Titre : |
Mensonges en couleurs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Emanuel Carnevali (1897-1942), Auteur ; Sherwood Anderson (1876-1941), Préfacier, etc. ; Oscar Fontaine, Traducteur |
Editeur : |
Monaco : Éd. du Rocher |
Année de publication : |
2004 |
Collection : |
Collection Anatolia |
Importance : |
132 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
2-268-05256-7 |
Prix : |
16,90 EUR |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Italien (ita) |
Résumé : |
A l'instar de Dino Campana, Emanuel Carnevali a connu un destin de " poète maudit " : né à Bologne, en 1897, il était encore enfant lorsqu'il partit pour les Etats-Unis, qui devaient devenir pour lui le lieu symbolique de la vie et de la littérature. Très jeune, on le retrouve dans le cercle d'Ezra Pound, William Carlos William et Sherwood Anderson, qui l'accueillirent comme un des leurs. Carnevali écrivait en anglais, sa seule langue étant celle de l'exil, et il apportait ainsi dans la poésie américaine un souffle sauvage, dont on sentit toute la nouveauté. Il connut un destin tragique : en 1922, frappé d'encéphalite, il dut regagner l'Italie. Il passa les dernières années de sa vie dans un hôpital proche de Bologne, où il reçut jusqu'à sa mort, en 1942, les lettres et les visites de ses amis d'outre-Atlantique. Ses poésies sont traduites ici pour la première fois en français. |
Mensonges en couleurs [texte imprimé] / Emanuel Carnevali (1897-1942), Auteur ; Sherwood Anderson (1876-1941), Préfacier, etc. ; Oscar Fontaine, Traducteur . - Monaco : Éd. du Rocher, 2004 . - 132 p. : couv. ill. ; 22 cm. - ( Collection Anatolia) . ISBN : 2-268-05256-7 : 16,90 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Italien ( ita)
Résumé : |
A l'instar de Dino Campana, Emanuel Carnevali a connu un destin de " poète maudit " : né à Bologne, en 1897, il était encore enfant lorsqu'il partit pour les Etats-Unis, qui devaient devenir pour lui le lieu symbolique de la vie et de la littérature. Très jeune, on le retrouve dans le cercle d'Ezra Pound, William Carlos William et Sherwood Anderson, qui l'accueillirent comme un des leurs. Carnevali écrivait en anglais, sa seule langue étant celle de l'exil, et il apportait ainsi dans la poésie américaine un souffle sauvage, dont on sentit toute la nouveauté. Il connut un destin tragique : en 1922, frappé d'encéphalite, il dut regagner l'Italie. Il passa les dernières années de sa vie dans un hôpital proche de Bologne, où il reçut jusqu'à sa mort, en 1942, les lettres et les visites de ses amis d'outre-Atlantique. Ses poésies sont traduites ici pour la première fois en français. |
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