الفهرس الالي للمكتبة المركزية بجامعة عبد الحميد بن باديس - مستغانم

Titre :	Le barbier de Séville : comédie en quatre actes en prose /
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Pierre Augustin Caron de Beaumarchais ; Pierre Frantz
Editeur :	Paris : Librairie générale française
Année de publication :	1999
Importance :	153 p.
Format :	18 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-253-03779-8
Note générale :	Bibliography: p. 151-153.
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	lettre modérée  le sacristain
Index. décimale :	842.5
Résumé :	«Un vieillard amoureux prétend épouser demain sa pupille ; un jeune amant plus adroit le prévient, et ce jour même en fait sa femme, à la barbe et dans la maison du tuteur. Voilà le fond, dont on eût pu faire, avec un égal succès, une tragédie, une comédie, un drame, un opéra, et cætera.» C'est ainsi que Beaumarchais lui-même présente Le Barbier de Séville qui en 1775 triomphe rapidement, puis connaît un succès durable : Marie-Antoinette elle-même jouera le rôle de Rosine en 1785 ; deux livrets d'opéra en seront tirés pour Paesiello et Rossini. C'est que fantaisie verbale et puissance dramatique offrent au spectateur une pièce dont l'action reste suspendue à un lien fragile - un mot ou un silence pouvant tout achever ou tout faire échouer - et c'est là le modèle de la comédie des deux siècles à venir.

Le barbier de Séville : comédie en quatre actes en prose / [texte imprimé] / Pierre Augustin Caron de Beaumarchais ; Pierre Frantz . - Paris : Librairie générale française, 1999 . - 153 p. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-253-03779-8
Bibliography: p. 151-153.
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	lettre modérée  le sacristain
Index. décimale :	842.5
Résumé :	«Un vieillard amoureux prétend épouser demain sa pupille ; un jeune amant plus adroit le prévient, et ce jour même en fait sa femme, à la barbe et dans la maison du tuteur. Voilà le fond, dont on eût pu faire, avec un égal succès, une tragédie, une comédie, un drame, un opéra, et cætera.» C'est ainsi que Beaumarchais lui-même présente Le Barbier de Séville qui en 1775 triomphe rapidement, puis connaît un succès durable : Marie-Antoinette elle-même jouera le rôle de Rosine en 1785 ; deux livrets d'opéra en seront tirés pour Paesiello et Rossini. C'est que fantaisie verbale et puissance dramatique offrent au spectateur une pièce dont l'action reste suspendue à un lien fragile - un mot ou un silence pouvant tout achever ou tout faire échouer - et c'est là le modèle de la comédie des deux siècles à venir.