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Titre :	Matérialisme et théorie de la connaissance : essai sur le rapport de la philosophie à l'idéologie
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Claude Blanchard, Auteur
Editeur :	[Paris] : Ellipses
Année de publication :	1996
Importance :	156 p.
Présentation :	couv. ill.
Format :	19 cm.
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-7298-5653-3
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Marx, Karl (1818-1883)  Théorie de la connaissance  Philosophie politique  Matérialisme dialectique  Idéalisme (philosophie)  Idéologie  Philosophie marxiste.
Résumé :	La théorie de la connaissance n'est-elle qu'un procédé inventé par la philosophie idéaliste, elle-même au service de l'idéologie bourgoise, pour assurer le triomphe de la thèse du primat de la pensée de l'être ? Est-elle par la même incompatible avec le matérialisme ? N'est-elle pas plutôt une démarche qui s'impose à la raison humaine indépendamment de tout présupposé idéologique ? Ces questions, qui seront examinés ici à partir d'une étude critique de textes d'Althusser, de Lecourt et de Marx lui-même, renvoient à la question plus générale du rapport de la phillosophie entretient d'une part avec l'idiologie (et, par son intermédiaire, avec la politique), d'autres part avec les sciences. Elles conduisent en outre à un réexamen de la thèse marxiste du partage de la philosophie en deux camps : celui des matérialistes qu affirmrnt le primat de l'être sur la pensée; celui des idéalistes qui affirment le primat de la pensée sur l'être.
Note de contenu :	Notes bibliogr.

Matérialisme et théorie de la connaissance : essai sur le rapport de la philosophie à l'idéologie [texte imprimé] / Claude Blanchard, Auteur . - [Paris] : Ellipses, 1996 . - 156 p. : couv. ill. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-7298-5653-3
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Marx, Karl (1818-1883)  Théorie de la connaissance  Philosophie politique  Matérialisme dialectique  Idéalisme (philosophie)  Idéologie  Philosophie marxiste.
Résumé :	La théorie de la connaissance n'est-elle qu'un procédé inventé par la philosophie idéaliste, elle-même au service de l'idéologie bourgoise, pour assurer le triomphe de la thèse du primat de la pensée de l'être ? Est-elle par la même incompatible avec le matérialisme ? N'est-elle pas plutôt une démarche qui s'impose à la raison humaine indépendamment de tout présupposé idéologique ? Ces questions, qui seront examinés ici à partir d'une étude critique de textes d'Althusser, de Lecourt et de Marx lui-même, renvoient à la question plus générale du rapport de la phillosophie entretient d'une part avec l'idiologie (et, par son intermédiaire, avec la politique), d'autres part avec les sciences. Elles conduisent en outre à un réexamen de la thèse marxiste du partage de la philosophie en deux camps : celui des matérialistes qu affirmrnt le primat de l'être sur la pensée; celui des idéalistes qui affirment le primat de la pensée sur l'être.
Note de contenu :	Notes bibliogr.