Titre : |
Autour du verbe anglais |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Geneviève Girard-Gillet, Auteur |
Editeur : |
Paris : Presses Sorbonne nouvelle |
Année de publication : |
2014 |
Importance : |
1 vol. (198 p.) |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87854-629-3 |
Langues : |
Français (fre) Anglais (eng) |
Résumé : |
Tout le monde sait ce qu'est un verbe et le rôle qu'il joue dans un énoncé. Mais les difficultés commencent, lorsque l'on souhaite comprendre ses interactions avec les autres données de l'énoncé. Le Petit Prince peut demander à l'aviateur de lui dessiner un mouton, mais peut-il lui demander de dessiner aller, noir ou donner ? Le verbe est la cheville ouvrière de l'énoncé ; il détermine la présence de tel ou tel syntagme nominal, adverbial, prépositionnel ; mais il est également l'expression du lien que l'énonciateur noue entre tous les éléments de l'énoncé. Plusieurs questions se posent alors. L'énonciateur part-il des atonies de sens verbaux pour les organiser autour d'autres éléments sémiques ? A-t-il recours à des constructions globales comme autant de générateurs de sens ? Comment le noeud verbal peut-il orienter la perception et l'interprétation de l'interlocuteur, quand l'énonciateur se mer, en quelque sorte, en scène, pour affirmer ses dires ? Comment s'interprète l'énoncé quand le verbe est absent ? Autour de trois grandes problématiques actuelles : construction, lexique et évidentialité, les auteurs proposent, à partir de données en contexte, leur approche personnelle de ce qui constitue la complexité de la construction du sens.
|
Autour du verbe anglais [texte imprimé] / Geneviève Girard-Gillet, Auteur . - Paris : Presses Sorbonne nouvelle, 2014 . - 1 vol. (198 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-87854-629-3 Langues : Français ( fre) Anglais ( eng)
Résumé : |
Tout le monde sait ce qu'est un verbe et le rôle qu'il joue dans un énoncé. Mais les difficultés commencent, lorsque l'on souhaite comprendre ses interactions avec les autres données de l'énoncé. Le Petit Prince peut demander à l'aviateur de lui dessiner un mouton, mais peut-il lui demander de dessiner aller, noir ou donner ? Le verbe est la cheville ouvrière de l'énoncé ; il détermine la présence de tel ou tel syntagme nominal, adverbial, prépositionnel ; mais il est également l'expression du lien que l'énonciateur noue entre tous les éléments de l'énoncé. Plusieurs questions se posent alors. L'énonciateur part-il des atonies de sens verbaux pour les organiser autour d'autres éléments sémiques ? A-t-il recours à des constructions globales comme autant de générateurs de sens ? Comment le noeud verbal peut-il orienter la perception et l'interprétation de l'interlocuteur, quand l'énonciateur se mer, en quelque sorte, en scène, pour affirmer ses dires ? Comment s'interprète l'énoncé quand le verbe est absent ? Autour de trois grandes problématiques actuelles : construction, lexique et évidentialité, les auteurs proposent, à partir de données en contexte, leur approche personnelle de ce qui constitue la complexité de la construction du sens.
|
|  |