Titre : |
Langages et épistémologie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gilles Gaston Granger |
Editeur : |
Paris : Klincksieck |
Année de publication : |
1979 |
Importance : |
226 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-252-02083-8 |
Note générale : |
Includes indexes |
Mots-clés : |
l'outil linguistique logique mathématique et langage |
Index. décimale : |
401 |
Résumé : |
Le langage est, pour l'homme, à la fois outil et objet. Philosopher sur le langage, c'est donc s'interroger à la fois sur les formes et les limites de son pouvoir, st sur l'étrange nature de cette réalité extérieure à nous et dont nous ne pouvons pourtant dissocier ce que nous appelons notre pensée.
L'auteur, par inclination personnelle et non point par principe, choisit d'orienter son enquête selon le point de vue de la connaissance scientifique. Ainsi se propose-t-il d'abord de définir le rôle que joue le langage dans la constitution de la science. Il est alors conduit à examiner les pseudo-langages que celle-ci se construit, et, en précisant la fonction du symbolisme dans la connaissance objective, il met en lumière, dans ce domaine, le privilège et l'infirmité des langues naturelles.
C'est alors cette notion de langue naturelle qui devient le thème de sa réflexion : le linguiste en veut faire l'objet d'une science. Comment détermine-t-il cet objet, par quelles démarches parvient-il à sa connaissance, qu'est-ce enfin qu'une « science du langage » ? Sur cette science, encore aujourd'hui peut-être à l'état naissant, le philosophe ne peut faire de pronostics. Du moins lui appartient-il, en dehors des querelles d'écoles, de tenter de reconnaître jusqu'où l'on s'est avancé dans la voie du savoir. |
Langages et épistémologie [texte imprimé] / Gilles Gaston Granger . - Paris : Klincksieck, 1979 . - 226 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-252-02083-8 Includes indexes
Mots-clés : |
l'outil linguistique logique mathématique et langage |
Index. décimale : |
401 |
Résumé : |
Le langage est, pour l'homme, à la fois outil et objet. Philosopher sur le langage, c'est donc s'interroger à la fois sur les formes et les limites de son pouvoir, st sur l'étrange nature de cette réalité extérieure à nous et dont nous ne pouvons pourtant dissocier ce que nous appelons notre pensée.
L'auteur, par inclination personnelle et non point par principe, choisit d'orienter son enquête selon le point de vue de la connaissance scientifique. Ainsi se propose-t-il d'abord de définir le rôle que joue le langage dans la constitution de la science. Il est alors conduit à examiner les pseudo-langages que celle-ci se construit, et, en précisant la fonction du symbolisme dans la connaissance objective, il met en lumière, dans ce domaine, le privilège et l'infirmité des langues naturelles.
C'est alors cette notion de langue naturelle qui devient le thème de sa réflexion : le linguiste en veut faire l'objet d'une science. Comment détermine-t-il cet objet, par quelles démarches parvient-il à sa connaissance, qu'est-ce enfin qu'une « science du langage » ? Sur cette science, encore aujourd'hui peut-être à l'état naissant, le philosophe ne peut faire de pronostics. Du moins lui appartient-il, en dehors des querelles d'écoles, de tenter de reconnaître jusqu'où l'on s'est avancé dans la voie du savoir. |
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