الفهرس الالي للمكتبة المركزية بجامعة عبد الحميد بن باديس - مستغانم

Titre :	Les fellaghas
Autre titre :	F
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	azzedine ; azzedine
Mention d'édition :	RÐeÐedition.
Editeur :	Enag
Année de publication :	1997
Importance :	313 p.
Présentation :	1 ill.
Format :	24 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-9961-62-073-1
Note générale :	Rev. ed. of: On nous appelait fellaghas. c1976.
Langues :	Français (fre)
Index. décimale :	965/.
Résumé :	C’est fini ! L’accrochage est terminé. Le calme est revenu dans la vallée telle l’éclaircie après l’orage… Nous pensons à nos morts qui resteront enfouis dans la terre d’Afrique et à nos adversaires gisant parmi les rochers et les épineux. Eux aussi sont des soldats… Tous les morts sont couchés sur le dos. Ils sont tombés an braves et je ne peux m’empêcher, en les regardant, de réciter mentalement ce vers de Victor Hugo. Mais Nounours me ramène sur terre… il s’avance avec l’air grave et me dit avec son calme habituel « mon commandant, les Fells se sont bien battus. Il y a parmi leurs morts le cadavre d’un officier de l’ALN. Je crois que c’est un sous-lieutenant. Ne pourrions-nous pas rendre des honneurs communs à nos morts et à nos adversaires tombés ? », « Ok, Nounours, vous avez raison. Nous sommes des soldats et respectons nos ennemis quand ils se battent comme des soldats. »

Les fellaghas ; F [texte imprimé] / azzedine ; azzedine  . -  RÐeÐedition. . - [S.l.] : Enag, 1997 . - 313 p. : 1 ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-9961-62-073-1
Rev. ed. of: On nous appelait fellaghas. c1976.
Langues : Français (fre)

Index. décimale :

965/.

Résumé :

C’est fini ! L’accrochage est terminé. Le calme est revenu dans la vallée telle l’éclaircie après l’orage… Nous pensons à nos morts qui resteront enfouis dans la terre d’Afrique et à nos adversaires gisant parmi les rochers et les épineux. Eux aussi sont des soldats… Tous les morts sont couchés sur le dos. Ils sont tombés an braves et je ne peux m’empêcher, en les regardant, de réciter mentalement ce vers de Victor Hugo. Mais Nounours me ramène sur terre… il s’avance avec l’air grave et me dit avec son calme habituel « mon commandant, les Fells se sont bien battus. Il y a parmi leurs morts le cadavre d’un officier de l’ALN. Je crois que c’est un sous-lieutenant. Ne pourrions-nous pas rendre des honneurs communs à nos morts et à nos adversaires tombés ? », « Ok, Nounours, vous avez raison. Nous sommes des soldats et respectons nos ennemis quand ils se battent comme des soldats. »