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Titre : Publicitor Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Lendrevie, Arnaud De Baynast, Nicolas Riou, Auteur Editeur : Paris : Dalloz Année de publication : 2004 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-247-05541-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : Publicitor Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : Rédigée avec le concours de plusieurs praticiens, cette 6e édition marque une évolution majeure du Publicitor : tout en restant l'ouvrage le plus exhaustif sur la publicité, il couvre aujourd'hui l'ensemble des moyens de communication mis à la disposition des entreprises : promotion des ventes, marketing direct, relations publiques, parrainage, relations presse, etc. Les usages publicitaires et extrapublicitaires d'Internet y sont également largement développés ; c'est le premier ouvrage qui propose une méthode pour intégrer efficacement plusieurs moyens de communication au service d'objectifs communs. Cette méthode a été testée auprès de plusieurs entreprises ; clair et structuré, actualisé et enrichi, abondamment illustré par des exemples concrets et des témoignages d'hommes de terrain, Publicitor est un outil complet, pédagogique pour les étudiants et opérationnel pour les professionnels. Publicitor [texte imprimé] / Jacques Lendrevie, Arnaud De Baynast, Nicolas Riou, Auteur . - Paris : Dalloz, 2004.
ISBN : 978-2-247-05541-8
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Publicitor Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : Rédigée avec le concours de plusieurs praticiens, cette 6e édition marque une évolution majeure du Publicitor : tout en restant l'ouvrage le plus exhaustif sur la publicité, il couvre aujourd'hui l'ensemble des moyens de communication mis à la disposition des entreprises : promotion des ventes, marketing direct, relations publiques, parrainage, relations presse, etc. Les usages publicitaires et extrapublicitaires d'Internet y sont également largement développés ; c'est le premier ouvrage qui propose une méthode pour intégrer efficacement plusieurs moyens de communication au service d'objectifs communs. Cette méthode a été testée auprès de plusieurs entreprises ; clair et structuré, actualisé et enrichi, abondamment illustré par des exemples concrets et des témoignages d'hommes de terrain, Publicitor est un outil complet, pédagogique pour les étudiants et opérationnel pour les professionnels. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS5995 335-01-1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : qu'est ce que la citoyenneté Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Schnapper, Auteur Mention d'édition : ط1 Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 2000 Importance : 316p Format : 21.5×14.5 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-041189-4 Langues : Français (fre) Mots-clés : citoyenneté Index. décimale : 320seince politec Résumé : que l'on brandit pour appuyer toute revendication.Le terme a pourtant un sens historiquement précis : l'appartenance à une communauté politique autonome, définissant des droits et des devoirs.Il n'en reste pas moins que les grandes traditions politiques l'ont interprété différemment, lorsqu'il s'est agi d'articuler la citoyenneté à l'individu, à la nationalité, aux croyances religieuses, aux inégalités sociales, aux traditions historiques et communautaires.C'est donc l'histoire, les idéologies, la sociologie de la «citoyenneté» que retrace cet ouvrage qui est en soi un véritable manuel contemporain d'instruction civique.
Avec la collaboration de Christian Bachelier
Première éditionqu'est ce que la citoyenneté [texte imprimé] / Dominique Schnapper, Auteur . - ط1 . - [Paris] : Gallimard, 2000 . - 316p ; 21.5×14.5.
ISBN : 978-2-07-041189-4
Langues : Français (fre)
Mots-clés : citoyenneté Index. décimale : 320seince politec Résumé : que l'on brandit pour appuyer toute revendication.Le terme a pourtant un sens historiquement précis : l'appartenance à une communauté politique autonome, définissant des droits et des devoirs.Il n'en reste pas moins que les grandes traditions politiques l'ont interprété différemment, lorsqu'il s'est agi d'articuler la citoyenneté à l'individu, à la nationalité, aux croyances religieuses, aux inégalités sociales, aux traditions historiques et communautaires.C'est donc l'histoire, les idéologies, la sociologie de la «citoyenneté» que retrace cet ouvrage qui est en soi un véritable manuel contemporain d'instruction civique.
Avec la collaboration de Christian Bachelier
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS11164 320-11.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : Quand les médias utilisent les photographies des amateurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurie Schmitt, Auteur Editeur : Coédition Le Bord de l'eau/INA Année de publication : 2012 Importance : 230 pages Format : 15,0 cm × 23,0 cm × 1,8 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35687-206-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : médias photographies des amateurs Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : Images spectaculaires, ne datant pas d’hier, devenues populaires, les photographies de non professionnels trouvent au XXIe lors de conflits, d’attentats, de situations dramatiques (Irak, Etats-Unis, Birmanie, Angleterre, Tunisie, etc.), une place dans nos dispositifs médiatiques. Pourquoi les professionnels les utilisent-ils dans la presse ? Pourquoi les qualifient-ils d’« amateurs » ? Que dit ce terme de ces productions singulières et qu’occulte-t-il ? L’auteur montre combien les utilisations contemporaines de ces visuels – utilisations stratégiques, éditoriales, commerciales – sont révélatrices de mutations plus profondes du journalisme.
Elle prend appui sur une analyse des contextes dans lesquels ces photographies ont été produites et diffusées, de leurs usages au sein d’articles, des discours qui les accompagnent, tant dans leurs manifestations corporatives que dans les entreprises de presse ou chez les professionnels du photojournalisme. Cet ouvrage explique comment les journaux et les journalistes se sont organisés pour tirer profit de la disponibilité accrue d’images créées par des observateurs autres qu’eux-mêmes.
Il révèle que cette situation inédite est saisie comme une occasion de maîtriser une offre photographique qui semblait de prime abord leur échapper. Il interroge l’évolution des représentations de l’actualité et particulièrement de la monstration de la douleur jusqu’alors en vigueur. Il met en évidence que les conditions numériques de circulation des images s’inscrivent dans un marché fortement soumis à des transformations.
Ce sont là, certains enjeux, tous éminemment sociaux, abordés dans ce livre.
Sommaire
L'AMATEUR SOUS LE REGARD DU PROFESSIONNEL
LE PHOTOJOURNALISME : SES REFERENCES, SES PRATIQUES, SES TENSIONS
LES REPRESENTATIONS DE L'ACTUALITE : CONTINUITES ET DISCONTINUITES
LES IMAGES SOCIALES DES PHOTOGRAPHIES DES AMATEURS
LES STRATEGIES DES ENTREPRISES EMPLOYANT LES PHOTOGRAPHIES DES AMATEURS
LA MARCHANDISATION RENFORCEE DES PHOTOGRAPHIES ET DES SERVICESQuand les médias utilisent les photographies des amateurs [texte imprimé] / Laurie Schmitt, Auteur . - [S.l.] : Coédition Le Bord de l'eau/INA, 2012 . - 230 pages ; 15,0 cm × 23,0 cm × 1,8 cm.
ISBN : 978-2-35687-206-7
Langues : Français (fre)
Mots-clés : médias photographies des amateurs Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : Images spectaculaires, ne datant pas d’hier, devenues populaires, les photographies de non professionnels trouvent au XXIe lors de conflits, d’attentats, de situations dramatiques (Irak, Etats-Unis, Birmanie, Angleterre, Tunisie, etc.), une place dans nos dispositifs médiatiques. Pourquoi les professionnels les utilisent-ils dans la presse ? Pourquoi les qualifient-ils d’« amateurs » ? Que dit ce terme de ces productions singulières et qu’occulte-t-il ? L’auteur montre combien les utilisations contemporaines de ces visuels – utilisations stratégiques, éditoriales, commerciales – sont révélatrices de mutations plus profondes du journalisme.
Elle prend appui sur une analyse des contextes dans lesquels ces photographies ont été produites et diffusées, de leurs usages au sein d’articles, des discours qui les accompagnent, tant dans leurs manifestations corporatives que dans les entreprises de presse ou chez les professionnels du photojournalisme. Cet ouvrage explique comment les journaux et les journalistes se sont organisés pour tirer profit de la disponibilité accrue d’images créées par des observateurs autres qu’eux-mêmes.
Il révèle que cette situation inédite est saisie comme une occasion de maîtriser une offre photographique qui semblait de prime abord leur échapper. Il interroge l’évolution des représentations de l’actualité et particulièrement de la monstration de la douleur jusqu’alors en vigueur. Il met en évidence que les conditions numériques de circulation des images s’inscrivent dans un marché fortement soumis à des transformations.
Ce sont là, certains enjeux, tous éminemment sociaux, abordés dans ce livre.
Sommaire
L'AMATEUR SOUS LE REGARD DU PROFESSIONNEL
LE PHOTOJOURNALISME : SES REFERENCES, SES PRATIQUES, SES TENSIONS
LES REPRESENTATIONS DE L'ACTUALITE : CONTINUITES ET DISCONTINUITES
LES IMAGES SOCIALES DES PHOTOGRAPHIES DES AMATEURS
LES STRATEGIES DES ENTREPRISES EMPLOYANT LES PHOTOGRAPHIES DES AMATEURS
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS45989 335-80.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS45987 335-80.2 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS45988 335-80.3 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : quand les traces communiquent : culture patrimione médiatisation de la mémoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Pélissier،nicolas, Auteur Mention d'édition : ط1 Editeur : Paris : Éd. l'Harmattan Année de publication : 2014 Importance : 247p Format : 17*24سم ISBN/ISSN/EAN : 978-2-343-04640-2 Langues : Français (fre) Mots-clés : culture Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : et ouvrage propose une étude de la trace du point de vue des sciences de l'information et de la communication. Il s'agit d'analyser ce terme dans l'élaboration de la culture, du patrimoine, et des dispositifs médiatiques. Dans un souci constant de prise en compte du contexte de production et d'interprétation de la trace, quatre perspectives majeures ont été privilégiées : les fondements épistémologiques, les enjeux politiques, la dimension mémorielle, et celle de la médiatisation. quand les traces communiquent : culture patrimione médiatisation de la mémoire [texte imprimé] / Pélissier،nicolas, Auteur . - ط1 . - Paris : Éd. l'Harmattan, 2014 . - 247p ; 17*24سم.
ISBN : 978-2-343-04640-2
Langues : Français (fre)
Mots-clés : culture Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : et ouvrage propose une étude de la trace du point de vue des sciences de l'information et de la communication. Il s'agit d'analyser ce terme dans l'élaboration de la culture, du patrimoine, et des dispositifs médiatiques. Dans un souci constant de prise en compte du contexte de production et d'interprétation de la trace, quatre perspectives majeures ont été privilégiées : les fondements épistémologiques, les enjeux politiques, la dimension mémorielle, et celle de la médiatisation. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS45990 335-60.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS45991 335-60.2 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS45992 335-60.3 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : quel monde pour demain Type de document : texte imprimé Auteurs : Hammond،Allen, Auteur Mention d'édition : ط1 Année de publication : 2004 Importance : 347p Format : 17*24سم Langues : Français (fre) Mots-clés : Amérique chine Scénarios demains Index. décimale : 320 Résumé : Quel monde pour demains ?-Scénarios pour le XXI siècle-regarder l'avenir en face-trois présentations du monde-les grandes tendances évolutives qui modèlent notre avenir-les options régionales-Quel destin pour notre planète
quel monde pour demain [texte imprimé] / Hammond،Allen, Auteur . - ط1 . - 2004 . - 347p ; 17*24سم.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Amérique chine Scénarios demains Index. décimale : 320 Résumé : Quel monde pour demains ?-Scénarios pour le XXI siècle-regarder l'avenir en face-trois présentations du monde-les grandes tendances évolutives qui modèlent notre avenir-les options régionales-Quel destin pour notre planète
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS3525 320-01.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS3526 320-01.2 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : La question interculturelle dans le travail social : repères et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Verbunt (19..-2014), Auteur Editeur : Paris : la Découverte Année de publication : 2004 Collection : Alternatives sociales (Paris), ISSN 1159-8549 Importance : 218 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4321-1 Prix : 18 EUR Note générale : Bibliogr. p 211-213 Langues : Français (fre) Mots-clés : travail sociale modèle français modèle onglon saxon coutume migration dialogue interculturel communication institutionnelle Index. décimale : 300 Résumé : Travailler l’interculturel dans l’intervention socio-éducative fait apparaître un enchevêtrement complexe de questions que l’ouvrage a le mérite de repérer et de différencier, tout en examinant leurs contours.
2Pour mettre en perspective la « question interculturelle », Gilles Verbunt part de deux postulats. Le premier est celui d’un parti pris positif sur les différences culturelles autochtones/étrangers, ou travailleurs sociaux/étrangers. Celles-ci concernent également le rapport des institutions françaises avec les agents exerçant sur le terrain. Le deuxième est celui de l’affirmation que l’interculturel commence avec un effort de connaissance de soi et de sa propre culture. En poussant le point de vue de Gilles Verbunt, on pourrait dire qu’il s’agit, en effet, de nous représenter nous-mêmes comme faisant partie d’une communauté quelconque, parmi toutes les autres. Cette imagination fait alors de nous-mêmes « l’étranger de l’étranger », et cette posture se met à l’épreuve des rencontres réalisées dans l’exercice du travail social.
3A partir de cette mise en perspective, l’auteur dresse un tableau à facettes multiples de l’interculturel dans le travail social. Il décortique tout d’abord la notion d’intégration et nous rappelle avec profit que celle-ci « n’est pas une notion réservée aux seules personnes étrangères, ou d’origine étrangère, elle concerne chacune des personnes vivant en France et constitue l’élément fondateur du pacte social et du "vivre ensemble" ». L’auteur distingue ensuite intégration et assimilation et souligne le rôle des survivances de la colonisation dans les relations sociales. Enfin, il plaide pour une pluralité des appartenances et des lieux d’intégration, celle-ci étant abordée comme un processus au sein d’interactions concrètes, en lien avec les conditions économiques et sociales dans lesquelles elles se jouent.
4A partir de ces processus interactifs complexes et toujours en cours, Gilles Verbunt recense quelques questions de base pour le travailleur social.
5Comment aider à passer des coutumes à la loi ? L’auteur rappelle les contraintes fondamentales du droit français : égalité hommes/femmes, limitation du pouvoir parental, droit à l’intégrité physique ou psychique… Dans les rapports coutumes/droit national, il s’agit bien que la coutume se soumette au droit national. Mais plutôt que d’opposer droit et coutume, il s’agit de construire, pas à pas, un comportement éthique sur des fondements présents dans toutes les cultures. Pas de recette pour cela, mais des repères à prendre au sein des phénomènes comme l’honneur, des sentiments de honte et de culpabilité, des modes de contrôle social par l’environnement ; il s’agit aussi de reconnaître les prises de risque effectives dans ce qui sera vécu et considéré comme des transgressions culturelles et religieuses. Dans ce rapport au droit national, l’auteur plaide pour une naturalisation qui ne soit pas l’achèvement d’un processus d’intégration, mais comme la part d’un processus soutenant cette intégration. Cela amène alors à concevoir un rapport entre travail social et engagement militant ou politique, qui pense à associer tous les citoyens dans l’action sociale qui les concerne.
6Comment, par ailleurs, l’expérience de la migration bouscule-t-elle places, statuts, rôles et représentations ? Le travailleur social œuvre avec des personnes contraintes à des remaniements tant sociaux que psychiques, remaniements se réalisant plus ou moins bien selon les conditions dans lesquels ils prennent place. Les relations hommes/femmes, le rapport à la maternité, aux enfants, au mariage, au corps, à la maladie physique ou mentale, sont quelques-uns des champs où des transformations peuvent s’opérer et qui demandent de la part du travailleur social de savoir écouter et regarder où en est la personne concernée dans le cours de ces transformations ou de ces mutations, sans la fixer à sa culture d’origine, ni l’assimiler à la culture de la société d’accueil.
7Le dialogue interculturel est alors tout d’abord un effort. Effort du côté du travailleur social pour transformer ses représentations sociales, effort pour l’autre à transformer les siennes. Dans la situation multiculturelle de fait, il s’agit de dépasser préjugés et stéréotypes pour favoriser un retour de soi sur soi et de l’autre sur lui-même, et entrer dans une démarche interculturelle.
8Gilles Verbunt décrit et analyse pour terminer les situations interculturelles sensibles où les différences de perception sont vitales à travailler. Les modes d’accès à l’emploi, les façons de gérer l’argent, les manières d’investir l’habitat, les modes de solidarité, le rapport au religieux et les manipulations intégristes, les mariages forcés, l’excision, la polygamie, les divorces/répudiations, les modes d’éducation des enfants et d’exercice de l’autorité, la santé mentale, la mort sont autant de pierres de touche fréquentes dans l’exercice du travail social. Sont discutées alors les adaptations institutionnelles possibles, telles que la discrimination positive, le développement d’une culture du compromis, le travail en partenariat, la médiation et ses conditions, l’apparition de nouvelles figures sociales comme les femmes-relais. L’auteur insiste au final sur l’importance de la formation à l’interculturel.
9On peut regretter le survol parfois hâtif d’un certain nombre de questions évoquées, comme celle de l’excision, de l’ethnopsychiatrie ou du plurilinguisme en France, dont la complexité n’est pas suffisamment soulignée et où travaux et services existants ne sont pas mentionnés. Un certain nombre de données, comme celles concernant les conditions d’entrée et de séjour des étrangers, la naturalisation, l’accès à l’emploi, ou l’état des rapports sociaux aujourd’hui seraient par ailleurs déjà à réactualiser. Il n’en demeure pas moins que l’ouvrage constitue une référence introductive de base, pédagogique, truffée de références bibliographiques récentes permettant au lecteur d’approfondir son approche selon ses besoins particuliers. On en retiendra la complexité de l’approche interculturelle et la posture de base qu’elle exige, par ce retournement initial à effectuer pour entrer dans la relation à l’étranger, paradigme de la relation à l’autre.La question interculturelle dans le travail social : repères et perspectives [texte imprimé] / Gilles Verbunt (19..-2014), Auteur . - Paris : la Découverte, 2004 . - 218 p. ; 22 cm. - (Alternatives sociales (Paris), ISSN 1159-8549) .
ISBN : 978-2-7071-4321-1 : 18 EUR
Bibliogr. p 211-213
Langues : Français (fre)
Mots-clés : travail sociale modèle français modèle onglon saxon coutume migration dialogue interculturel communication institutionnelle Index. décimale : 300 Résumé : Travailler l’interculturel dans l’intervention socio-éducative fait apparaître un enchevêtrement complexe de questions que l’ouvrage a le mérite de repérer et de différencier, tout en examinant leurs contours.
2Pour mettre en perspective la « question interculturelle », Gilles Verbunt part de deux postulats. Le premier est celui d’un parti pris positif sur les différences culturelles autochtones/étrangers, ou travailleurs sociaux/étrangers. Celles-ci concernent également le rapport des institutions françaises avec les agents exerçant sur le terrain. Le deuxième est celui de l’affirmation que l’interculturel commence avec un effort de connaissance de soi et de sa propre culture. En poussant le point de vue de Gilles Verbunt, on pourrait dire qu’il s’agit, en effet, de nous représenter nous-mêmes comme faisant partie d’une communauté quelconque, parmi toutes les autres. Cette imagination fait alors de nous-mêmes « l’étranger de l’étranger », et cette posture se met à l’épreuve des rencontres réalisées dans l’exercice du travail social.
3A partir de cette mise en perspective, l’auteur dresse un tableau à facettes multiples de l’interculturel dans le travail social. Il décortique tout d’abord la notion d’intégration et nous rappelle avec profit que celle-ci « n’est pas une notion réservée aux seules personnes étrangères, ou d’origine étrangère, elle concerne chacune des personnes vivant en France et constitue l’élément fondateur du pacte social et du "vivre ensemble" ». L’auteur distingue ensuite intégration et assimilation et souligne le rôle des survivances de la colonisation dans les relations sociales. Enfin, il plaide pour une pluralité des appartenances et des lieux d’intégration, celle-ci étant abordée comme un processus au sein d’interactions concrètes, en lien avec les conditions économiques et sociales dans lesquelles elles se jouent.
4A partir de ces processus interactifs complexes et toujours en cours, Gilles Verbunt recense quelques questions de base pour le travailleur social.
5Comment aider à passer des coutumes à la loi ? L’auteur rappelle les contraintes fondamentales du droit français : égalité hommes/femmes, limitation du pouvoir parental, droit à l’intégrité physique ou psychique… Dans les rapports coutumes/droit national, il s’agit bien que la coutume se soumette au droit national. Mais plutôt que d’opposer droit et coutume, il s’agit de construire, pas à pas, un comportement éthique sur des fondements présents dans toutes les cultures. Pas de recette pour cela, mais des repères à prendre au sein des phénomènes comme l’honneur, des sentiments de honte et de culpabilité, des modes de contrôle social par l’environnement ; il s’agit aussi de reconnaître les prises de risque effectives dans ce qui sera vécu et considéré comme des transgressions culturelles et religieuses. Dans ce rapport au droit national, l’auteur plaide pour une naturalisation qui ne soit pas l’achèvement d’un processus d’intégration, mais comme la part d’un processus soutenant cette intégration. Cela amène alors à concevoir un rapport entre travail social et engagement militant ou politique, qui pense à associer tous les citoyens dans l’action sociale qui les concerne.
6Comment, par ailleurs, l’expérience de la migration bouscule-t-elle places, statuts, rôles et représentations ? Le travailleur social œuvre avec des personnes contraintes à des remaniements tant sociaux que psychiques, remaniements se réalisant plus ou moins bien selon les conditions dans lesquels ils prennent place. Les relations hommes/femmes, le rapport à la maternité, aux enfants, au mariage, au corps, à la maladie physique ou mentale, sont quelques-uns des champs où des transformations peuvent s’opérer et qui demandent de la part du travailleur social de savoir écouter et regarder où en est la personne concernée dans le cours de ces transformations ou de ces mutations, sans la fixer à sa culture d’origine, ni l’assimiler à la culture de la société d’accueil.
7Le dialogue interculturel est alors tout d’abord un effort. Effort du côté du travailleur social pour transformer ses représentations sociales, effort pour l’autre à transformer les siennes. Dans la situation multiculturelle de fait, il s’agit de dépasser préjugés et stéréotypes pour favoriser un retour de soi sur soi et de l’autre sur lui-même, et entrer dans une démarche interculturelle.
8Gilles Verbunt décrit et analyse pour terminer les situations interculturelles sensibles où les différences de perception sont vitales à travailler. Les modes d’accès à l’emploi, les façons de gérer l’argent, les manières d’investir l’habitat, les modes de solidarité, le rapport au religieux et les manipulations intégristes, les mariages forcés, l’excision, la polygamie, les divorces/répudiations, les modes d’éducation des enfants et d’exercice de l’autorité, la santé mentale, la mort sont autant de pierres de touche fréquentes dans l’exercice du travail social. Sont discutées alors les adaptations institutionnelles possibles, telles que la discrimination positive, le développement d’une culture du compromis, le travail en partenariat, la médiation et ses conditions, l’apparition de nouvelles figures sociales comme les femmes-relais. L’auteur insiste au final sur l’importance de la formation à l’interculturel.
9On peut regretter le survol parfois hâtif d’un certain nombre de questions évoquées, comme celle de l’excision, de l’ethnopsychiatrie ou du plurilinguisme en France, dont la complexité n’est pas suffisamment soulignée et où travaux et services existants ne sont pas mentionnés. Un certain nombre de données, comme celles concernant les conditions d’entrée et de séjour des étrangers, la naturalisation, l’accès à l’emploi, ou l’état des rapports sociaux aujourd’hui seraient par ailleurs déjà à réactualiser. Il n’en demeure pas moins que l’ouvrage constitue une référence introductive de base, pédagogique, truffée de références bibliographiques récentes permettant au lecteur d’approfondir son approche selon ses besoins particuliers. On en retiendra la complexité de l’approche interculturelle et la posture de base qu’elle exige, par ce retournement initial à effectuer pour entrer dans la relation à l’étranger, paradigme de la relation à l’autre.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS3403 300-79.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : Le questionnaire : L'enquête et ses méthodes Type de document : texte imprimé Auteurs : François de Singly, Auteur ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-25987-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : Le questionnaire Résumé : Ce volume répond à deux questions indissociables : à quoi servent les enquêtes par questionnaire ? Comment produire de « bons chiffres » ? Grâce à de nombreuses enquêtes, il permet d’acquérir une double compétence : d’une part, celle de la sociologie explicative, avec la recherche des déterminants sociaux des comportements ; d’autre part, celle des règles de la formulation des questions, le choix de l’échantillon, le codage et surtout les principes de lecture des tableaux statistiques.
Tous ces actes mêlent réflexion théorique sur l’objet étudié et décision empirique. Et ce sont ces allers et retours entre les deux niveaux qui forment le raisonnement sociologique. Cette 3e édition remaniée intègre de récentes enquêtes et s’adresse aux étudiants en sciences sociales, aux chargés d’études, aux travailleurs sociaux et aux cadres des collectivités locales. François de Singly est professeur de sociologie à l’université Paris Descartes.
Sommaire
POURQUOI PRODUIRE LES CHIFFRES?
LA CONCEPTION DU QUESTIONNAIRE
LA FABRICATION DU QUESTIONNAIRE : LES DETERMINANTS SOCIAUX
LA FABRICATION DU QUESTIONNAIRE : LES REGLES DU QUESTIONNEMENT
L'EXPLOITATION DU QUESTIONNAIRELe questionnaire : L'enquête et ses méthodes [texte imprimé] / François de Singly, Auteur . - [s.d.].
ISBN : 978-2-200-25987-7
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Le questionnaire Résumé : Ce volume répond à deux questions indissociables : à quoi servent les enquêtes par questionnaire ? Comment produire de « bons chiffres » ? Grâce à de nombreuses enquêtes, il permet d’acquérir une double compétence : d’une part, celle de la sociologie explicative, avec la recherche des déterminants sociaux des comportements ; d’autre part, celle des règles de la formulation des questions, le choix de l’échantillon, le codage et surtout les principes de lecture des tableaux statistiques.
Tous ces actes mêlent réflexion théorique sur l’objet étudié et décision empirique. Et ce sont ces allers et retours entre les deux niveaux qui forment le raisonnement sociologique. Cette 3e édition remaniée intègre de récentes enquêtes et s’adresse aux étudiants en sciences sociales, aux chargés d’études, aux travailleurs sociaux et aux cadres des collectivités locales. François de Singly est professeur de sociologie à l’université Paris Descartes.
Sommaire
POURQUOI PRODUIRE LES CHIFFRES?
LA CONCEPTION DU QUESTIONNAIRE
LA FABRICATION DU QUESTIONNAIRE : LES DETERMINANTS SOCIAUX
LA FABRICATION DU QUESTIONNAIRE : LES REGLES DU QUESTIONNEMENT
L'EXPLOITATION DU QUESTIONNAIRERéservation
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Exemplaires (4)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS3494 300-103.2 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS45461 300-242.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS45459 300-242.3 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS3495 300-242.4 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : questions de communication Type de document : texte imprimé Auteurs : Walter،Jacques, Auteur Mention d'édition : ط1 Editeur : Nancy : Presses universitaires de Nancy Année de publication : 2006 Importance : 583p Format : 17*24سم Langues : Français (fre) Mots-clés : communication Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : le roles et identités dans les interactions conflictuelles -échanges-notes de recherche questions de communication [texte imprimé] / Walter،Jacques, Auteur . - ط1 . - Nancy : Presses universitaires de Nancy, 2006 . - 583p ; 17*24سم.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : communication Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : le roles et identités dans les interactions conflictuelles -échanges-notes de recherche Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS23424 335-31.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : qui est responsable de l'éches scolaire : représentations sociales attributions et role d'enseignant Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Gosling, Auteur Mention d'édition : ط1 Editeur : Paris : Presses universitaires de France Année de publication : 1992 Importance : 255p Format : 17*24سم ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13044272-2 Langues : Français (fre) Mots-clés : responsable ؛ scolaire Index. décimale : 302 Interaction sociale Résumé : Nos familles, nos écoles et nos administrations sont hantées par une idée-force : celle de l'échec scolaire. On ne peut plus en ignorer le poids, et il faut se demander sérieusement quelle est sa signification. À partir d'une enquête menée auprès de trois cents enseignants de collège, l'ouvrage analyse la perception qu'ils ont de leurs élèves, et de leurs pratiques pédagogiques. On y découvre une représentation sociale asymétrique, où l'élève idéal est celui qui réussit moyennement, et l'élève type celui qui échoue.
La vision d'ensemble aboutit à focaliser la relation pédagogique sur l'échec - mais cette focalisation n'est-elle pas de nature à renforcer l'échec lui-même ? Tel est le dilemme auquel est confrontée la pédagogie d'aujourd'hui. Au carrefour des sciences de l'homme et de la vie, la psychologie sociale a développé un domaine propre : celui de la communication, des représentations sociales, de la dynamique des groupes, des émotions, et des idéologies.
Cette collection présentera des ouvrages français, européens et américains, qui contribuent de manière originale à la connaissance de ces processus. Elle vise ainsi à marquer la présence et l'identité de la psychologie sociale dans le champ intellectuel.qui est responsable de l'éches scolaire : représentations sociales attributions et role d'enseignant [texte imprimé] / Patrick Gosling, Auteur . - ط1 . - Paris : Presses universitaires de France, 1992 . - 255p ; 17*24سم.
ISSN : 978-2-13044272-2
Langues : Français (fre)
Mots-clés : responsable ؛ scolaire Index. décimale : 302 Interaction sociale Résumé : Nos familles, nos écoles et nos administrations sont hantées par une idée-force : celle de l'échec scolaire. On ne peut plus en ignorer le poids, et il faut se demander sérieusement quelle est sa signification. À partir d'une enquête menée auprès de trois cents enseignants de collège, l'ouvrage analyse la perception qu'ils ont de leurs élèves, et de leurs pratiques pédagogiques. On y découvre une représentation sociale asymétrique, où l'élève idéal est celui qui réussit moyennement, et l'élève type celui qui échoue.
La vision d'ensemble aboutit à focaliser la relation pédagogique sur l'échec - mais cette focalisation n'est-elle pas de nature à renforcer l'échec lui-même ? Tel est le dilemme auquel est confrontée la pédagogie d'aujourd'hui. Au carrefour des sciences de l'homme et de la vie, la psychologie sociale a développé un domaine propre : celui de la communication, des représentations sociales, de la dynamique des groupes, des émotions, et des idéologies.
Cette collection présentera des ouvrages français, européens et américains, qui contribuent de manière originale à la connaissance de ces processus. Elle vise ainsi à marquer la présence et l'identité de la psychologie sociale dans le champ intellectuel.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS20258 302 -20.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : la racines communicationnelles du webet des médias sociaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Charest،Francine, Auteur Mention d'édition : ط2 Editeur : Québec : Presses de l'Université du Québec Année de publication : 2013 Importance : 165p Format : 17*24سم ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7605-3655-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : racines؛médias sociaux Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : Le Web et les médias sociaux sont considérés comme étant parmi les plus puissants outils de communication en ce début du XXIe siècle. Cet ouvrage innove en démontrant que, pour appréhender ces deux phénomènes et en tirer le meilleur parti, l’étude de leurs racines communicationnelles peut s’avérer fort utile tant pour les internautes que pour les concepteurs et les gestionnaires de sites Web et de médias sociaux.
Après avoir passé en revue les grandes approches en communication de masse et celles du champ de la communication organisationnelle propre aux relations publiques, dont certaines remontent aux années 1920, les auteurs ont été à même de dégager trois grandes racines communicationnelles du Web et des médias sociaux tirant chacune son origine d’un des principaux courants de pensée dans ces domaines : la diffusion, la réception et l’appropriation. Quoique chacune de ces racines apporte un éclairage utile sur la nature des relations entre concepteurs (émetteurs) et usagers (récepteurs) de sites Web et de médias sociaux, celle de l’appropriation est la plus riche en enseignements.
Cette deuxième édition propose un survol des principales contributions des chercheurs en communication depuis l’avènement du Web et des médias sociaux. Le lecteur y trouvera des informations sur une foule de sujets tels les normes heuristiques, les critères ergonomiques, les interactions humain-machine dans le domaine de l’ergonomie cognitive, le besoin d’interactivité chez les internautes, des exemples de modèles d’évaluation de sites Web et de médias sociaux ainsi que de nouvelles pratiques en relations publiques.la racines communicationnelles du webet des médias sociaux [texte imprimé] / Charest،Francine, Auteur . - ط2 . - Québec : Presses de l'Université du Québec, 2013 . - 165p ; 17*24سم.
ISBN : 978-2-7605-3655-5
Langues : Français (fre)
Mots-clés : racines؛médias sociaux Index. décimale : 335-Média et communication Résumé : Le Web et les médias sociaux sont considérés comme étant parmi les plus puissants outils de communication en ce début du XXIe siècle. Cet ouvrage innove en démontrant que, pour appréhender ces deux phénomènes et en tirer le meilleur parti, l’étude de leurs racines communicationnelles peut s’avérer fort utile tant pour les internautes que pour les concepteurs et les gestionnaires de sites Web et de médias sociaux.
Après avoir passé en revue les grandes approches en communication de masse et celles du champ de la communication organisationnelle propre aux relations publiques, dont certaines remontent aux années 1920, les auteurs ont été à même de dégager trois grandes racines communicationnelles du Web et des médias sociaux tirant chacune son origine d’un des principaux courants de pensée dans ces domaines : la diffusion, la réception et l’appropriation. Quoique chacune de ces racines apporte un éclairage utile sur la nature des relations entre concepteurs (émetteurs) et usagers (récepteurs) de sites Web et de médias sociaux, celle de l’appropriation est la plus riche en enseignements.
Cette deuxième édition propose un survol des principales contributions des chercheurs en communication depuis l’avènement du Web et des médias sociaux. Le lecteur y trouvera des informations sur une foule de sujets tels les normes heuristiques, les critères ergonomiques, les interactions humain-machine dans le domaine de l’ergonomie cognitive, le besoin d’interactivité chez les internautes, des exemples de modèles d’évaluation de sites Web et de médias sociaux ainsi que de nouvelles pratiques en relations publiques.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS45906 335-54.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible FSS45905 335-54.2 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
Titre : Les racines de la culture occidentale Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Braunstein, Auteur ; Jean-François Pépin (1959-....), Auteur Editeur : Paris : Ellipses Année de publication : 1995 Importance : 191 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 26 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7298-9536-1 Prix : 90 F Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Mots-clés : Que devons-nous, tous les jours, dans nos mots et nos gestes, à la Grèce, à Rome, aux mondes celtiques et barbares ou à la Bible ? C'est ce fonds, plus ou moins conscient et présent à notre esprit, qui forme les Racines de la culture occidentale. Présentés sous une forme claire et concise, les grands mouvements intellectuels, artistiques et techniques permettent de comprendre quel a été leur apport pour la culture occidentale.Présentés sous une forme claire et concise, les grands mouvements intellectuels, artistiques et techniques permettent de comprendre quel a été leur apport pour la culture occidentale. Index. décimale : 306 Résumé : Que devons-nous, tous les jours, dans nos mots et nos gestes, à la Grèce, à Rome, aux mondes celtiques et barbares ou à la Bible ? C'est ce fonds, plus ou moins conscient et présent à notre esprit, qui forme les Racines de la culture occidentale. Présentés sous une forme claire et concise, les grands mouvements intellectuels, artistiques et techniques permettent de comprendre quel a été leur apport pour la culture occidentale.
Présentés sous une forme claire et concise, les grands mouvements intellectuels, artistiques et techniques permettent de comprendre quel a été leur apport pour la culture occidentale.Les racines de la culture occidentale [texte imprimé] / Florence Braunstein, Auteur ; Jean-François Pépin (1959-....), Auteur . - Paris : Ellipses, 1995 . - 191 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 26 cm.
ISBN : 2-7298-9536-1 : 90 F
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Mots-clés : Que devons-nous, tous les jours, dans nos mots et nos gestes, à la Grèce, à Rome, aux mondes celtiques et barbares ou à la Bible ? C'est ce fonds, plus ou moins conscient et présent à notre esprit, qui forme les Racines de la culture occidentale. Présentés sous une forme claire et concise, les grands mouvements intellectuels, artistiques et techniques permettent de comprendre quel a été leur apport pour la culture occidentale.Présentés sous une forme claire et concise, les grands mouvements intellectuels, artistiques et techniques permettent de comprendre quel a été leur apport pour la culture occidentale. Index. décimale : 306 Résumé : Que devons-nous, tous les jours, dans nos mots et nos gestes, à la Grèce, à Rome, aux mondes celtiques et barbares ou à la Bible ? C'est ce fonds, plus ou moins conscient et présent à notre esprit, qui forme les Racines de la culture occidentale. Présentés sous une forme claire et concise, les grands mouvements intellectuels, artistiques et techniques permettent de comprendre quel a été leur apport pour la culture occidentale.
Présentés sous une forme claire et concise, les grands mouvements intellectuels, artistiques et techniques permettent de comprendre quel a été leur apport pour la culture occidentale.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS20889 306-14.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible Racisme, libéralisme et les limites du tolérable
Titre : Racisme, libéralisme et les limites du tolérable : actes du colloque sur le racisme et la tolérance, Université de Genève, 8 et 9 novembre 2000 Type de document : texte imprimé Auteurs : William Ossipow (1943-....), Editeur scientifique ; François Dermange, Editeur scientifique ; Gaetan Clavien, Editeur scientifique ; Université de Genève, Editeur scientifique Editeur : Genève : Georg ed. Année de publication : 2003 Importance : 1 vol. (XII-209 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-8257-0841-0 Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Mots-clés : Racisme libéralisme et les limites du tolérable actes du colloque sur le racisme la tolérance Université de Genève 8 et 9 novembre 2000. Index. décimale : 300 Résumé : Peut-on défendre n'importe quelle opinion dans une société libérale ? Peut-on être discriminatoire, sexiste ou raciste ? Certains le pensent, qui font de la tolérance le principe même du libéralisme politique. Ce que l'Etat devrait protéger serait avant tout la liberté de la conscience et de l'expression personnelle, à la fois dans la sphère privée, et pourquoi pas dans la sphère publique. D'autres voient cependant dans la tolérance un concept régulateur. La tolérance reconnaît certes une pluralité d'expressions légitimes, mais à l'intérieur d'un cadre défini : celui d'un intolérable qui contredirait le principe même de l'égalité et de la diversité que le libéralisme entend reconnaître et protéger
A partir d'approches disciplinaires diverses, ce volume présente les enjeux de ce débat : faut-il tout tolérer ? doit-on mettre sur le même plan l'intolérance religieuse, le racisme et la discrimination ? suffit-il de séparer sphère publique et sphère privée ? sur quoi fonder la définition et les critères de l'intolérable ? l'universalisme n'est-il pas lui-même source paradoxale de ségrégation
Par delà le thème de la tolérance, ce volume interroge ainsi le fondement même du libéralisme politique : comment tenir compte des objections au projet hérité des Lumières, sans renoncer à l'humanisme et à l'universalisme qui s'y exprimenRacisme, libéralisme et les limites du tolérable : actes du colloque sur le racisme et la tolérance, Université de Genève, 8 et 9 novembre 2000 [texte imprimé] / William Ossipow (1943-....), Editeur scientifique ; François Dermange, Editeur scientifique ; Gaetan Clavien, Editeur scientifique ; Université de Genève, Editeur scientifique . - Genève : Georg ed., 2003 . - 1 vol. (XII-209 p.) ; 23 cm.
ISBN : 2-8257-0841-0
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Mots-clés : Racisme libéralisme et les limites du tolérable actes du colloque sur le racisme la tolérance Université de Genève 8 et 9 novembre 2000. Index. décimale : 300 Résumé : Peut-on défendre n'importe quelle opinion dans une société libérale ? Peut-on être discriminatoire, sexiste ou raciste ? Certains le pensent, qui font de la tolérance le principe même du libéralisme politique. Ce que l'Etat devrait protéger serait avant tout la liberté de la conscience et de l'expression personnelle, à la fois dans la sphère privée, et pourquoi pas dans la sphère publique. D'autres voient cependant dans la tolérance un concept régulateur. La tolérance reconnaît certes une pluralité d'expressions légitimes, mais à l'intérieur d'un cadre défini : celui d'un intolérable qui contredirait le principe même de l'égalité et de la diversité que le libéralisme entend reconnaître et protéger
A partir d'approches disciplinaires diverses, ce volume présente les enjeux de ce débat : faut-il tout tolérer ? doit-on mettre sur le même plan l'intolérance religieuse, le racisme et la discrimination ? suffit-il de séparer sphère publique et sphère privée ? sur quoi fonder la définition et les critères de l'intolérable ? l'universalisme n'est-il pas lui-même source paradoxale de ségrégation
Par delà le thème de la tolérance, ce volume interroge ainsi le fondement même du libéralisme politique : comment tenir compte des objections au projet hérité des Lumières, sans renoncer à l'humanisme et à l'universalisme qui s'y exprimenExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS3527 040.300-08.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Exclu du prêt
Titre : le raisonnement sociologique : un espace non poppérien de l'argumentation Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Passeron, Auteur Editeur : Paris : Édition Albin Michel Année de publication : 2006 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-226-15889-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sociologie Démographie cumulation paradigmes Histoire cultures populisme misérabilisme Résumé : cience ou non ? Comme les autres ou pas ? La sociologie ne peut répondre à cette question en son nom seul. La comparaison entre des configurations historiques, toujours singulières, qui fait le ressort du raisonnement sociologique et garantit ainsi la pertinence descriptive des concepts typologiques utilisés dans toutes les sciences sociales, n'a jamais pu engendrer la " science expérimentale des faits sociaux " qu'avait espérée Durkheim. Dans ce livre fondateur, publié pour la première fois en 1991, Jean-Claude Passeron montre que " l'espace logique " dans lequel la sociologie articule ses constats empiriques et ses argumentations reste irréductible, même quand elle recourt à des méthodes quantitatives ou à la formalisation, à celui de la " falsifiabilité " décrit par Pop le raisonnement sociologique : un espace non poppérien de l'argumentation [texte imprimé] / Jean-Claude Passeron, Auteur . - [S.l.] : Paris : Édition Albin Michel, 2006.
ISBN : 978-2-226-15889-5
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sociologie Démographie cumulation paradigmes Histoire cultures populisme misérabilisme Résumé : cience ou non ? Comme les autres ou pas ? La sociologie ne peut répondre à cette question en son nom seul. La comparaison entre des configurations historiques, toujours singulières, qui fait le ressort du raisonnement sociologique et garantit ainsi la pertinence descriptive des concepts typologiques utilisés dans toutes les sciences sociales, n'a jamais pu engendrer la " science expérimentale des faits sociaux " qu'avait espérée Durkheim. Dans ce livre fondateur, publié pour la première fois en 1991, Jean-Claude Passeron montre que " l'espace logique " dans lequel la sociologie articule ses constats empiriques et ses argumentations reste irréductible, même quand elle recourt à des méthodes quantitatives ou à la formalisation, à celui de la " falsifiabilité " décrit par Pop Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité FSS12626 300-06.1 Ouvrage Faculté des Sciences Sociales 300 - Sciences sociales Disponible
[périodique] Voir les bulletins disponibles
Titre : le rapport de l'observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale Type de document : texte imprimé Editeur : Paris : la Documentation française Année de publication : 2004 Importance : 161 p Format : 16*24cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-11-005634-4 Note générale : FSS3486*FSS3487 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Mots-clés : sociologie la pauvreté l’exclusion sociale Index. décimale : 361.1 Résumé : Rapport 2003-2004 de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale
Dans ce troisième rapport, l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale a souhaité préciser le rôle des transferts sociaux sur la réduction de la pauvreté, ainsi que l’impact des réformes socio-fiscales récentes. Il a poursuivi l’analyse de l’accès aux droits fondamentaux : logement, santé, éducation et services bancaires.
Ses principales conclusions sont les suivantes
Sur le long terme, la pauvreté concerne moins de personnes, mais touche aujourd’hui davantage les actifs que les retraités. Avec un seuil de pauvreté à 50 % du revenu médian, et sur la période récente de 1996 à 2001, la proportion de ménages pauvres a encore diminué mais faiblement : 7,2 % des ménages étaient pauvres en 1996 contre 6,1 % en 2001. Cette diminution a surtout concerné les ménages d’actifs, qu’ils soient salariés ou chômeurs ; la reprise de l’emploi a bénéficié en priorité aux chômeurs ayant les caractéristiques les plus favorables. Il restait cependant environ 1 million de travailleurs pauvres en 2001, même si leur nombre a fortement diminué depuis 1996.
Depuis 2002, il y a une probable inflexion à la hausse : le nombre d’allocataires du Rmi a augmenté de 1,4 % en 2002 et de 4,9 % en 2003 ; en 2004, la réforme de l’assurance chômage devrait a priori renforcer cette tendance.
Les prestations sociales jouent un rôle majeur dans la réduction de la pauvreté. Elles représentaient plus de 50 % des revenus des ménages les plus modestes en 2002, les aides au logement ayant un impact aussi important que les minima sociaux.
Les transferts sociaux et les politiques d’emploi sont complémentaires dans la lutte contre la pauvreté. Le retour à l’emploi n’est pas motivé par les seules incitations financières et d’ailleurs, les allocataires de minima sociaux ne sont pas coupés de l’emploi. Ainsi, en 2003, un quart des allocataires du Rmi, de l’Ass et de l’Api de décembre 2001 avaient retrouvé un emploi. L’impact des mesures sur le retour à l’emploi est surtout favorable pour les emplois dans le secteur marchand, les contrats aidés du secteur non marchand (Ces et Cec) connaissent des taux d’insertion durable dans l’emploi moins élevés mais leurs bénéficiaires sont moins qualifiés et depuis plus longtemps au chômage.
L’accès aux droits fondamentaux
Malgré les efforts réalisés en matière d’accès aux droits, en particulier dans le domaine de la santé, la vie quotidienne des personnes pauvres est marquée par de nombreuses difficultés qui rendent difficiles la sortie de la pauvreté. En 2003, plus de la moitié des allocataires de minima sociaux recherchent activement un emploi, mais près des 2/3 d’entre eux se heurte dans cette recherche à des contraintes liées aux transports, aux gardes d’enfants et à d’autres handicaps spécifiques.
Les aides au logement, qui progressent moins vite que les loyers, et le parc social ne suffisent pas à compenser les difficultés d’accès au logement des ménages pauvres. Leur loyer a augmenté en moyenne de près de 80 % entre 1988 et 2002 et de plus 100 % dans le seul parc privé. Ces ménages doivent faire face à des charges de loyer qui pèsent de plus en plus lourd sur leur budget, en particulier les personnes isolées qui sont majoritairement logées dans la parc privé. L’offre de logement dans le parc social ne permet pas de faire face à la demande croissante de logement de personnes. Les possibilités de déménagement voire d’accès au logement sont de plus en plus contraintes pour les ménages pauvres.
L’amélioration de l’accès au système de soins à travers l’instauration de la Cmu complémentaire a réduit le renoncement aux soins pour raisons financières. Pour autant, les déterminants sociaux de la santé et leur imbrication avec les parcours personnels continuent de jouer un rôle fondamental comme en témoigne l’état de santé dégradé des personnes touchées par la précarité ; en matière d’éducation, l’échec scolaire reste socialement marqué : le taux de retard en 6e est de 35 % pour les familles les plus pauvres, contre 12 % pour les plus riches. Il expose les jeunes des familles défavorisées à des parcours professionnels chaotiques. Si moins de 1 % des ménages sont totalement exclus des services bancaires, les conditions d’accès restent discriminatoires : 54 % des allocataires de minima sociaux disposent d’un chéquier (contre 96 % pour l’ensemble de la population) et 40 % d’une carte bancaire (contre 79 %). Ils ont peu accès aux crédits bancaires. Ces carences conduisent à une surutilisation des crédits revolving par les plus pauvres.En ligne : https://www.google.com/search?rlz=1C1QJDB_enDZ782DZ782&biw=1920&bih=969&sxsrf=AC [...] [périodique] Voir les bulletins disponibles le rapport de l'observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale [texte imprimé] . - Paris : la Documentation française, 2004 . - 161 p ; 16*24cm.
ISBN : 978-2-11-005634-4
FSS3486*FSS3487
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Mots-clés : sociologie la pauvreté l’exclusion sociale Index. décimale : 361.1 Résumé : Rapport 2003-2004 de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale
Dans ce troisième rapport, l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale a souhaité préciser le rôle des transferts sociaux sur la réduction de la pauvreté, ainsi que l’impact des réformes socio-fiscales récentes. Il a poursuivi l’analyse de l’accès aux droits fondamentaux : logement, santé, éducation et services bancaires.
Ses principales conclusions sont les suivantes
Sur le long terme, la pauvreté concerne moins de personnes, mais touche aujourd’hui davantage les actifs que les retraités. Avec un seuil de pauvreté à 50 % du revenu médian, et sur la période récente de 1996 à 2001, la proportion de ménages pauvres a encore diminué mais faiblement : 7,2 % des ménages étaient pauvres en 1996 contre 6,1 % en 2001. Cette diminution a surtout concerné les ménages d’actifs, qu’ils soient salariés ou chômeurs ; la reprise de l’emploi a bénéficié en priorité aux chômeurs ayant les caractéristiques les plus favorables. Il restait cependant environ 1 million de travailleurs pauvres en 2001, même si leur nombre a fortement diminué depuis 1996.
Depuis 2002, il y a une probable inflexion à la hausse : le nombre d’allocataires du Rmi a augmenté de 1,4 % en 2002 et de 4,9 % en 2003 ; en 2004, la réforme de l’assurance chômage devrait a priori renforcer cette tendance.
Les prestations sociales jouent un rôle majeur dans la réduction de la pauvreté. Elles représentaient plus de 50 % des revenus des ménages les plus modestes en 2002, les aides au logement ayant un impact aussi important que les minima sociaux.
Les transferts sociaux et les politiques d’emploi sont complémentaires dans la lutte contre la pauvreté. Le retour à l’emploi n’est pas motivé par les seules incitations financières et d’ailleurs, les allocataires de minima sociaux ne sont pas coupés de l’emploi. Ainsi, en 2003, un quart des allocataires du Rmi, de l’Ass et de l’Api de décembre 2001 avaient retrouvé un emploi. L’impact des mesures sur le retour à l’emploi est surtout favorable pour les emplois dans le secteur marchand, les contrats aidés du secteur non marchand (Ces et Cec) connaissent des taux d’insertion durable dans l’emploi moins élevés mais leurs bénéficiaires sont moins qualifiés et depuis plus longtemps au chômage.
L’accès aux droits fondamentaux
Malgré les efforts réalisés en matière d’accès aux droits, en particulier dans le domaine de la santé, la vie quotidienne des personnes pauvres est marquée par de nombreuses difficultés qui rendent difficiles la sortie de la pauvreté. En 2003, plus de la moitié des allocataires de minima sociaux recherchent activement un emploi, mais près des 2/3 d’entre eux se heurte dans cette recherche à des contraintes liées aux transports, aux gardes d’enfants et à d’autres handicaps spécifiques.
Les aides au logement, qui progressent moins vite que les loyers, et le parc social ne suffisent pas à compenser les difficultés d’accès au logement des ménages pauvres. Leur loyer a augmenté en moyenne de près de 80 % entre 1988 et 2002 et de plus 100 % dans le seul parc privé. Ces ménages doivent faire face à des charges de loyer qui pèsent de plus en plus lourd sur leur budget, en particulier les personnes isolées qui sont majoritairement logées dans la parc privé. L’offre de logement dans le parc social ne permet pas de faire face à la demande croissante de logement de personnes. Les possibilités de déménagement voire d’accès au logement sont de plus en plus contraintes pour les ménages pauvres.
L’amélioration de l’accès au système de soins à travers l’instauration de la Cmu complémentaire a réduit le renoncement aux soins pour raisons financières. Pour autant, les déterminants sociaux de la santé et leur imbrication avec les parcours personnels continuent de jouer un rôle fondamental comme en témoigne l’état de santé dégradé des personnes touchées par la précarité ; en matière d’éducation, l’échec scolaire reste socialement marqué : le taux de retard en 6e est de 35 % pour les familles les plus pauvres, contre 12 % pour les plus riches. Il expose les jeunes des familles défavorisées à des parcours professionnels chaotiques. Si moins de 1 % des ménages sont totalement exclus des services bancaires, les conditions d’accès restent discriminatoires : 54 % des allocataires de minima sociaux disposent d’un chéquier (contre 96 % pour l’ensemble de la population) et 40 % d’une carte bancaire (contre 79 %). Ils ont peu accès aux crédits bancaires. Ces carences conduisent à une surutilisation des crédits revolving par les plus pauvres.En ligne : https://www.google.com/search?rlz=1C1QJDB_enDZ782DZ782&biw=1920&bih=969&sxsrf=AC [...] la rationalité
Titre : la rationalité : mythes et réalités Type de document : texte imprimé Mention d'édition : ط1 Editeur : Paris : Harmattan Année de publication : 2010 Importance : 320p Format : 17*24سم ISBN/ISSN/EAN : 978-2-296-11393-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : rationalité Index. décimale : 300sociology Résumé : evolution conventions mimetisme et rationalite-emotions culture et rationalite-performance et rationalite-decision et expertise la rationalité : mythes et réalités [texte imprimé] . - ط1 . - Paris : Harmattan, 2010 . - 320p ; 17*24سم.
ISBN : 978-2-296-11393-0
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Mots-clés : rationalité Index. décimale : 300sociology Résumé : evolution conventions mimetisme et rationalite-emotions culture et rationalite-performance et rationalite-decision et expertise Réservation
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