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La Chine populaire, 1. La Chine populaire / Alain Roux
Titre de série : La Chine populaire, 1 Titre : La Chine populaire : 1949-1966 Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Roux (1935-....), Auteur Mention d'édition : Nouvelle éd. revue Editeur : Paris : Editions Sociales Année de publication : 1983 Autre Editeur : diffusion Messidor Collection : Essentiel (Paris. 1982), ISSN 0753-7662 num. 12 Importance : 386 p. Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-209-05516-4 Prix : 50 F Note générale : Précédemment paru sous le titre : "Le Casse-tête chinois" Langues : Français (fre) Index. décimale : 951.0 La Chine populaire, 1. La Chine populaire : 1949-1966 [texte imprimé] / Alain Roux (1935-....), Auteur . - Nouvelle éd. revue . - Paris : Editions Sociales : [S.l.] : diffusion Messidor, 1983 . - 386 p. : couv. ill. ; 18 cm. - (Essentiel (Paris. 1982), ISSN 0753-7662; 12) .
ISBN : 2-209-05516-4 : 50 F
Précédemment paru sous le titre : "Le Casse-tête chinois"
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 951.0 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité C1-006617 950-06.1 Ouvrage Bibliothèque Centrale 900 - Géographie, Histoire et disciplines auxiliaires Disponible La dernière révolution de Mao / Roderick MacFarquhar
Titre : La dernière révolution de Mao : histoire de la Révolution culturelle, 1966-1976 Type de document : texte imprimé Auteurs : Roderick MacFarquhar (1930-2019), Auteur ; Michael Schoenhals (1953-....), Auteur ; Pierre-Emmanuel Dauzat (1958-....), Traducteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : impr. 2009 Collection : NRF essais, ISSN 0993-4685 Importance : 1 vol. (808 p.-[32] p. de pl.) Présentation : ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-078579-7 Prix : 35 EUR Note générale : Bibliogr. p. 587-637. Notes bibliogr. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : 951.0 Résumé : On ne saurait comprendre la volonté aujourd'hui de la Chine communiste de devenir une superpuissance capitaliste sans en remonter à la source, traumatique : la Révolution culturelle. Lancée en 1966 par Mao Zedong, cette "guerre civile générale" visait à défaire "les éléments de la bourgeoisie infiltrés dans le Parti, le gouvernement, l'armée et la culture". Ceux-ci auraient travaillé à renverser la dictature du prolétariat, à l'instar de Khrouchtchev en URSS et de sa révision du stalinisme. Mao incite à la rébellion tout particulièrement les lycéens, transformés en Gardes rouges. Élevée dans la violence répétée des campagnes de "luttes de classe", délivrée des freins familiaux et institutionnels, livrée à elle-même ("plus vous tuez de gens, plus vous êtes révolutionnaire"), la jeunesse instaure une première terreur contre des responsables de l'État et du Parti de 1966 à 1968. Mais en juillet 1968, Mao décide froidement de briser les activités révolutionnaires de la Garde rouge et d'endiguer l'effondrement de l'économie ; il ordonne à l'armée de procéder au démantèlement expéditif des organisations, il contraint près de douze millions de jeunes à renoncer aux études pour travailler aux champs ou dans les usines. Le retour sanglant à l'ordre bureaucratique fit davantage de morts et de blessés que les agissements des Gardes rouges déchaînés en 1966-1967 ou les combats armés entre les "organisations de masse" rivales en 1967-1968. Il fut conduit par l'armée d'abord, puis par les nouvelles structures politiques qui remirent au pas les militaires grâce à la liquidation du maréchal Lin Biao en septembre 1971, quelques mois seulement après qu'il eut été proclamé le successeur de Mao. Cent millions de personnes ont été affectées par la révolution culturelle, incluant les survivants estropiés à vie comme les familles dont l'existence a été simplement perturbée par les événements ; le nombre de victimes directes, tuées, suicidées, voire dévorées puisque les cas de cannibalisme furent nombreux, serait d'un million. La dernière révolution lancée par Mao, afin de transformer les êtres, fut l'ultime tentative, par le refus de singer les étrangers (Occidentaux, puis Soviétiques), de perpétuer dans la modernité occidentale une essence proprement chinoise, rêvée depuis un siècle par les élites. La Révolution culturelle fut le baroud d'honneur du conservatisme chinois. La dernière révolution de Mao : histoire de la Révolution culturelle, 1966-1976 [texte imprimé] / Roderick MacFarquhar (1930-2019), Auteur ; Michael Schoenhals (1953-....), Auteur ; Pierre-Emmanuel Dauzat (1958-....), Traducteur . - [Paris] : Gallimard, impr. 2009 . - 1 vol. (808 p.-[32] p. de pl.) : ill. ; 23 cm. - (NRF essais, ISSN 0993-4685) .
ISBN : 978-2-07-078579-7 : 35 EUR
Bibliogr. p. 587-637. Notes bibliogr. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : 951.0 Résumé : On ne saurait comprendre la volonté aujourd'hui de la Chine communiste de devenir une superpuissance capitaliste sans en remonter à la source, traumatique : la Révolution culturelle. Lancée en 1966 par Mao Zedong, cette "guerre civile générale" visait à défaire "les éléments de la bourgeoisie infiltrés dans le Parti, le gouvernement, l'armée et la culture". Ceux-ci auraient travaillé à renverser la dictature du prolétariat, à l'instar de Khrouchtchev en URSS et de sa révision du stalinisme. Mao incite à la rébellion tout particulièrement les lycéens, transformés en Gardes rouges. Élevée dans la violence répétée des campagnes de "luttes de classe", délivrée des freins familiaux et institutionnels, livrée à elle-même ("plus vous tuez de gens, plus vous êtes révolutionnaire"), la jeunesse instaure une première terreur contre des responsables de l'État et du Parti de 1966 à 1968. Mais en juillet 1968, Mao décide froidement de briser les activités révolutionnaires de la Garde rouge et d'endiguer l'effondrement de l'économie ; il ordonne à l'armée de procéder au démantèlement expéditif des organisations, il contraint près de douze millions de jeunes à renoncer aux études pour travailler aux champs ou dans les usines. Le retour sanglant à l'ordre bureaucratique fit davantage de morts et de blessés que les agissements des Gardes rouges déchaînés en 1966-1967 ou les combats armés entre les "organisations de masse" rivales en 1967-1968. Il fut conduit par l'armée d'abord, puis par les nouvelles structures politiques qui remirent au pas les militaires grâce à la liquidation du maréchal Lin Biao en septembre 1971, quelques mois seulement après qu'il eut été proclamé le successeur de Mao. Cent millions de personnes ont été affectées par la révolution culturelle, incluant les survivants estropiés à vie comme les familles dont l'existence a été simplement perturbée par les événements ; le nombre de victimes directes, tuées, suicidées, voire dévorées puisque les cas de cannibalisme furent nombreux, serait d'un million. La dernière révolution lancée par Mao, afin de transformer les êtres, fut l'ultime tentative, par le refus de singer les étrangers (Occidentaux, puis Soviétiques), de perpétuer dans la modernité occidentale une essence proprement chinoise, rêvée depuis un siècle par les élites. La Révolution culturelle fut le baroud d'honneur du conservatisme chinois. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité C1-004926 841-71.1 Ouvrage Bibliothèque Centrale 800 - Littérature (Belles-Lettres) et techniques d’écriture Disponible