| Titre : |
Droit et bioéthique |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Valérie Sebag,, Auteur |
| Editeur : |
belgique : Larcier |
| Année de publication : |
2007 |
| Importance : |
190 p |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-8044-2468-8 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
Entre le droit et la bioéthique, il existe un pont créé par le développement de la biomédecine, car c’est au travers de la genèse de la biomédecine et des interrogations éthiques qui se sont posées au fur et à mesure de son développement que s’est faite la rencontre des deux domaines.
Les applications de l’expérimentation biologique ont ouvert de nouveaux horizons à la médecine, mais l’application des biotechnologies sur la personne, notamment le pouvoir d’intervenir sur le gène, suscite des interrogations nouvelles, face auxquelles seule une réflexion adaptée peut apporter les solutions nécessaires.
De ces questionnements parallèles à l’évolution des biotechnologies de la santé est née une aire de réflexion : la bioéthique, de même que s’est imposé un constat : la nécessité de recourir à la norme législative afin d’encadrer les pratiques biomédicales. Dès lors, c’est dans la bioéthique que le droit de la biomédecine a trouvé une large part de ses fondements. C’est pourquoi, afin de comprendre le sens des règles édictées par les lois relatives à la biomédecine, il est nécessaire de savoir en quoi consiste la bioéthique (1re partie) et pourquoi, parmi les différentes sortes de normes qui ont pu être envisagées pour régir le développement de pratiques biomédicales, la légitimité du droit s’est imposée (2e partie).
D’où le titre de cet article qui, prenant acte de l’étayage de la biomédecine sur la bioéthique, s’inscrit sous le titre des rapports du droit avec la bioéthique plutôt qu’avec la biomédecine. |
Droit et bioéthique [texte imprimé] / Valérie Sebag,, Auteur . - belgique : Larcier, 2007 . - 190 p ; 21 cm. ISBN : 978-2-8044-2468-8 Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
Entre le droit et la bioéthique, il existe un pont créé par le développement de la biomédecine, car c’est au travers de la genèse de la biomédecine et des interrogations éthiques qui se sont posées au fur et à mesure de son développement que s’est faite la rencontre des deux domaines.
Les applications de l’expérimentation biologique ont ouvert de nouveaux horizons à la médecine, mais l’application des biotechnologies sur la personne, notamment le pouvoir d’intervenir sur le gène, suscite des interrogations nouvelles, face auxquelles seule une réflexion adaptée peut apporter les solutions nécessaires.
De ces questionnements parallèles à l’évolution des biotechnologies de la santé est née une aire de réflexion : la bioéthique, de même que s’est imposé un constat : la nécessité de recourir à la norme législative afin d’encadrer les pratiques biomédicales. Dès lors, c’est dans la bioéthique que le droit de la biomédecine a trouvé une large part de ses fondements. C’est pourquoi, afin de comprendre le sens des règles édictées par les lois relatives à la biomédecine, il est nécessaire de savoir en quoi consiste la bioéthique (1re partie) et pourquoi, parmi les différentes sortes de normes qui ont pu être envisagées pour régir le développement de pratiques biomédicales, la légitimité du droit s’est imposée (2e partie).
D’où le titre de cet article qui, prenant acte de l’étayage de la biomédecine sur la bioéthique, s’inscrit sous le titre des rapports du droit avec la bioéthique plutôt qu’avec la biomédecine. |
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