour mettre enfin un terme à ces usages stériles, Les Origines de la postmodernité retrace l'histoire de cette notion, depuis les milieux de l'avant-garde littéraire de l'Amérique hispanique dans les années 1920, jusqu'aux courants post-marxistes européens, avec Lyotard à Montréal en 1979, puis Habermas à Francfort en 1980. En 1982, à New York, Fredric Jameson lui fait subir une mutation fondamentale : désormais, le postmodernisme désignera l'hypothèse d'une rupture épochale. Selon Perry Anderson, Jameson est ainsi celui qui a su montrer la cohérence globale de notre époque globalisée, dont la caractéristique majeure tient, selon lui, à la subordination tendancielle de la culture à la logique d'accumulation du capital. La sphère esthétique, par laquelle s'appréhende le monde, est ainsi, selon Jameson, massivement colonisée et aujourd'hui incapable de trouver l'espace dans lequel continuer d'exprimer une transgression ou de tendre vers une alternative. Le postmodernisme, tel que le présente dans ce livre Perry Anderson, confine au système parfait, un système en mesure d'intégrer à la logique de sa perpétuation ses propres " dysfonctionnements ".
Sommaire
PRODROMES
Lima, Madrid, Londres
Shaanxi, Angkor, Yucatan
New-York, Harvard, Chicago
LA CRISTALLISATION
Athènes, Le Caire, Las Vegas
Montréal, Paris
Francfort, Munich
CAPTURE
Sources
Cinq déplacements
Aboutissements
REPERCUSSIONS
Périodisation
Polarités
Inflexionsles origines de la postmodernité [texte imprimé] / Anderson،Perry, Auteur . - ط1 . - [S.l.] : paris :Les praires ordinaires, 1998 . - 185p ; 17*24سم.
ISBN : 978-2-35096-018-0
Langues : Français (fre)
Mots-clés : les origines ؛ postmodernité Index. décimale : 302 -Sciences sociales Résumé : La notion de postmodernisme n'a jamais véritablement fait irruption dans le débat théorique français. Après l'acte fondateur lyotardien, et en grande partie à cause de lui, elle n'a plus guère servi que de simple marqueur culturel : une oeuvre, un édifice, un motif théorique se sont ainsi vu qualifiés de " postmodernes ", pour vanter, ou au contraire stigmatiser, leurs attributs formels ou leur propension au " relativisme ". Et la fin des grands récits " est devenue la formule magique censée exprimer la vérité de notre temps. Pour mettre enfin un terme à ces usages stériles, Les Origines de la postmodernité retrace l'histoire de cette notion, depuis les milieux de l'avant-garde littéraire de l'Amérique hispanique dans les années 1920, jusqu'aux courants post-marxistes européens, avec Lyotard à Montréal en 1979, puis Habermas à Francfort en 1980. En 1982, à New York, Fredric Jameson lui fait subir une mutation fondamentale : désormais, le postmodernisme désignera l'hypothèse d'une rupture épochale. Selon Perry Anderson, Jameson est ainsi celui qui a su montrer la cohérence globale de notre époque globalisée, dont la caractéristique majeure tient, selon lui, à la subordination tendancielle de la culture à la logique d'accumulation du capital. La sphère esthétique, par laquelle s'appréhende le monde, est ainsi, selon Jameson, massivement colonisée et aujourd'hui incapable de trouver l'espace dans lequel continuer d'exprimer une transgression ou de tendre vers une alternative. Le postmodernisme, tel que le présente dans ce livre Perry Anderson, confine au système parfait, un système en mesure d'intégrer à la logique de sa perpétuation ses propres " dysfonctionnements ".
Sommaire
PRODROMES
Lima, Madrid, Londres
Shaanxi, Angkor, Yucatan
New-York, Harvard, Chicago
LA CRISTALLISATION
Athènes, Le Caire, Las Vegas
Montréal, Paris
Francfort, Munich
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Aboutissements
REPERCUSSIONS
Périodisation
Polarités
InflexionsRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS29179 302 -25.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible