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Chimie organique / René Milcent
Titre : Chimie organique : stéréochimie, entités réactives et réactions Type de document : texte imprimé Auteurs : René Milcent, Auteur Editeur : Les Ulis : EDP sciences Année de publication : cop. 2007 Collection : Collection Enseignement sup. Chimie Sous-collection : Chimie Importance : 1 vol. (821 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86883-875-9 Prix : 64 EUR Note générale : Index Langues : Français (fre) Mots-clés : stéréochimie, entités réactives et réactions, Chimie organique Index. décimale : 547 Résumé : Extrait
Extrait de l'avant-propos :
La chimie organique représente la partie la plus importante de la chimie du carbone. L'étude de l'élément «carbone» (à l'état pur dans le diamant, et présent à plus de 99 % dans le charbon ou le graphite) et celle d'autres composés comme les carbures métalliques représentent la partie dite inorganique ou minérale de la chimie de cet élément. L'adjectif «organique» (provenant de la vie) a une origine historique puisque la première molécule synthétisée, l'urée, était d'origine naturelle (Frédéric Wölher, 1840).
La chimie organique est, de nos jours, la science qui étudie les molécules constituées d'un ou plusieurs atomes de carbone liés entre eux et à d'autres éléments comme l'hydrogène, l'oxygène, l'azote, le soufre, le phosphore, les halogènes (fluor, chlore, brome, iode), parmi les plus importants. Dans les composés organométalliques, des métaux entrent dans la composition de la molécule : on peut citer parmi eux les plus souvent rencontrés, le sodium (Na), le potassium (K), le lithium (Li), appelés métaux alcalins, ou le cuivre (Cu), le zinc (Zn) et surtout le magnésium (Mg).
Dérivée de la chimie organique et de la biochimie, il existe la chimie bio-organique, terme redondant dans la mesure où «bio» et «organique» ont la même signification (la vie). Cette branche de la chimie organique recouvre l'étude chimique et physicochimique des composés d'origine naturelle ainsi que les mécanismes chimiques impliqués dans les processus biologiques moléculaires. La chimie biologique (terme utilisé au XIXe siècle pour désigner la biochimie) se consacre plus particulièrement à la synthèse des composés d'origine naturelle.
Présentation de l'éditeur
La chimie organique concerne toutes liés à d'autres éléments comme l'hydrogène, l'oxygène, l'azote, le soufre, les halogènes, ou des métaux, parmi d'autres. Elle représente la base principale de la biochimie, qui est l'étude des molécules d'origine naturelle et de leurs interactions. Elle est présente dans la majeure partie des grandes industries (matériaux, colorants, médicaments...), ce qui lui confère un rôle économique de premier plan.
Destiné aux étudiants préparant les grands concours (grandes écoles, PCEM, pharmacie) ou la licence de chimie, cet ouvrage a été conçu pour que les bacheliers puissent aborder cette science de manière progressive. Une première partie aborde les hybridations du carbone, de l'oxygène et de l'azote, qui permettent de définir les structures géométriques des molécules, et développe la stéréochimie sous forme de définitions et d'exemples. Après avoir passé en revue les divers effets intra- et intermoléculaires liés à la polarisation et à la nature des liaisons (électronégativité des éléments, effets inducteurs et mésomères, aromaticité, liaisons hydrogènes), la seconde partie présente les entités réactives (carbocations, carbanions, radicaux, carbènes, nitrènes, dipoles-1,3 et ylures). Il est alors possible d'étudier les grands types réactionnels (substitutions, éliminations, additions, oxydations, réductions et réarrangements), qui regroupent plusieurs centaines de réactions spécifiques faisant intervenir les fonctions principales (alcanes, akènes, alcynes, alcools, aldéhydes, cétones, acides carboxyliques, aminés, nitriles, composés aromatiques...), avec pour la plupart leur mécanisme quand il est connu.
René Milcent est professeur honoraire de l'université Denis Diderot à Paris. Il a enseigné plus de trente ans la chimie organique à tous les niveaux universitaires et plus particulièrement en premier (PCEM St Louis-Lariboisière et Bichat) et second cycles (licences de chimie et biochimie). Il est l'auteur de Chimie organique hétérocyclique (EDP Sciences, 2003).
Chimie organique : stéréochimie, entités réactives et réactions [texte imprimé] / René Milcent, Auteur . - Les Ulis : EDP sciences, cop. 2007 . - 1 vol. (821 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Collection Enseignement sup. Chimie. Chimie) .
ISBN : 978-2-86883-875-9 : 64 EUR
Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : stéréochimie, entités réactives et réactions, Chimie organique Index. décimale : 547 Résumé : Extrait
Extrait de l'avant-propos :
La chimie organique représente la partie la plus importante de la chimie du carbone. L'étude de l'élément «carbone» (à l'état pur dans le diamant, et présent à plus de 99 % dans le charbon ou le graphite) et celle d'autres composés comme les carbures métalliques représentent la partie dite inorganique ou minérale de la chimie de cet élément. L'adjectif «organique» (provenant de la vie) a une origine historique puisque la première molécule synthétisée, l'urée, était d'origine naturelle (Frédéric Wölher, 1840).
La chimie organique est, de nos jours, la science qui étudie les molécules constituées d'un ou plusieurs atomes de carbone liés entre eux et à d'autres éléments comme l'hydrogène, l'oxygène, l'azote, le soufre, le phosphore, les halogènes (fluor, chlore, brome, iode), parmi les plus importants. Dans les composés organométalliques, des métaux entrent dans la composition de la molécule : on peut citer parmi eux les plus souvent rencontrés, le sodium (Na), le potassium (K), le lithium (Li), appelés métaux alcalins, ou le cuivre (Cu), le zinc (Zn) et surtout le magnésium (Mg).
Dérivée de la chimie organique et de la biochimie, il existe la chimie bio-organique, terme redondant dans la mesure où «bio» et «organique» ont la même signification (la vie). Cette branche de la chimie organique recouvre l'étude chimique et physicochimique des composés d'origine naturelle ainsi que les mécanismes chimiques impliqués dans les processus biologiques moléculaires. La chimie biologique (terme utilisé au XIXe siècle pour désigner la biochimie) se consacre plus particulièrement à la synthèse des composés d'origine naturelle.
Présentation de l'éditeur
La chimie organique concerne toutes liés à d'autres éléments comme l'hydrogène, l'oxygène, l'azote, le soufre, les halogènes, ou des métaux, parmi d'autres. Elle représente la base principale de la biochimie, qui est l'étude des molécules d'origine naturelle et de leurs interactions. Elle est présente dans la majeure partie des grandes industries (matériaux, colorants, médicaments...), ce qui lui confère un rôle économique de premier plan.
Destiné aux étudiants préparant les grands concours (grandes écoles, PCEM, pharmacie) ou la licence de chimie, cet ouvrage a été conçu pour que les bacheliers puissent aborder cette science de manière progressive. Une première partie aborde les hybridations du carbone, de l'oxygène et de l'azote, qui permettent de définir les structures géométriques des molécules, et développe la stéréochimie sous forme de définitions et d'exemples. Après avoir passé en revue les divers effets intra- et intermoléculaires liés à la polarisation et à la nature des liaisons (électronégativité des éléments, effets inducteurs et mésomères, aromaticité, liaisons hydrogènes), la seconde partie présente les entités réactives (carbocations, carbanions, radicaux, carbènes, nitrènes, dipoles-1,3 et ylures). Il est alors possible d'étudier les grands types réactionnels (substitutions, éliminations, additions, oxydations, réductions et réarrangements), qui regroupent plusieurs centaines de réactions spécifiques faisant intervenir les fonctions principales (alcanes, akènes, alcynes, alcools, aldéhydes, cétones, acides carboxyliques, aminés, nitriles, composés aromatiques...), avec pour la plupart leur mécanisme quand il est connu.
René Milcent est professeur honoraire de l'université Denis Diderot à Paris. Il a enseigné plus de trente ans la chimie organique à tous les niveaux universitaires et plus particulièrement en premier (PCEM St Louis-Lariboisière et Bichat) et second cycles (licences de chimie et biochimie). Il est l'auteur de Chimie organique hétérocyclique (EDP Sciences, 2003).
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