| Titre de série : |
Oeuvres choisies / Gerhart Hauptmann, 1 |
| Titre : |
La peau de castor : comédie de voleurs |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Gerhart Hauptmann (1862-1946), Auteur ; Jean-Pierre Lefebvre (1943-....), Traducteur |
| Editeur : |
Paris : Éd. théâtrales |
| Année de publication : |
2002 |
| Autre Editeur : |
[Montpellier] : Maison Antoine Vitez |
| Collection : |
Scènes étrangères, ISSN 1629-7946 num. 1 |
| Importance : |
90 p. |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84260-011-2 |
| Prix : |
Prix : 14 EUR : 91,83 F |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) |
| Index. décimale : |
832.9 |
| Résumé : |
La Peau de castor, publiée en 1893, est une des rares comédies allemandes encore jouées aujourd'hui avec succès. La mère Wolff est bien consciente que ce n'est pas en faisant des lessives qu'elle parviendra à joindre les deux bouts. Alors elle commet occasionnellement des petits méfaits, elle braconne, vole une pile de bois ou même une pelisse de castor qu'elle fourgue à un marinier. Au cours de l'enquête menée par un administrateur fanatique obsédé par les conspirateurs, elle parvient habilement à se disculper aux dépens de celui qu'elle a spolié. Le personnage haut en couleur de la mère Wolff a attiré les plus grandes actrices, et notamment Therese Giehse.
Né en 1862 en Silésie, Gerhart Hauptmann est une figure centrale du théâtre européen au tournant du XXe siècle, et son uvre (quarante-six pièces), encore presque totalement inconnue en France, mérite d'être découverte. Puisant ses sujets dans les milieux petits-bourgeois et prolétaires, Hautpmann a été l'un des pionniers du naturalisme, avant de se rapprocher du symbolisme et de la tragédie grecque. Un immense savoir-faire dans le traitement des situations et des personnages lui permet d'écrire de grands rôles à l'intention des comédiens. À son époque, on l'a comparé à Goethe et à Shakespeare en raison de la diversité de ses thèmes. Son théâtre témoigne d'une tentative de saisir le monde dans sa complexité en rendant compte des destins individuels qui s'y affrontent. Mort en 1946, il avait reçu le prix Nobel de littérature en 1912. |
Oeuvres choisies / Gerhart Hauptmann, 1. La peau de castor : comédie de voleurs [texte imprimé] / Gerhart Hauptmann (1862-1946), Auteur ; Jean-Pierre Lefebvre (1943-....), Traducteur . - Paris : Éd. théâtrales : [Montpellier] : Maison Antoine Vitez, 2002 . - 90 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - ( Scènes étrangères, ISSN 1629-7946; 1) . ISBN : 978-2-84260-011-2 : Prix : 14 EUR : 91,83 F Langues : Français ( fre) Langues originales : Allemand ( ger)
| Index. décimale : |
832.9 |
| Résumé : |
La Peau de castor, publiée en 1893, est une des rares comédies allemandes encore jouées aujourd'hui avec succès. La mère Wolff est bien consciente que ce n'est pas en faisant des lessives qu'elle parviendra à joindre les deux bouts. Alors elle commet occasionnellement des petits méfaits, elle braconne, vole une pile de bois ou même une pelisse de castor qu'elle fourgue à un marinier. Au cours de l'enquête menée par un administrateur fanatique obsédé par les conspirateurs, elle parvient habilement à se disculper aux dépens de celui qu'elle a spolié. Le personnage haut en couleur de la mère Wolff a attiré les plus grandes actrices, et notamment Therese Giehse.
Né en 1862 en Silésie, Gerhart Hauptmann est une figure centrale du théâtre européen au tournant du XXe siècle, et son uvre (quarante-six pièces), encore presque totalement inconnue en France, mérite d'être découverte. Puisant ses sujets dans les milieux petits-bourgeois et prolétaires, Hautpmann a été l'un des pionniers du naturalisme, avant de se rapprocher du symbolisme et de la tragédie grecque. Un immense savoir-faire dans le traitement des situations et des personnages lui permet d'écrire de grands rôles à l'intention des comédiens. À son époque, on l'a comparé à Goethe et à Shakespeare en raison de la diversité de ses thèmes. Son théâtre témoigne d'une tentative de saisir le monde dans sa complexité en rendant compte des destins individuels qui s'y affrontent. Mort en 1946, il avait reçu le prix Nobel de littérature en 1912. |
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