Titre : |
Psychanalyse, logique, éveil de coma |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Michel Balat, Auteur |
Editeur : |
Paris : l'Harmattan |
Année de publication : |
2000 |
Collection : |
L'Ouverture philosophique (Paris), ISSN 1269-8970 |
Importance : |
252 p. |
Présentation : |
ill. |
Format : |
21*13 cm. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7384-9346-0 |
Prix : |
140 F |
Note générale : |
La couv. porte aussi : "le musement du scribe" |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
la réalité du signe la surprise le musement,de pierce à lacan introduction aux graphes existentiels de peirce la division du sujet |
Index. décimale : |
150 |
Résumé : |
Pierce, Freud, Lacan… quelques autres, et non des moindres, sont appelés au chevet de tramatisés crâniens. Pour cela, il faut reprendre, remanier, voire inventer des conceptions, les ajuster au travail institutionnel, aux particularités du trauma crânien, il faut s'émerveiller, jusqu'à en avoir parfois la gorge serrée, se vautrer dans l'humain vivant même s'il porte le masque du plus profond retrait, il faut enfin se laisser prendre par les petites aspérités des visages, des corps, des respirations – de la présence en somme, dans le chemin incertain des signes. |
Psychanalyse, logique, éveil de coma [texte imprimé] / Michel Balat, Auteur . - Paris : l'Harmattan, 2000 . - 252 p. : ill. ; 21*13 cm.. - ( L'Ouverture philosophique (Paris), ISSN 1269-8970) . ISBN : 978-2-7384-9346-0 : 140 F La couv. porte aussi : "le musement du scribe" Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
la réalité du signe la surprise le musement,de pierce à lacan introduction aux graphes existentiels de peirce la division du sujet |
Index. décimale : |
150 |
Résumé : |
Pierce, Freud, Lacan… quelques autres, et non des moindres, sont appelés au chevet de tramatisés crâniens. Pour cela, il faut reprendre, remanier, voire inventer des conceptions, les ajuster au travail institutionnel, aux particularités du trauma crânien, il faut s'émerveiller, jusqu'à en avoir parfois la gorge serrée, se vautrer dans l'humain vivant même s'il porte le masque du plus profond retrait, il faut enfin se laisser prendre par les petites aspérités des visages, des corps, des respirations – de la présence en somme, dans le chemin incertain des signes. |
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