Titre : |
Les mystères de Paris Tome 2 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Eugène Sue (1804-1857), Auteur ; Hubert Juin (1926-1987), Préfacier, etc. |
Editeur : |
Bruxelles : Éd. Complexe |
Année de publication : |
1989 |
Collection : |
Les Romans terribles (Bruxelles), ISSN 0777-6780 num. 14-17 |
Titres uniformes : |
Les mystères de Paris : français
|
Importance : |
477 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87027-305-0 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Oui, les mystères de Paris relèvent du feuilleton, comme La Cousine Bette, comme Splendeurs et misères des courtisanes, chefs-d'œuvre de Balzac, comme tout Dumas et presque tout Sand ; et, comme Hugo dans Les misérables, Sue donne à son feuilleton une extraordinaire dimension dans le noir. Le mélo est là, assurément. Et colossal, coupant le souffle avec la brutalité en noir et blanc de ses éclairages violents, avec ses héros campés sans ambiguïté dans la noblesse ou dans l'atroce ; avec surtout, puisqu'il s'agit de Paris et de ses mystères, un extraordinaire décor posant la cité moderne comme un personnage épique : ville-foule, ville-château bâtie sur un monde d'entrailles souterraines, caves-caveaux, égouts, couloirs ; ville-cancer qui attire et qui dévore, use, corrompt, ouvrant à la fois toutes les avenues du pouvoir et tous les chemins de la perdition. |
Les mystères de Paris Tome 2 [texte imprimé] / Eugène Sue (1804-1857), Auteur ; Hubert Juin (1926-1987), Préfacier, etc. . - Bruxelles : Éd. Complexe, 1989 . - 477 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Les Romans terribles (Bruxelles), ISSN 0777-6780; 14-17) . ISBN : 978-2-87027-305-0 Oeuvre : Les mystères de Paris : français Langues : Français ( fre)
Résumé : |
Oui, les mystères de Paris relèvent du feuilleton, comme La Cousine Bette, comme Splendeurs et misères des courtisanes, chefs-d'œuvre de Balzac, comme tout Dumas et presque tout Sand ; et, comme Hugo dans Les misérables, Sue donne à son feuilleton une extraordinaire dimension dans le noir. Le mélo est là, assurément. Et colossal, coupant le souffle avec la brutalité en noir et blanc de ses éclairages violents, avec ses héros campés sans ambiguïté dans la noblesse ou dans l'atroce ; avec surtout, puisqu'il s'agit de Paris et de ses mystères, un extraordinaire décor posant la cité moderne comme un personnage épique : ville-foule, ville-château bâtie sur un monde d'entrailles souterraines, caves-caveaux, égouts, couloirs ; ville-cancer qui attire et qui dévore, use, corrompt, ouvrant à la fois toutes les avenues du pouvoir et tous les chemins de la perdition. |
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