Titre : |
La féminisation des noms de métiers, fonctions, grades ou titres : au Québec, en Suisse romande, en France et en Communauté française de Belgique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre Bouchard, Auteur ; Noëlle Guilloton, Auteur ; Pierrette Vachon-L'Heureux, Auteur |
Editeur : |
Paris : Service de la langue française, Ministère de la communauté française |
Année de publication : |
1999 |
Autre Editeur : |
Bruxelles : De Boeck.duculot |
Importance : |
80 p. |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-8011-1230-4 |
Note générale : |
Numéro de : "Français & société", ISSN 1375-4599, 10, 1999 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Français (langue) Genre (linguistique) Politique linguistique Pays de langue française. |
Résumé : |
L'objectif de cette thèse était d'étudier la féminisation des noms d'emploi, des titres, des grades et des fonctions en France et au Québec, et de découvrir si la féminisation est réellement utilisée de manière courante dans la presse d'aujourd'hui. Depuis les années 1970, on assiste à une augmentation de la féminisation dans le monde du travail et la féminisation commence officiellement au Québec dès 1976, puis en France au début des années 1980. La volonté de mettre en œuvre la féminisation dans le langage courant a commencé par des documents officiels. Les gouvernements respectifs ont publié des recommandations à suivre concernant la néologie et le néologisme de ces noms. Je me suis concentré sur les similitudes et les différences possibles entre les conseils de l'Académie française et du Journal Officiel en France et de l'Office du Québec, et je les ai également comparés à la situation en Norvège. Mon hypothèse, et point de départ de cette thèse, était qu'il existe un certain lien entre la parité de genre dans la société d'une part et la quantité et la fréquence des noms féminisés d'autre part. D’après les informations trouvées tout au long de mon travail de thèse, il ressort que la parité hommes-femmes est moins importante en France et au Québec qu’en Norvège. Une des raisons pour lesquelles la situation varie entre ces endroits est peut-être que l'on ne ressent pas le même besoin de distinguer les hommes des femmes dans la langue d'un pays où la parité est fortement présente, comme c'est le cas dans la société norvégienne. |
La féminisation des noms de métiers, fonctions, grades ou titres : au Québec, en Suisse romande, en France et en Communauté française de Belgique [texte imprimé] / Pierre Bouchard, Auteur ; Noëlle Guilloton, Auteur ; Pierrette Vachon-L'Heureux, Auteur . - [S.l.] : Paris : Service de la langue française, Ministère de la communauté française : Bruxelles : De Boeck.duculot, 1999 . - 80 p. ; 24 cm. ISBN : 978-2-8011-1230-4
Numéro de : "Français & société", ISSN 1375-4599, 10, 1999 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Français (langue) Genre (linguistique) Politique linguistique Pays de langue française. |
Résumé : |
L'objectif de cette thèse était d'étudier la féminisation des noms d'emploi, des titres, des grades et des fonctions en France et au Québec, et de découvrir si la féminisation est réellement utilisée de manière courante dans la presse d'aujourd'hui. Depuis les années 1970, on assiste à une augmentation de la féminisation dans le monde du travail et la féminisation commence officiellement au Québec dès 1976, puis en France au début des années 1980. La volonté de mettre en œuvre la féminisation dans le langage courant a commencé par des documents officiels. Les gouvernements respectifs ont publié des recommandations à suivre concernant la néologie et le néologisme de ces noms. Je me suis concentré sur les similitudes et les différences possibles entre les conseils de l'Académie française et du Journal Officiel en France et de l'Office du Québec, et je les ai également comparés à la situation en Norvège. Mon hypothèse, et point de départ de cette thèse, était qu'il existe un certain lien entre la parité de genre dans la société d'une part et la quantité et la fréquence des noms féminisés d'autre part. D’après les informations trouvées tout au long de mon travail de thèse, il ressort que la parité hommes-femmes est moins importante en France et au Québec qu’en Norvège. Une des raisons pour lesquelles la situation varie entre ces endroits est peut-être que l'on ne ressent pas le même besoin de distinguer les hommes des femmes dans la langue d'un pays où la parité est fortement présente, comme c'est le cas dans la société norvégienne. |
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